jeudi 2 mars 2023

La "théorie du genre" et la "sexualité infantile"... Le "wokisme" veut ressuciter Frankenstein.

 





« Nul ne devrait mettre au monde des enfants s'il ne veut pas préserver jusqu'au bout leur nature et leur éducation »

 

PLATON



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Ariane BILHERAN (à écouter d'urgence) : 




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Il n'est dans la nature de personne que d'être "transgenre", ou d'accepter la pédophilie, et aucune pédophilie n'est acceptable. Il n'est pas dans la nature des enfants que de comprendre et d'accepter la sexualité des adultes et ses pratiques. Tout ce qui n'est pas dans la nature propre à un âge de vie concerné, est bien entendu, contre nature, et tout ce qui est contre nature, est par définition, pervers.



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Le "wokisme", et sa "théorie du genre" : une monstruosité.







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"Entrée en matière", pour "préparer les esprits" à l'idéologie "arc-en-ciel" : 






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"L'idéologie "arc en ciel", contre la famille, les enfants, la vie." (lien).


Mr. le ministre Pap Ndiaye : 

Les enfants malades de dysphorie de genre, (car c'est bien une maladie mentale (lien)), doivent être discriminés. Mais discriminés, c'est à dire, distingués des enfants normaux, dans un but philanthropique : ils ont besoin d'aide, d'être compris dans leurs souffrances, et leurs souffrances doivent être écoutées, prises en charge et soignées. Elle peuvent même être guéries, si l'on s'y prend assez tôt. 

Si l'Etat doit dépenser de l'argent, c'est donc pour les soigner, et non pour occulter leurs souffrances sous le couvert d'une prétendue "inclusion". 

Donc, il faut être contre cette approche trompeuse de l'"inclusion", parce que ceux qui la promeuvent souhaitent suggérer par ce processus que les enfants "transgenres" seraient légitimés à se sentir "normaux" et à être reconnus comme tels ; puis que les considérer comme malades et ayant besoin de soins médicaux  serait au contraire les rendre soi-disant victimes d'une discrimination inacceptable procédant d'une "transphobie".

Dès lors, si ces enfants doivent être "inclus" dans l'Ecole, c'est au même titre que les autres enfants souffrant de handicaps divers. Dans l'Ecole et en dehors de l'Ecole, ils doivent être pris en charge, si nécessaire, avec leurs parents, par des psychologues et des psychiatres spécialistes de la dysphorie de genre.


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Oui, il est normal d'avoir peur de l'homosexualité, mais dans le sens où certains homosexuels font un travail d'influence auprès des jeunes, alors que bon nombre d'homosexuels sont CONTRE l'idéologie LBGT, mr. le ministre, bon nombre d'entre eux, sont CONTRE la théorie du genre ! 

Oui, il est normal d'avoir peur de la théorie du genre et de la propagande LBGT. Parce qu'il n'est pas normal d'être homosexuel, et parce qu'il n'est pas normal de se dire "transgenre". Cette discrimination entre le normal et le pathologique doit être faite, non dans un sens d'exclusion sociale, ou de rejet, mais dans un unique but philanthropique.

Sous le couvert de l'accusation de "propos homophobes" (homophobie) ou "transphobes" (transphobie), se cache en réalité l'utilisation d'un "bouclier" : les partisans de l'idéologie "LBGT" ne tolèrent aucune critique, aucun argument solide contre leur idéologie, aucune stigmatisation rationnelle et justifiée de leur propagande, aucune dénonciation des effets désastreux de cette propagande sur la jeunesse. Les partisans de l'idéologie "LBGT" ne veulent pas que l'on dise d'eux qu'ils sont en réalité intolérants, voire potentiellement violents contre ceux qui les critiquent. Dès lors, l'accusation "d'homophobie" ou de "transphobie", adressée à ceux, qui comme nous, tentent de démystifier l'absurdité de la "théorie du genre" et les aspects abjects de l'idéologie arc en ciel et du wokisme, est une autre imposture : une imposture morale. C'est une sorte de renversement des valeurs, bien entendu malhonnête et non valide.


Juillet 2024, dans "Le Figaro" : 





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L'on ne peut se dire "être soi" dans le sens de le vivre dans la normalité et en pleine possession de ses moyens, en étant soi-même anormal, comme le sont les "transgenres". Cependant, des personnes malades et qui ont reconnu qu'elles avaient besoin de soins médicaux, peuvent, dans une certaine mesure, tout à fait participer à la vie sociale, et avoir des activités professionnelles, civiques ou scolaires. Par exemple, et dans l'immense majorité des cas, rien ne s'oppose à ce que les homosexuels aient tous leurs droits concernant tous les aspects de la vie sociale, professionnelle, civique, artistique, sportive, etc. et nous trouvons cela très bien, à une exception près : l'on ne devrait pas parler de "mariage" homosexuel, ce n'est pas ce terme au sens multi séculaire qui devrait être employé, ni même permettre l'adoption d'enfants par des couples homosexuels.

Par conséquent, votre idéologie de "l'inclusion" n'est qu'une imposture sur de réelles motivations philanthropiques. C'est une tromperie, et même une escroquerie.


Ceci est intolérable, ceci est abject, ceci est monstrueux, mr. Pap Ndiaye : 




Résumé (sur la théorie du genre) : 

Aucune "nouvelle" théorie du genre ne peut réfuter la théorie du genre traditionnelle et concurrente fondée sur deux sexes biologiques, en prétendant que cette dernière est réfutée parce qu'incomplète, ou moins riche en contenu corroboré sur la connaissance objective de la sexualité humaine que la "nouvelle" (la première), sans l'avoir affrontée sur le même terrain : la biologie

Autrement dit : la "nouvelle" théorie du genre ne peut prétendre avoir "enrichi" le contenu de la connaissance sur la sexualité humaine, sans avoir démontré l'incomplétude (réfuté) de sa théorie concurrente, sur le même terrainla biologie, puisque seul ce champ de recherche permet des tests fondés sur des faits biologiques. 

