Chers récalcitrants éclairés,
Voici notre examen des derniers propos du Professeur Nicolas Georgieff, écrits dans un ouvrage collectif récemment paru et écrit par le gratin de la gent psychanalytique : « Vers une neurospsychanalyse ? » Ouvrage édité aux éditions Odile Jacob.
P. 146 :
« (…) les réalités psychanalytiques sont des constructions psychiques qui n'ont littéralement d'existence que pendant la séance. »
Commentaire :
« l'inconscient », le « refoulé », ne sont que des mythes, des constructions purement métaphysiques délirantes « découvertes » par le seul Sigmund Freud au cours de sa légendaire et mensongère auto-analyse. Auto-analyse qu'il guida seul, et loin de toute possibilité de contrôle indépendant. Freud justifia lui-même, dès « L'introduction à la psychanalyse », exclure tous les témoins indépendants, arguant du fait que si le patient ressentait la présence d'une seule personne étrangère à la cure, cela pourrait contrecarrer le processus de transfert (d'influence, de suggestion ou de manipulation) « nécessaire » à la cure. « Nécessaire » ? Oui. Il est « nécessaire » de manipuler les patients pour leur faire croire qu'ils ont un inconscient, ou un « autre » qui vit en eux, sans qu'ils s'en doutent, et qui tient en main tout leur être, selon des lois déterministes qui excluent tout hasard et tout non-sens. Il vaut mieux, dans ces conditions, qu'il y ait le moins de témoin possible, ou pas du tout, pour se rendre compte, avec tout le recul que permet la raison, du fonctionnement de la supercherie, sinon de l'escroquerie analytique et du divan.
P. 152 :
« le psychanalyse observe-t-il les mécanismes de défense comme le refoulement dans la vie psychique de l'analysant ? Il s'agit plutôt d'une interprétation de l'activité du sujet, d'une hypothèse soutenue par le cadre métapsychologique. Le repérage du « fait » que constitue le refoulement repose sur une construction, elle-même produite par l'écoute psychanalytique et le postulat d'une vie psychique inconsciente. Il engage l'activité psychique de l'analyste. L'observation est déjà interprétation ou construction au sens psychanalytique. Elle est une écoute, c'est-à-dire en fait une activité psychique particulière de l'analyste qui, dans une étroite interaction avec celle du patient, construit le fait « observé » ».
Commentaire :
qu'ils le veuillent ou non [les psychanalystes], il n'y a pas d'observation « pure des faits » (K. Popper), c'est-à-dire d'observation qui ne soit guidée, apriori, par un préjugé théorique, donc une théorie universelle stricte, constituée de termes universels. L'esprit humain n'est pas un organe passif qui saisit le monde, tel que celui-ci pourrait tomber dans notre esprit, comme de l'eau dans un seau vide (K. Popper, in « La connaissance objective »). Toute la rhétorique de Georgieff n'a qu'un seul but : cautionner un énoncé existentiel au sens strict : « il y a l'inconscient qui dirige tout, et l'analyste, et l'analysant ». Ensuite montrer, dire à mots couverts que l'existence de cet inconscient est incontestable, et qu'elle demeure vérifiable, que l'on se place du point de vue de l'analyste ou de son patient. Bref, la théorie de l'inconscient ne peut jamais être prise en défaut, ou être contestée quelque soit la position que l'on adopte. Mais ce que Georgieff oublie de dire, c'est que tout cela ne repose que sur une pétition de principe : « l'inconscient existe et puis c'est tout ! », pétition qui n'est rien d'autre que la vérité révélée de Sigmund Freud, affirmée dogmatiquement, sans le moindre recours à une procédure valide de preuve indépendante.
