Jacques Vergès, face à un journaliste, inculte, hypocrite, et d'un niveau moral plutôt bas.
Jacques Vergès finit par perdre patience avec cet individu, et l'éconduit sans ménagement, comme il le mérite.
Ce journaliste reflète bien le modus vivendi de beaucoup "d'intellectuels" (ou prétendu tels) de notre époque : le lynchage moral, la disqualification morale sur la base d'accusations diffamatoires, l'appel aux émotions plutôt qu'à la raison, la mobilisation puis la promotion plus ou moins tacite des sentiments et des émotions du "plus grand nombre", c'est-à-dire, une sélection par en bas, comme l'écrivait Hayek, vers un niveau d'analyse des problèmes et des faits très moyen, sur la base de sentiments négatifs plutôt que positifs, etc., etc..
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".