Pour reprendre l'expression de Karl Popper, la théorie du genre valide, fondée sur deux sexes biologiques, mâle et femelle, ne sera jamais un "cas limite" d'une "nouvelle" théorie, à l'exemple de la théorie de Newton devenue un "cas limite" de celle d'Einstein, plus complète et descriptive. Et c'est bien en reprenant les éléments du champ de recherche de la théorie newtonienne qu'Albert Einstein a réfuté la théorie de Newton, et non à partir de la psychologie, ou de la sociologie ou d'un autre champ de recherche scientifique.

Pour qu'une telle réfutation de la théorie du genre fondée sur deux sexes seulement soit valide, il faudrait donc que la "nouvelle" théorie démontre l'incomplétude de la précédente, selon des tests apportant la preuve (biologique) d'un "troisième sexe" (ou de plusieurs autres !...), mais qui soient eux aussi de nature biologique, ce qui est manifestement, totalement impossible : il n'y a aucun être humain qui puisse naître, normalement, avec autre chose qu'un pénis, si c'est un homme, ou un vagin, si c'est une femme.. (Personne ne verra très probablement jamais un être humain naître avec un organe génital qui pourrait ressembler à tout ce qu'un esprit farfelu pourrait imaginer et qui ne soit en rien semblable à un pénis ou un vagin ; ou peut-être quelque chose d'autre que l'on ne peut observer que dans le règne animal...).

Par conséquent, la "nouvelle" théorie du genre n'a d'autre recours que l'utilisation d'hypothèses "ad hoc". "Selon Popper, une explication est ad hoc si elle est imaginée pour répondre à un problème particulier et n'est pas testable indépendamment de ce dont elle est censée rendre compte : elle ne permet d'effectuer aucune autre prédiction que celle du phénomène qu'elle est censée (contribuer à) expliquer" (Google). En outre, cette "nouvelle" théorie est aussi contrainte d'utiliser des affirmations déterministes irréfutables et qui ne peuvent être fondées sur des faits biologiques, mais relevant exclusivement de la sphère psychologique ou sociale

Ensuite, les partisans de la "nouvelle" théorie du genre, étant dans l'impossibilité de la tester de manière valide sont obligés d'avoir recours, comme outils de propagande, au relativisme, (ils croient pouvoir défendre l'idée que la vérité scientifique bien corroborée par les tests les plus riches en contenu, n'est pas, ou n'est plus la "seule" vérité admissible à titre provisoire dans l'attente de tests inédits et plus sévères, mais qu'il y en aurait une autre qui puisse l'être, même si elle n'a pas été mise à l'épreuve, ou pire : même si ses promoteurs font tout pour lui éviter des mises à l'épreuve indépendantes et valides !...), et aussi à l'intolérance à toute critique. Ils ne peuvent être que dogmatiques.


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Puisque tout espoir d'imposer la "nouvelle" théorie du genre par la voie de la Science est donc vain, il ne reste donc plus que l'idéologie, la propagande, l'intimidation, le terrorisme intellectuel, l'appel aux émotions, la stigmatisation des critiques par des accusations de "haine" contre les transgenres, de "fascisme biologique", etc., etc., pour l'imposer dans l'esprit du grand public.


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Si vous trouvez que ce que l'on voit sur cette photo n'est pas abject et ne devrait plus JAMAIS se produire, et si, de surcroît vous prétendiez faire valoir des "arguments" pour le défendre, ne vous risquez pas à venir m'adresser la parole. On peut toujours discuter avec des gens qui sont doués de raison et comprennent pourquoi la morale est l'une des conditions sine qua non pour la pérennité de toute société humaine, mais avec ceux qui ont abandonné leur raison et la morale à des décideurs psychopathes, ce n'est plus du ressort de la discussion, mais de celui des psychiatres ou des tribunaux.


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Le cauchemar de la pornographie et de la "théorie du genre" dans des livres pour enfants : 




Tout adulte responsable, doué de raison et soucieux de la morale la plus élémentaire, a le devoir le plus absolu de condamner cette horreur. Vu les circonstances, il incombe désormais à tous les citoyens éclairés que de manifester, en masse, leur indignation et leur détermination les plus grandes à s'opposer, coûte que coûte, à tout nouveau développement, expansion et intrusion de ce cauchemar dans la vie sociale, et bien sûr chez la jeunesse. 

Tout citoyen éclairé et responsable doit prendre les armes de la raison, de la critique et aller harceler, si le faut, les gouvernants, sur les réseaux sociaux, par courrier, par pétition, etc. afin qu'ils ne puissent éviter de tenir compte du refus catégorique et parfaitement justifié de toute la population à non seulement s'opposer, mais à éradiquer définitivement ce cauchemar.

Tout citoyen qui ne serait motivé dans ce but : protéger la jeunesse de ces horreurs, la sortir pour toujours de cet univers cauchemardesque et satanique qu'est l'idéologie "arc en ciel", doit désormais être considéré comme complice, donc comme coupable.

Un enseignant qui n'a ni la lucidité, ni le courage de dénoncer, puis de s'opposer ouvertement, contre sa hiérarchie qui le lui imposerait, à ce genre d'horreur, et qui n'a pas davantage la volonté d'en informer et de convaincre les parents d'élèves et ses collègues qu'ils doivent, eux aussi, la dénoncer et s'y opposer, est complice. Et, s'il est complice, il est aussi coupable.



Les "mamans louves" :  







Sophie Audugé et Régis Brunod : 





Commentaires : 

Sur la prétendue "sexualité infantile", de vrais experts s'expriment et sont sans équivoque : il n'y a pas cette "sexualité infantile" dont la psychanalyse nous a tant rebattu les oreilles, et cela, depuis des décennies... Mais, la France est la "chasse gardée de la psychanalyse", nous disait il y a quelques années l'inénarrable Elisabeth Roudyssenko (pardon, Roudinesco...). Dès lors, et étant donné le nombre de collègues enseignants qui créditent encore ses théories délirantes sur "l'inconscient", le "refoulé", etc., l'on peut craindre que la Science, la vraie, ait les plus grandes difficultés à enfin tordre le cou, définitivement à l'influence des interprétations saugrenues et charlatanesques de cette pseudo-science.