Mais pour ce faire, il a suffit à Freud de prôner un déterminisme psychique prima faciae, c'est-à-dire, qui valide, apriori, l'inconscient sans qu'il devienne donc nécessaire d'avoir recours à des procédures de preuves expérimentales. Des formules telles que « Il engage [l'inconscient] l'activité psychique de l'analyste », supposent que l'on ait prouvé, apriori, son existence, donc que l'on ait satisfait, avant qu'une telle affirmation soit recevable, à des procédures d'administration de la preuve qui puissent être indépendantes, et de tout analyste, et de tout patient.
Or, l'histoire du freudisme, nous montre qu'il n'en est strictement rien, étant données les conditions privées de la soi-disant découverte de l'inconscient (M. Borch-Jacobsen, Bénesteau, etc.), dans le cadre subjectif de l'auto-analyse de Sigmund Freud, qui elle-même reposent sur l'introspection (laquelle ne permet pas de trouver autre chose que ce que l'on avait déjà en tête apriori).
« L'inconscient », n'est donc qu'un objet simulé (M. Borch-Jacobsen, in « La guerre des psys. Manifeste pour un psychothérapie démocratique ». Edition les Empêcheurs de penser en rond, pages 33 à 62), ou cofabriqué dans les seules circonstances de la cure, et qui n'existe pas en dehors d'elle, sans cette connivence installée par la suggestion et le cadre de la cure, entre l'analyste et l'analysant. C'est par le cadre de la cure, pas ses suggestions, que l'analyste formule ses « demandes d'inconscient », ou demande à l'analysé de « faire comme si », justement pour protéger le thérapeute de l'accusation de contaminer ses données et qu'elles n'apparaissent que comme le fruit de leur « simple » interaction (M. Borch-Jacobsen).
On voit tout de suite, que ce défaut pourtant rédhibitoire, est érigé par Georgieff comme étant l'objet recevable, et entièrement légitime de la psychanalyse : il s'agit d'une « copensée », de « copsychisme » (et pourquoi pas de télépathie. Voir, par exemple les affirmations de Françoise Dolto au sujet des prétendues habiletés télépathiques des enfants autistes...) ! Et on retombe alors sur l'élément de preuve indépendant qui fait toujours défaut : comment justifier, comment prouver de manière indépendante que cette relation « copsychique » inconsciente est corroborée, ou corroborable, par des tests intersubjectifs (qui n'ont rien voir avec l'intersubjectivité dont parlent les analystes de maintenant s'agissant de la simple relation entre eux et leurs patients), indépendants, extra-cliniques, et reproductibles ?
En réalité, « l'inconscient » des psychanalystes n'existe pas. Il ne s'agit que d'un « artefact » (M.B.J.) : « il n'y a plus de « réalité psychique » à découvrir ou à décrire dans le sujet [que ce soit l'analyste ou l'analysé], seulement des réalités à produire et à négocier avec lui ». Dans le même livre précédemment nommé, citons maintenant Thierry Melchior (p. 69) : « Si la psychanalyse est la discipline qui a la prétention de ne rien suggérer au patient, mais seulement de l'aider à retrouver ses souvenirs refoulés encryptés dans ses discours conscients, il faut reconnaître qu'elle est tout simplement impossible. Si elle aide les patients à retrouver leurs « souvenirs refoulés, c'est uniquement parce qu'elle se fait a priori une idée assez précise du genre de « souvenirs refoulés » qu'il s'agira de l'aider à retrouver. En conséquence de quoi, ce que les patients retrouveront au cours de leur cure dépendra inévitablement dans une très large mesure des croyances théoriques de leur analyste. Et l'on voit mal comment celles-ci pourraient prétendre reposer sur l'usage d'une méthodologie leur garantissant un statut de vérité objective ».
Nicolas Georgieff, à la suite de Freud, tente de neutraliser le problème de la suggestion, et, avec lui, tous les problèmes liés à ce qu'il nomme l'activité « copsychique ». Par la reconnaissance de cette cofabrication [donc, comme il ne le dit surtout pas, de cet échec complet, dans l'oeuf, de toute prétention à l'existence objective de l'inconscient], Georgieff revient à dire qu'elle est aussi le produit du transfert, donc d'une activité inconsciente [qui serai réelle] entre l'analyste et son patient.