 

Mais Régis Brunod défend l'idée d'une sexualité infantile qui ne serait pas identique à la sexualité d'adulte : "il n'y a pas, chez l'enfant, de sexualité, sur le modèle des adultes (...) il n'y a pas la même sexualité chez l'enfant". Pour la défendre, il dit que la sexualité infantile, n'est pour résumer qu'un jeu d'exploration. Dès lors, pourquoi employer le terme de "sexualité" puisque cela n'a rien à voir avec ce qui peut être associé à des capacités biologiques à éprouver une véritable excitation sexuelle, le désir, sans parler de l'impossibilité biologique totale de procréer ?..? Il n'y a donc aucune prétendue "sexualité infantile", aucune. Il ne peut y avoir de "sexualité" qu'entre deux individus biologiquement capables de procréer, ou plus avant, biologiquement capables d'éprouver le désir sexuel.

 

Par conséquent, et selon nos arguments, nous en concluons que chez l'enfant, il n'y a pas de sexualité du tout : il n'y a pas de "sexualité infantile" qui pourrait être distinguée de celle des adultes. Ce n'est pas parce qu'un enfant de 3 ou 4 ans touche son pénis que cette action exploratoire relève de la "sexualité", c'est de l'exploration, et rien d'autre que cela. Toucher ses parties génitales à cet âge, ne peut être associé à une recherche de l'excitation sexuelle, donc, par exemple, à de la masturbation, puisque des enfants aussi jeunes ne peuvent être déjà "équipés" biologiquement pour éprouver de l'excitation sexuelle ou même pour rechercher de l'excitation sexuelle.

 

(En toute rigueur, "l'acte sexuel" c'est la pénétration d'un spermatozoïde dans l'ovocyte. Donc, ce n'est que de la biologie et rien d'autre. La pénétration du pénis dans le vagin, n'est pas un "acte sexuel", c'est un acte co-génital, puisque évidemment, il engage l'organe génital d'un homme et celui d'une femme. Cet acte est censé aboutir à "l'acte sexuel", puis à la procréation, mais pas toujours, puisque l'un des deux, la femme ou l'homme, peut être stérile. La sodomie n'est ni un acte sexuel, ni un acte co-génital, puisque le rectum n'est pas un organe génital (lien). Oui, je sais, décrire tout cela est un peu ridicule, tant c'est évident. Mais c'est l'époque : aujourd'hui, certains vont jusqu'à nier ou à éluder les évidences pourtant les mieux connues)


Le désir d'une relation charnelle à orientation sexuelle, fait partie de la sexualité, mais il est aussi déterminé par des causes biologiques inaccessibles à la petite enfance, ce qui implique que les enfants ne peuvent posséder aucun prétendu "potentiel sexuel". J'entends par "causes biologiques" la maturation neurologique, physiologique et anatomique qui permet le désir, l'excitation sexuelle, la pénétration et la procréation. 


La séduction n'est donc pas de la sexualité, ni à l'âge adulte, ni lors de l'enfance. Dans le premier cas, elle ne participe jamais directement à l'acte sexuel proprement dit et défini par la biologie. Dans le second, elle ne peut avoir les mêmes déterminismes biologiques qu'à l'âge adulte, ni les mêmes motivations d'ordre social, (attirance, morale, etc.), et ne peut donc, absolument pas poursuivre les mêmes buts. 


Ce n'est donc pas parce qu'un enfant souhaite, par exemple, le sein de sa mère pour être allaité qu'il s'agit d'une "séduction" de nature "sexuelle", c'est-à-dire, d'une attirance "sexuelle" pour sa mère, attirance qui serait motivée afin d'accomplir avec elle une recherche mutuelle d'un "plaisir" qui pourrait être identifié et définit  comme "charnel", au même titre que celui qui peut être éprouvé entre deux individus qui eux, seraient équipés biologiquement pour ressentir cette forme de plaisir. 


Le plaisir fait partie de la sphère de la sexualité uniquement dans la mesure où il participe à l'excitation sexuelle puis à l'orgasme. Il est donc lui aussi déterminé biologiquement, (qu'il soit dévolu à l'activité sexuelle ou non, ce qui implique que toutes les formes de plaisir que peut éprouver l'être humain ne sont certainement pas à relier ou à être interprétées sous le délirant et pseudo-scientifique déterminisme absolu (lien) de la "sexualité" comme l'a toujours fait et le fait encore la psychanalyse...).



Ecoutons le Docteur Ariane Bilheran, normalienne, philosophe et psychologue au sujet de la prétendue "sexualité infantile" et des projets pédophiles de l'OMS qui y sont liés :

 






Mais voici un exemple de ce à quoi peut aboutir le projet d'une "éducation sexuelle" à l'Ecole, mr. Pap Ndiaye, chez les plus jeunes : à la monstruosité :






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Si les projets abjects de sexualisation des enfants et de légalisation de la pédophilie, ourdis par l'OMS, le WEF, et l'ONU, passent, alors, les pires crapules de ce monde n'auront plus aucun complexe à assumer "au grand jour" leurs "tendances", puis à nous accuser en voulant les combattre, de les "stigmatiser", ou d'user d'une "discrimination" qui serait soi-disant incompatible avec une nouvelle "morale" démocratique.

"Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair obscur, surgissent les monstres". (Antonio Gramsci).

Sous la blanche peau d'agneau de la défense de la liberté d'expression, de la liberté de création ou de la tolérance, la bête immonde tente son entrée dans la bergerie... Ne soyons pas faibles. Soyons moraux. Restons citoyens, restons vigilants, et soyons responsables : le monde ne change pas seul, et les idées n'ont aucun prétendu pouvoir autonome sur les individus, et qui soit indépendant de leurs pensées, de leurs raisonnements, et de leurs actions.


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Pour commencer, cher(e)s récalcitrant(e)s éclairé(e), voici le témoignage d'une personne qui a changé de sexe, (l'on peut en trouver d'autres sur internet, encore plus accablants, mais celui-là devrait suffire). 

En l'écoutant, vous comprendrez immédiatement que c'est inutile de commenter le contenu de cette vidéo : 





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Les "transgenres"... Même face à des arguments imparables, ils refusent obstinément d'admettre que leurs théories sont absurdes et ne peuvent engendrer que des conséquences absurdes ou néfastes. Voici un exemple édifiant, lors d'une discussion avec l'un d'entre eux qui voit ses croyances confrontées à des arguments indiscutables ou de simple bon sens : 




Bien que les transgenres tentent, à tout coup, d'immuniser leur théorie du genre de toute tentative d'invalidation ou de réfutation afin de la présenter comme "incommensurable", dès lors que selon eux, le genre sexuel serait une question de "spectre" à partir duquel il serait prétendument possible de justifier, par exemple, qu'une femme biologique qui est stérile, ne serait pas une femme à part entière, donc une "vraie femme" (!), ils semblent ignorer que l'on peut évaluer une théorie à l'aune de ses conséquences, et donc que leur théorie n'est pas incommensurable

Comme le démontre Karl Popper, contre Thomas Kuhn, dans un article intitulé, "le mythe du cadre de référence", si une théorie implique beaucoup plus de conséquences absurdes ou néfastes qu'une autre qui lui est concurrente, alors, elle doit être éliminée. 

Dans la discussion précédente, tout le monde pourra comprendre que la théorie du genre n'engendre que des conséquences absurdes ou néfastes pour la société et l'avenir de l'humanité

Les "transgenres" sont tous des anomalies, des gens anormaux qu'il faut aider : il doivent se faire soigner, et les mutiler par des opérations chirurgicales pour leur faire croire qu'ils peuvent devenir conformes à l'idée erronée qu'ils se sont forgée sur les pouvoirs et les fonctions de la Nature, n'est bon pour personne, ni pour eux, ni pour les autres.


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Encore un exemple scandaleux de l'une des innombrables conséquences désastreuses de la "théorie du genre", et de la prétendue "inclusion" des "transgenres". C'est tout simplement insupportable et tous les citoyens éclairés ne serait-ce que par le bon sens doivent se battre pour que telles pratiques soient éradiquées, non seulement du monde sportif, mais plus encore, de la société toute entière :




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"A very embarrassing moment" 😂: 




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C'est très étonnant de voir des psychanalystes se lever contre l'idéologie transgenre, quoique Caroline Eliacheff nous apprend qu'au sein des psychanalystes, les avis sont partagés et que beaucoup estiment même qu'être contre la théorie du genre, ce serait être "rétrograde" ! Néanmoins, il est très intéressant d'écouter les constats et les arguments de Caroline Eliacheff : 




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Éducation à la sexualité en primaire : les dérives qui menacent la sécurité des enfants (lien)



Une des conséquences parfaitement abominable de cette "éducation à la sexualité en primaire" (regardez donc, mr. Pap Ndiaye !) : 





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Le Prix LYSSENKO décerné à Luc Chatel, Eric Fassin et Judith Butler, sur la "théorie du genre" (lien).

 




La théorie du genre n'est qu'une "sociologie" qui tente de "plier" la nature en fonction de motifs ou d'intérêts qui n'ont absolument rien de naturels, parce qu'elle est un déni des faits les plus évidents.


C'est aussi une idéologie, dans la mesure où l'on tente donc de conformer les faits, (de la nature), à "l'Idée", alors que la science est constamment obligée d’adapter ses théories aux faits de la nature, et de les reformuler à la suite de réfutations ou de corroborations issues de tests.


La science s’oppose ainsi diamétralement à l’idéologie, parce qu’elle tente inexorablement de corroborer des théories universelles afin de décrire de mieux en mieux ce qu’est la nature et non de l’interpréter librement (…) pour qu’elle cadre, s’accorde, ou confirme à tout coup des idées préconçues comme des constructions purement intellectuelles


Mais, citons Karl Popper, dans « La logique de la découverte scientifique » (lien), (Ed. Payot, Paris, 1973, page : 286) :


« C’est toujours nous qui formulons les questions à poser à la nature ; c’est nous qui sans relâche essayons de poser ces questions de manière à obtenir un « oui » ou un « non » ferme. (Car la nature ne donne de réponse que si on l’en presse.) Enfin, c’est nous encore qui donnons la réponse ; c’est nous qui décidons, après un examen minutieux, de la réponse à donner à la question posée à la nature – après avoir longuement et patiemment essayé d’obtenir d’elle un « non » sans équivoque. « Une fois pour toutes », dit Weyl, avec lequel je suis pleinement d’accord, « je désire manifester mon admiration sans bornes pour l’oeuve de l’expérimentateur qui se bat pour arracher des faits susceptibles d’être interprétés à une nature inflexible si habile à accueillir nos théories d’un Non décisif ou d’un inaudible Oui ».


Même si les faits ne peuvent être lus qu'à partir de nos hypothèses a priori que nous formulons "à titre d'essai" (K. Popper) pour tenter de comprendre la nature, puis de nos interprétations a posteriori de tests, ce sont toujours eux qui doivent trancher au sujet de la fausseté ou de la proximité à la vérité de nos hypothèses, ou de nos théories, sachant que notre jugement à ce propos demeure toujours faillible, même s'il peut être guidé par des considérations fournies par une épistémologie fondée sur la logique (lien).


(Un "non décisif", cela signifie qu'une réfutation obtenue à la suite d'un test, loin d'être certaine, peut par contre être jugée décisive pour nous éclairer sur la fausseté d'une théorie : à la suite de discussions méthodologiques, une communauté de chercheurs peut prendre la décision d'accepter une réfutation. Un "inaudible Oui", signifie que la science ne peut fournir que des "vérités provisoires", jamais certaines, définitives, exactes, ou absolues. Il n'y a donc pas, et il n'y aura jamais de prétendues "sciences exactes" dans les sciences de la nature... La certitude ne sera jamais "audible" (lien) (...) par aucun être humain ni aucune science empirique digne de ce nom, et c'est la raison pour laquelle, les "vérités" scientifiques, ne peuvent être que des corroborations, jamais de prétendues vérifications). Karl Popper : "La science est faillible, parce qu'elle est humaine".


La théorie du genre ne repose donc sur rien de scientifique, et les sciences de la nature la contredisent : il n'y a que deux sexes. Un individu qui se dit, par exemple, "bisexuel" ne peut être que soit un homme, soit une femme. Ce qui veut dire qu'un homme ne possède pas, bien sûr, les organes génitaux d'un homme et ceux d'une femme. Pour changer quoique ce soit à cet ordre des choses de la Nature, il faudrait une manipulation, peut-être (...) de notre ADN ? Mais ce serait en tout cas artificiel. Sinon, comment envisager, et sous quelle(s) influence(s) que l'humanité se réveille un jour avec des individus dotés des deux appareils génitaux, mâle et femelle ?!