Voici ce que répond Melchior à cette argumentation, (p.80) : « Que penser de cette argumentation ? Elle use, de toute évidence, d'un raisonnement fallacieux. Car Freud ne voit pas ou ne veut pas qu'on voie que, pour que la psychanalyse puisse interpréter le phénomène de suggestion comme un phénomène transférentiel, de nature libidinale, il faut évidemment que la théorie psychanalytique (relative au transfert, à la sexualité infantile et à son refoulement) soit vraie. Or, pour qu'elle soit vraie, il faut que rien de ce qui est « trouvé » par les patients n'ait été suggéré (même involontairement) par l'analyste, sauf à commettre une pétition de principe.(...).On considère comme admis ce qu'il s'agit de démontrer [l'inconscient] ».
Cependant Georgieff, reconnaît les difficultés rédhibitoires de la psychanalyse :
P. 152 :
« (...) C'est une des raisons pour lesquelles il est si difficile [c'est impossible...] de conduire en psychanalyse une étude nécessitant une consensus de plusieurs observateurs [donc il reconnaît l'impossibilité d'une procédure intersubjective qui respecte les canons de la méthode scientifique...] sur une réalité clinique définie en termes métapsychologiques (mécanismes de défense par exemple) : un tel consensus n'est facilement réalisable que si l'objet existe indépendamment de l'observation. Or, dans le cas de la psychanalyse, l'objet est en partie constitué de l'activité psychique de l'analyste, qui n'est plus dès lors un observateur mais un co-agent de la réalité qui s'organise entre lui et le patient. L'«observation» psychanalytique est une réaction impliquant des états mentaux propres, liés à l'interaction psychique. L'activité psychique de l'analyste appartient à la réalité qu'il découvre ».
Commentaire :
La prétendue activité psychique telle qu'elle est décrite par l'analyste, sur lui-même, n'est pas "découverte". Ce n'est que le dogme freudien qui lui a été transmis, et dont il se sert pour lire les "faits", que ce soit en lui, ou chez son patient. Il n'y a donc pas de "découverte" en psychanalyse, mais seulement de la manipulation dans les circonstances de la cure, pour créer un artefact, l'inconscient, qui lui, n'ai jamais prouvé indépendamment de l'analyste, de l'analysé, ou même de Sigmund Freud, qui en reste toujours le seul et unique "témoin princeps" (M.B.J.) !
P. 154 :
« Considérer que les représentations mentales de l'analyste (comme l'interprétation ou la construction) sont issues de la copensée avec le sujet transforme la question classique de la scientificité de la psychanalyse. Sa théorie ne répond pas en effet aux critères définissant les sciences objectives et expérimentales. Mais le reconnaître, est-ce remettre en cause sa valeur ? La critique classique de non-scientificité suppose en effet que l'analyste est en position d'observateur du psychisme du patient, que la perspective psychanalytique propose une hypothèse sur ce psychisme et relève d'une démarche de connaissance d'un objet préexistant. Cette critique ne peut en revanche être adressée à une démarche par laquelle l'activité psychique de l'analyste appartient à l'objet même de la théorie ».
Commentaire :
« Cette critique ne peut en revanche être adressée à une démarche par laquelle l'activité psychique de l'analyste appartient à l'objet même de la théorie ». Mais nous sommes d'accord, Monsieur Georgieff ! Mais ce que vous dites n'invalide absolument pas la critique, mais la théorie de l'inconscient, et cette stratégie de « copsychique », c'est tout ! Sinon, la psychanalyse, et votre théorie de l'inconscient ne reposent que sur un dogme : le déterminisme psychique prima faciae et absolu, et fait de cette théorie, et de son mythe [et aussi de l'analyste en exercice] qu'une « chose » qui ne s'autorise que d'elle-même, et pas d'une communauté de chercheurs, dont le but est le contrôle indépendant et reproductible des théories qui guident nécessairement toute pratique humaine, qu'elle soit « scientifique », ou non !