Chercher des confirmations d'une théorie plutôt que des mises à l'épreuve sévères est un réflexe cognitif encore très répandu et issu du positivisme logique, dès que l'on souhaite défendre à n'importe quel prix une idéologie, ou plus généralement, une théorie. 


Cette erreur nous permet de comprendre comment l'extraordinaire popularité du terme, « sexualité »,  dont est responsable une pseudo-science comme la psychanalyse (lien) a, c'est le moins que l'on puisse dire, permis de le considérer dans en sens si vague et élastique, (en le dévoyant de sa fondation biologique, ou en la lui déniant), qu’il permet justement de croire justifiée n’importe quelle interprétation des faits en dehors de toute référence à la biologie, du moment que cette interprétation conforte une construction intellectuelle et idéologique, en donnant l'illusion qu'elle dit une "vérité" parce qu'elle semble correspondre aux faits, mais en ne voyant à partir d'eux que des confirmations de ce qu’elle énonce a priori.


Nous avons, dans cette enquête (lien) de Sophie Robert, des exemples de cette méthode idéologique et pseudo-scientifique, ainsi que de la gravité des incroyables absurdités que permet de proférer la psychanalyse, sur la sexualité. Exemples : "on ne représente pas le sexe féminin, puisque de toute façon, il n'est pas visible". Ou encore : "rappelez-vous, la femme n'existe pas". Ou : "comme Freud dit : la petite fille est un petit homme" ; "Les filles sont d'abord des garçons" ; "il n'y a rien de plus authentiquement femme, qu'une femme qui s'approche au plus près du masculin" ; "il n'y a pas plus beau phallus que la femme" ; "ce n'est pas votre corps qui fait que vous êtes un homme ou une femme" ; etc., etc., ad nauseam.


Voilà comment, à partir des délires charlatanesques des affirmations freudo-lacaniennes les plus saugrenues est-on sans doute parvenu à justifier de cette prétendue "théorie du genre"...

 

C'est avec sensiblement la même méthode, non valide, (de mise en exergue de "confirmations" toujours lues à la lumière de ce qu'énonce a priori une théorie, et non de preuves indépendantes testées de manière valide), que beaucoup ont cru, par exemple, que la célèbre formule de Simone de Beauvoir, « on ne naît pas femme, on le devient », était vraie, donc était en correspondance avec les faits, (A. Tarski), peut-être parce que personne n’a jamais vu une petite fille sortir du ventre de sa maman en portant des chaussures à talons hauts et en tenant « Marie Claire » ou « Femme actuelle » sous le bras. Ils n’ont tenu compte que de faits venant immédiatement confirmer leurs préjugés sociologiques ou psychologiques sur des habitudes qu’ils ont jugées typiquement féminines. 


Pourtant, l'on pourrait quand même donner crédit à la théorie de Simone de Beauvoir, et même d'un point de vue strictement "biologique". En effet, il est tout à fait clair, qu'une petite fille de disons 2 ou 3 ans, n'est pas encore "équipée" biologiquement comme l'est une femme. Par exemple, ce n'est pas encore à un âge aussi jeune qu'elle pourrait avoir ses règles. Donc, biologiquement parlant, une petite fille est une femme en devenir. Mais voilà maintenant pourquoi, même cet argument ne peut donner raison à Simone de Beauvoir : parce que le fait de devenir une femme adulte, est déjà inscrit dans le code génétique avant même la naissance. Personne n'a encore jamais vu un être humain, naître avec tous les attributs biologiques de sexe féminin, et puis voir muter naturellement (...) tous ses attributs biologiques sexués à un moment de sa vie ! Donc, "on naît femme", ou "on naît homme", et on le reste tout au long de l'existence.

 

Ce n'est pas parce qu'une femme déciderait de s'habiller « en homme », ou un homme « en femme », que cela pourrait avoir une influence sur ce qu'ils sont au départ, en nature. Un homme aura beau se maquiller pour tenter de ressembler à une femme, quand accepterait-il de reconnaître que ce maquillage, justement, et comme son nom l'indique, n'est en réalité qu'un mensonge ? 


Au sujet de la psychanalyse, il y a, bien entendu la fameuse théorie de la "sexualité infantile (lien)". Toute cette théorie typiquement psychanalytique ne se fonde, dans son contexte, que sur des observations, lesquelles sont uniquement permises qu'à partir des préjugés théoriques de Freud ou de ses propres délires métaphysiques. Ainsi, les psychanalystes ne peuvent-ils éviter de voir du "plaisir sexuel" chez un enfant d'à peine deux ou trois ans, lorsqu'il touche son pénis dans son bain.. Ils interprètent également comme du "plaisir sexuel" un enfant qui tête le sein de sa mère, et bien entendu, une foultitude d'autres comportements infantiles peuvent toujours, avec la psychanalyse, être qualifiés de "sexuels", ou prétendument manifestes d'un "plaisir sexuel" ou soi-disant motivés par des intentions "sexuelles". Mais aucun psychanalyste n'a jamais fourni la moindre preuve valide que toutes ces  interprétations, (trop souvent présentées comme d'authentiques explications causales...), plus ou moins saugrenues ou farfelues les unes que les autres sur la soi-disant "sexualité infantile (lien)", ne sont pas autre chose que purement arbitraires.


Pourquoi un jeune enfant qui touche son pénis dans son bain, ne serait-il pas tout simplement intrigué, curieux, et ne se livrerait finalement qu'à  d'innocentes explorations sur son propre corps ? Pourquoi le plaisir qu'un enfant peut éprouver en tétant le sein de sa mère devrait-il être "indubitablement" d'ordre "sexuel" ?! Et pourquoi la possible relation de séduction qui peut motiver un bébé à réclamer le sein de sa mère, relèverait de quelque motivation "sexuelle" de sa part ?! Les psychanalystes transforment facilement les enfants, en "adultes en miniature", et calquent leurs fantasmes ou leurs délires d'adultes sur les motivations infantiles, du moment que cela peut conforter ou "confirmer" (...) la théorie.


Ensuite, l'on nous dit que cette théorie freudienne de la "sexualité infantile (lien)" n'est pas "a priori" mais justement qu'elle se fonde bien, comme nous l'avons précisé plus avant, sur de multiples observations qui furent réalisées par Sigmund Freud. Mais alors, c'est encore une fois le même problème essentiel qui se pose, un problème fondamental : celui de la méthode et de son évaluation épistémologique indépendante


En effet, personne n'a jamais pu évaluer dans aucune des publications de Sigmund Freud ou de Lacan, un seul test extraclinique publié, test qui aurait été reproduit de manière indépendante sous contrôle intersubjectif, afin de démontrer comment cette théorie de la "sexualité infantile" qui seule a pu permettre ces "multiples observations" (puisqu'il ne peut jamais y avoir d'observation pure des faits...), aurait pu être corroborée par plusieurs mises à l'épreuve expérimentales. Personne n'a jamais pu avoir accès à des tableaux statistiques, ou des études observationnelles bien menées qu'aurait réalisé Freud, ses disciples, ou Lacan, jamais personne...


Et il ne faut pas s'étonner d'une telle situation, après que Freud ait explicitement rejeté tout recours à la méthode expérimentale, dans une réponse restée célèbre à Saul Rozensweig, en lui écrivant : "la richesse des informations fiables recueillies au cours de la cure analytique, la rend indépendante de toute vérification expérimentale", ou encore après qu'il ait, dès les premières pages de son Introduction à la psychanalyse, justifié de répudier tous les témoins pendant une cure, et que l'on ne pourrait connaître la psychanalyse, écrit-il, que "par ouïe-dire" !



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C'est encore Sigmund Freud qui affirmait que dans l'inconscient, il n'y a pas, chez l'enfant, de différenciation sexuelle


Mais la théorie de l'inconscient "psychique", qui, selon Freud exclut toute logique (...) et fondée sur un déterminisme prima faciae absolu excluant tout hasard et tout non-sens, permet de ce fait toutes les affirmations, (même les plus improbables et farfelues), et ne peut donc impliquer que des confirmations, sans que la moindre preuve soit nécessaire et même possible, puisque cette version si aprioriste en même temps qu'absolue du déterminisme, exclut toute possibilité de mise à l'épreuve. En effet, en excluant ainsi, a priori, toute possibilité du hasard et du non-sens, on supprime aussi toute possibilité d'énoncé sur des faits qui puisse réfuter la théorie. Cette théorie de l'inconscient n'a donc aucune base empirique identifiable (K. Popper), puisqu'elle ne possède aucune sous-classe de falsificateurs potentiels (K. Popper). C'est une théorie irréfutable, parce qu'elle peut "tout expliquer". 


La théorie sexuelle de Freud est une idéologie voire une pensée magique (Timpanaro ; Lévy-Strauss). Elle se situe à l'opposé de toute science, et l'on comprend aisément que cette idée d'absence de différenciation sexuelle au niveau d'un "psychique inconscient" qui a toujours malheureusement tant de succès, puisse aboutir à la croyance erronée que la "théorie du genre" serait fondée par de véritables preuves.


En résumé, pour croire "fonder" sa théorie sexuelle, Sigmund Freud ou Lacan, ou d'autres psychanalystes n'ayant jamais effectué de test extraclinique et selon la méthode expérimentale, (et donc n'ayant jamais été en mesure de publier quoique ce soit de cet ordre...), n'ont pu ou ne peuvent faire valoir que des "observations", mais toutes lues et réalisées à lumière de la théorie sexuelle de départ qui en a permis la possibilité. Leurs observations ne sont nullement indépendantes de cette théorie, elles en sont les produits directs. Ce ne sont donc que des confirmations de la théorie sexuelle de Freud et non des preuves valides, indépendantes, de sa portée descriptive.



Sophie ROBERT : "Pour en finir avec l'Oedipe : le développement psychosexuel de l'enfant" : 






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De l'observation comme prétendue méthode scientifique, ou étape  originelle, initiatrice de toute forme de connaissance : la connaissance, (scientifique, ou non), débute-t-elle vraiment par "l'observation". Sert-il à grand chose d'accumuler des obervations, donc des confirmations, toujours lisibes ou réalisables à la lumière de ce qu'énonce a priori une théorie pour soi-disant "prouver" la valeur descriptive de la théorie ? : 


Au sujet de la théorie de la vérité d'Alfred Tarski, comme correspondance avec les faits, il va sans dire qui ni lui, ni Karl Popper, pour lequel la théorie de Tarski a eu une influence si déterminante, n'envisage "d'immédiateté" ou "d'évidence" (lien), entre l'observation d'un fait, et le fait lui-même, entendu qu'il ne peut jamais y avoir d'observation "pure des faits", parce que toute observation est toujours guidée par la théorie, le préjugé théorique, l'hypothèse. 


Toute observation a valeur d'hypothèse, nous démontre Karl Popper, dans "La connaissance objective", s'opposant ainsi à la théorie de la connaissance du sens commun et sa théorie de "l'esprit seau", (où l'esprit recevrait passivement ses informations de l'extérieur). Dès lors, aucune confirmation d'une théorie, et relevée à partir d'elle, ne peut constituer une preuve du pouvoir descriptif démontré de la théorie. Il est donc inévitable de démontrer que toute correspondance d'une théorie avec des faits, est fondée sur des preuves indépendantes de la théorie et de l'observateur : la méthode d'approche de l'objet à expliquer doit être indépendante de la théorie qui prétend servir à l'expliquer, en d'autres termes, il est nécessaire que "l'explicandum" soit indépendant de "l'explicans" (Renée Bouveresse).


Citons Renée Bouveresse (In : Colloque de Cerise. Karl Popper et la science d'aujourd'hui. Editions Aubier, Paris, 1989, page : 349) : 


"Pour qu'une explication soit satisfaisante, une condition essentielle est requise : l'explicans doit être fondamentalement indépendant de l'explicandum, c'est-à-dire qu'il doit être testable indépendamment de lui. Une explication circulaire, du type "la mer est agitée parce que Neptune est de mauvaise humeur, ce qui se prouve par le fait que chaque fois que Neptune est de mauvaise humeur il agite la mer", est évidemment une mauvaise explication, comme le sont aussi les explications ad hoc, qui n'ont en leur faveur que le phénomène à expliquer, et auxquelles Popper reproche aux psychanalystes de recourir trop souvent."