Donc, dans le cas de la psychanalyse, ou plus précisément, de la pratique analytique, qui, comme le soulignait Daniel Widlöcher, est le "laboratoire" de la psychanalyse, (le lieu ou seraient prétendument corroborées, donc objectivées les "données" de l'inconscient), l'objet même de la recherche, se confond toujours avec....le chercheur ! C'est un peu comme si Newton avait dit avoir découvert la loi de gravitation en ne sentant la force de gravité qu'en lui-même, et en ne l'observant qu'à la lumière de sa propre...observation, ou de sa propre "sensation". La situation épistémologique de la psychanalyse est pratiquement tautologique. Par exemple : "pourquoi je découvre l'inconscient, et bien, parce que je sais qu'il est en moi !" Donc, quelle que soient les procédures employées, il n'y a strictement aucun moyen de démontrer ce qui fait le plus défaut à la psychanalyse : que l'inconscient pourrait être une donnée objective, c'est-à-dire qui puisse être détachée, et du psychanalyste, et de son patient, mais aussi, bien sûr, de Sigmund Freud, autrement dit, le "Sujet freudien", selon Mikkel Borch-Jacobsen, c'est-à-dire...l'inconscient !
Il faut donc, encore une fois, revenir sur le "découvreur princeps" du Mythe : Sigmund Freud. "Découvreur", qui, en excluant toute forme de contrôle externe (nous commençons à nous lasser de répéter "indépendant"...), et par la seule méthode de l'introspection isolée (méthode totalement inefficace, sauf à trouver exactement ce que l'on avait déjà à l'esprit avant toute investigation de soi), nous a "révélé" l'inconscient ! Il ne s'agit donc que d'une "vérité révélée", ne s'autorisant que d'elle-même, tout comme son géniteur ne pouvait lui-aussi que s'autoriser de lui-même, et seulement de lui, dès lors qu'il chercha tout seul, et continua encore de s'emmurer avec ses patients, de peur que la présence d'un seul témoin, ne vienne contrecarrer les conditions favorables à l'installation du fameux "transfert".
"L'inconscient", ne peut donc être rien d'autre qu'un simple postulat. Mais dans son cas, il s'agit d'un postulat dont la nature est injustifiable, ainsi que tout ce qui peut en découler, comme la pratique de l'interprétation des associations (soi-disant) "libres" des patients.
Dès les débuts de la saga freudienne, et pour éviter, et de donner des preuves indépendantes, et ensuite pour permettre de croire que l'on peut justifier la psychanalyse seulement sous l'appellation de "pratique" (en dehors de toute théorie qui la guiderait et qui aurait été préalablement objectivée), Freud n'a eu d'autre choix que d'opter pour des engagements ontologiques tout aussi intenables que son objet, (mort-né), de recherche : le déterminisme psychique prima faciae et absolu.
P. 156 :
« (…) Rien ne permet d'affirmer que la psychanalyse donne réellement accès à l'activité psychique de l'analysant, en elle-même inaccessible à toute perception ou observation directe, et appréhendée seulement à travers les effets de celle-ci, notamment le langage, sur l'activité psychique de l'analyste : la psychanalyse serait alors une théorie de l'influence réciproque des psychismes de l'analysant et de l'analyste en tant qu'elle est en interaction avec celle d'autrui et vise à la représenter ».
Commentaire :
Peut-être...Mais cette rhétorique ne permet toujours pas d'éviter l'éternel problème pour la psychanalyse : comment démontrer de manière indépendante le degré de corroboration donc de correspondance avec les faits [autre que ceux prétendument « retrouvés » en analyse...], de cette « théorie de l'influence réciproque » ?