J'espère de tout coeur que les esprits éclairés considéreront comme des plus triviaux tous nos arguments, et, de ce fait, mesureront, s'il ne l'ont pas déjà fait, que la situation présente est par conséquent encore plus grave : ce n'est pas parce que des arguments sont triviaux, qu'ils sont réducteurs ou simplistes, donc faux. Mais ce sont pourtant de tels arguments que les partisans de la « gender theory » rejettent obstinément, quand ils ne les affublent pas de je ne sais quel prétendu « fascisme ». Je regrette pour eux, mais « la vérité transcende toute autorité humaine » (Karl Popper), et elle n'a donc que faire du fascisme ou de son contraire. 


(Par exemple, la loi sur la vitesse de la lumière s'applique à toute créature vivante, à tout être humain, jusqu'à ce qu'elle soit réfutée par l'expérience : les "fascistes", les "non fascistes", les "communistes", les partisans de la théorie du genre, leurs adversaires, ..., enfin bref, à tout le monde. Seulement, les lois scientifiques ne sont que provisoires, alors que lorsqu'il est démontré qu'une loi de la logique est valide, c'est pour l'éternité. Tout comme en mathématiques : il est "vrai" pour l'éternité que l'ensemble des entiers naturels est infini. Mais ni la logique, ni les mathématiques ne font partie des sciences de la nature. 


C'est peut-être pour tenter de justifier encore de s'affranchir du recours à la méthode expérimentale, comme le fit explicitement Sigmund Freud en réponse à Saul Rosenzweig : "la richesse des informations fiables recueillies au cours de la cure analytique, la rend indépendante de toute vérification expérimentale", que Jacques Lacan a tenté de "fonder" ses théories délirantes sur l'inconscient et la sexualité, sur les mathématiques, espérant ainsi placer  hors d'atteinte la psychanalyse, de toute critique, puisqu'elle serait aussi "sûre" et "fondée" que cette discipline, et par conséquent dotée elle aussi, de "vérités éternelles et incontestables". 


Mais, comme nous l'avons dit précédemment à la suite de Karl Popper, ni les mathématiques, ni la logique, ne font partie des sciences de la nature, et Albert Einstein lui-même, aurait pu répondre ceci à Jacques Lacan : "si la mathématique est certaine, elle ne s'applique pas à la réalité, et, si elle n'est pas certaine, alors, elle s'applique à la réalité". Les partisans de la "théorie du genre" tenteraient-ils de fonder eux aussi leurs croyances sur les mathématiques ? Nous pourrions leur opposer la même réponse que formula Einstein et ainsi leur démontrer que jamais la "théorie du genre" ne sera une prétendue "vérité éternelle et incontestable".).

 

Les confirmations d'une théorie ne prouvent donc rien, comme le démontre aussi Karl Popper. Ce ne sont pas elles, toujours potentiellement lisibles à la lumière de ce qu'énonce a priori une théorie qui apportent une preuve valide de sa portée descriptive, mais uniquement les réfutations ou les corroborations obtenues à la suite de diverses tentatives de mise à l'épreuve de la théorie...



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Il faut alors s'interroger sur les problèmes d'ordre psychologique liés à la bisexualité et à ce qui peut les fonder : les problèmes approchés par les sciences du cerveau à l’aide de la méthode expérimentale, et non de simples confirmations. Car s'il peut soi-disant exister une "psychologie sans cerveau", ou du "psychosexuel-entièrement-psychique-et-inconscient" (...), alors c'est simple, (si j'ose dire), et faites l'expérience suivante : amenez un individu dans un bloc opératoire, et ôtez-lui son cerveau, où les zones cérébrales concernées par la libido, et ensuite, interrogez-le sur ses désirs et ses orientations sexuelles...


Quant à obtenir des réponses claires (...) de sa part, je vous prédis cependant, certaines difficultés.


La théorie du genre a pour conséquences désastreuses, notamment, (en voulant ainsi "plier la Nature à l'Idée"...), de faire réaliser des opérations chirurgicales sur des petits garçons pour les émasculer, leur ôter leurs organes sexuels, et chez les filles, leur ôter une poitrine naissante, etc. Ce qui ne sont rien moins que d'horribles et intolérables mutilations. S'agit-il d'une nouvelle "ère" ? "L'ère Frankenstein" ?...


La société, les gens éclairés et responsables, doivent s'interroger sur ce qui peut bien motiver des parents, les éducateurs ou le tout venant, à voir une quelconque rigueur scientifique, ou une pertinence dans cette abjecte "théorie du genre". Si un travail d'éducation et de prévention doit être fait, c'est contre la théorie du genre, et non pour la promouvoir et la faire accepter.

 


 



"Mon corps, mon genre, ta gueule"... Quel slogan... 



Celui qui le tient a-t-il seulement songé à la contradiction notoire qu'il exprime ? 


Si "mon corps", c'est aussi "mon genre", et s'il attache donc tant d'importance à son corps, c'est-à-dire a ce qui le fonde biologiquement, en tant qu'individu, comment peut-il si facilement "détacher" son genre de son fondement biologique : son corps ?.. 


Mais, cela doit être autre chose, qu'il a voulu dire. Par exemple : "j'ai un corps, donc je reconnais qu'il est entièrement fondé par la biologie, mais mon genre est séparable de mon corps". Autrement dit, l'on peut donner un sens rigoureux au "genre", en dehors de tout fondement biologique ? Voilà qui est totalement absurde, puisqu'il faudrait une opération chirurgicale catastrophique, consistant à lui ôter quelques parties (...) de son corps, pour qu'il puisse croire qu'il a raison ! Ce serait, peu ou prou le même problème pour un aigle qui voudrait se dire être un coq..


Cependant, beaucoup penseront que nous avons tort. En effet, pour un individu "genré" (un homme biologique qui se dit être une femme, par exemple), il n'est même pas nécessaire qu'il change de sexe pour croire qu'il a raison quand il affirme "être une femme" quand il est un homme ! A partir de là, comment un esprit doué du fonctionnement normal de sa raison ne pourrait-il, à bon droit, suspecter que celui qui fait de telles affirmations absurdes, est un esprit malade, dérangé, perturbé, et qu'il faut soigner... s'il fait cette affirmation de manière tout à fait sincère ? Mais si ce n'était pas le cas ? S'il savait fort bien qu'il est toujours un homme, et choisissait de dire qu'il "est une femme" et d'agir comme tel ? Comment alors, devrait-on qualifier un tel comportement, si ce n'est par de la perversité, et encore une fois, par l'anormalité ?


"Ta gueule" ? Bon... C'est sans doute l'attitude la plus convenue chez les partisans de la théorie du genre, et contre ceux qui osent la critiquer. Nous sommes bien dans le délire idéologique, jusqu'à l'intolérance. Un nouveau "fascisme" ?...




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Nous ne montrerons que cet exemple vidéo, déjà suffisamment choquant et inadmissible. 


Et tout cela au nom de "l'inclusion", et même dans l'éducation nationale ?!... 


"Ah ! Inclusion, que de crimes on commet en ton nom !"


Comme vous le verrez, les enfants sont normalement constitués : aucun ne vient au monde en étant génétiquement préparé à accepter la "théorie du genre". D'ailleurs, cette expression est déjà bien trop complexe pour eux pour qu'ils la comprennent spontanément. S'ils peuvent en devenir "convaincus", ce ne peut donc être le fait que de  l'influence d'un entourage adulte, lui-même fortement fragilisé et endoctriné par cette absurdité. Par conséquent, c'est au niveau des adultes qu'il faut d'abord travailler, pour éviter que les enfants ne soient victimes de leur influence.  Et, bien sûr, c'est au niveau des décideurs politiques qu'un gros travail de remise en ordre des idées reste à faire, sans parler des premiers promoteurs de cette "théorie" abjecte. 


Vous ne verrez donc sur ce blog, aucune de ces photos insoutenables, je souligne, de ces enfants mutilés après avoir subi une ou plusieurs opérations chirurgicales visant à oblitérer pour toujours ce qu'ils sont en nature. C'est trop horrible, et trop révoltant à la fois...


C'est un crime que de soumettre des enfants encore purs de toute suggestion, à la soi-disant validité de la "théorie du genre", en contact d'adultes capables de les influencer, et de les intimider de manière "soft". C'est un crime intolérable.


Laissez les enfants en paix ! Leur éducation sexuelle doit être strictement réservée à leurs parents. Des parents, espérons-le, encore sains de corps et d'esprit et dont la lucidité ne cédera jamais un pouce à la "théorie du genre". 


Parents responsables et éclairés, exigez de récupérer vos enfants afin qu'ils n'assistent pas aux prétendus "cours d'éducation sexuelle" que compte asséner l'éducation nationale. Refusez en totalité, la "théorie du genre", et aussi le délire de l'idéologie "woke" !






D'autres faits consécutifs à la "théorie du genre" : Il va falloir aussi songer à ce que les sportifs de sexe masculin ne décident pas non plus de "changer de sexe" au cours d'une même compétition, pour aller gagner "chez les femmes", s'ils ont pris une raclée "chez les hommes", hein !? : 








Un autre exemple d'aberration dans le sport, en athlétisme. Les femmes vont-elles finir par être exclues du sport ? Donc, pour gagner lors des compétitions féminines, il va falloir être un homme ?...:













L'UNSA et la théorie du genre : 








Sur le projet d'éducation sexuelle à l'école, de Pap Ndiaye, la réaction de parents en colère : 





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NON à l'abject dans l'Education Nationale : 






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La "théorie du genre", jusqu'aux délires les plus délirants (...), les plus saugrenus, absurdes, pathologiques, démentiels, horribles : 




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Un "spécimen" parmi d'autres : 




...justement, en voilà quelques autres. C'est pour mr. Pap Ndiaye, mr. Mélenchon et consort, et notre ministre de la culture, apôtre de certaines oeuvres "artistiques" (on peut le dire, mais vite...).

Donc, messieurs, mesdames, vous verrez : très bon cadrage, excellente définition, et même de la musique pour que vous puissiez danser. Vous ne bouderez sans doute pas votre plaisir, mais quant à nous, veuillez nous excuser, nous avons déjà envie d'aller vomir plus loin :






Et vous croyez vraiment que les citoyens éclairés vont accepter l'idée que ce sont de pareilles créatures (c'est le cas de le dire...), qui vont désormais incarner le "progrès" de la civilisation occidentale, de sa tolérance, et de ses libertés ?


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Des jeunes, responsables, réagissent. Nous leurs disons : BRAVO ! :







(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).




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Des élucubrations déjantées de la psychanalyse, à la théorie du genre :

 







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L'Être Trans : transsexuelles et critiques de l'idéologie du genre". (Sophie ROBERT) : 





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"La psychanalyse à l'épreuve de l'histoire et de la science" (Jacques VAN RILLAER) : 





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Alfred Tarski et la théorie de la vérité comme correspondance avec les faits :


 




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Une dernière question, pour mr. le ministre de l'éducation nationale : 




Il paraît que vous avez placé vos enfants dans une "très réputée école privée", mr. Pap Ndiaye ? Mais pourquoi donc ? Ce n'est pas assez bien pour eux, l'école publique ? 


Pourquoi ?


Vous craignez qu'on leur parle de sexualité ? Ou bien vous ne souhaiteriez pour rien au monde qu'ils soient en face des conséquences de votre politique "inclusive", à être obligés d'écouter divaguer des "drags queens" ou autres "transgenres" au CDI ou dans la cours de récréation, sans doute ?


Peut-être craignez-vous aussi (et à juste titre, si c'était le cas...) que vos enfants ne soient confrontés à ce genre de "spectacle" : 





Nous sommes maintenant très tentés de vous sommer de répondre publiquement à ceci, mr. Ndiaye ! D'y répondre sans équivoque, sans détour, et sans langue de bois, et d'y répondre le plus tôt possible : que pensez-vous de toute cette immonde chiasse ? : 








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Les mots de la fin : 






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François REVEL, sur le prétendu "sexe des mots" (lien).



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Greg TOUSSAINT : 







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1 commentaire:

Psychanalystes, dehors !

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