"Une théorie de l'influence réciproque des psychismes". Donc il y aurait aussi "un inconscient des deux inconscients". C'est-à-dire un inconscient qui est à l'oeuvre, et qui règle les relations copsychiques entre l'inconscient de l'analysant et celui de l'analysé. Mais, si c'est bien ce choix d'objet de recherche que formule maintenant Georgieff, qui va pouvoir se porter garant, en toute indépendance, de l'inconscient du chercheur, qui se donnera pour tâche d'analyser "l'inconscient des inconscients" ?... Si son inconscient à lui ne doit pas interférer dans le processus de recherche et d'identification des "faits copsychiques" étudiés, comment s'assurer, au préalable de la recherche, que son inconscient est suffisamment maîtrisé, pour ne pas influencer ou manipuler un quelconque protocole ? Qui peut prétendre maîtriser son propre déterminisme psychique absolu ? (Personne).
Pour Daniel Widlöcher, ce serait la situation du divan qui constituerait le laboratoire privilégié de la psychanalyse. Dans ces conditions, comment le "psychanalyste-chercheur" pourra-t-il expérimenter une théorie de recherche sur du "copsychique", sans lui-même intervenir dans la manipulation directe des faits ? (Nous avons déjà évoqué ce problème insurmontable). Il faut donc une tierce personne qui observerait les faits pendant une analyse, sans être vu, ni de l'analyste, ni de son patient. Mais nous revenons ici, exactement sur le problème précédent : "qui pourra se porter garant de l'inconscient de cet observateur indépendant, et en vertu de quels critères objectifs permettant de s'assurer du contrôle de son propre déterminisme psychique absolu ?" Comme on le voit, le problème reste vraiment insoluble.
Retour sur les neurosciences : si c'est dans le cadre d'un protocole neuroscientifique que cette théorie du copsychique devra pouvoir être testée, comment définir à l'avance, et avec un degré de précision "suffisant", la précision même dans le calcul des mesures possibles à partir desquelles il faudra ensuite calculer la précision des conditions initiales de toute observation de fait du "copsychique" ? Pourquoi cette question ? Et bien toujours parce qu'il n'y a pas de psychanalyse sans sa revendication d'un déterminisme psychique bien à elle : absolu, excluant tout non-sens et tout hasard. Parce que pour Freud, c'est celui qui croit au hasard intérieur (psychique) qui est superstitieux. Ce serait par trop dénaturer la psychanalyse, et cela, même Georgieff le reconnaît.
Dans ces conditions, toute tentative de recherche neuroscientifique sur le "copsychique" peut très bien être considérée comme une superstition qui doit, plus avant être "analysée", avant que de prétendre démontrer l'existence de l'inconscient copsychique! Ce qui revient à dire qu'il faudra d'abord avoir en main un télescope avant de pouvoir démontrer que la construction d'un télescope sera possible! Situation totalement absurde. On peut rapprocher cette critique du projet de Gaston Bachelard, lequel proposait de "purifier" l'esprit des chercheurs à l'aide de la psychanalyse, afin d'améliorer l'émergence de bonnes hypothèses. Parce que dans le cas de la psychanalyse, il faudra d'abord analyser tous ceux qui, de près ou de loin participeront à une recherche sur le copsychique inconscient, mais précisément avec une théorie de ce même copsychique qui soit suffisamment non problématique pour permettre une telle entreprise...Arrêtons-nous là.
Une psychanalyse qui serait donc "faillible" cela n'existe pas aux yeux des psychanalystes, et cela, qu'ils le veuillent ou non. Dans la négative qu'un seul d'entre eux me démontrent qu'il n'y a a pas cette revendication affirmée comme une "foi absolue" par Freud, et pendant toute sa vie, mais aussi par tous les freudiens après Freud, et je leur répondrais, preuves à l'appui, soit qu'ils mentent, soit qu'ils ignorent purement et simplement tout ce qui constitue l'essence même de leur doctrine.
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