Avec quelques réserves :
La Lybie. Il fallait laisser l'Etat lybien en paix, et ne rien faire du tout. Le régime Kadhafi ne rendait pas les lybiens malheureux. Bachar El Assad a-t-il massacré son propre peuple ? Nous en doutons fortement. Ce sont plutôt des bandes armées venues de pays limitrophes à la Syrie et armées par les pays occidentaux, notamment (...) qui ont massacrés les syriens pour semer la terreur et le chaos dans le pays et diaboliser son chef d'Etat afin de justifier l'intervention dans son pays, mais toujours à des fins économiques et militaires.
Précisions :
Yann Moix, en raison de son insistance stupide à tenter de reprocher à l'ancien ministre de l'intérieur que fut aussi Dominique de Villepin, des faits, par rapport auxquels les fonctions qu'il occupait à l'époque ne lui permettaient pas de les traiter comme il aurait pu les traiter, (mais aussi de son agressivité hystérique coutumière), accède, non au rang de récalcitrant éclairé, mais à celui de volaille enragée, rejoignant ainsi Léa Salamé et quelques autres, comme Finkielkraut et BHL, pour ce qui est des français...
Nous relevons aussi une "tactique" de Yann Moix, c'est le chaud et froid : il couvre son interlocuteur de compliments pour mieux le descendre ensuite, souvent avec des arguments fallacieux et empreints de malhonnêteté intellectuelle, contrairement à ce qu'il prétend. Donc, cette technique de chaud et froid, semble utile à Yann Moix pour faire croire en sa compétence à interroger honnêtement et respectueusement ses invités, et en sa probité morale et intellectuelle.
Dominique de Villepin s'énerve contre les incompétences de Yann Moix et sa mauvaise foi, et non parce qu'il aurait été déstabilisé et pris en défaut par les questions de ce dernier.
Le Monde, Le Figaro et Libération sont des médias qui roulent pour le système, Yann Moix, (tout comme vous, d'ailleurs, et Léa Salamé), ils ne sont plus à considérer comme des sources d'information totalement fiables. Yann Moix n'est qu'une volaille enragée dans sa basse-court de mauvaise foi, d'agressivité et d'hystérie simplificatrice.
Nous relevons aussi une "tactique" de Yann Moix, c'est le chaud et froid : il couvre son interlocuteur de compliments pour mieux le descendre ensuite, souvent avec des arguments fallacieux et empreints de malhonnêteté intellectuelle, contrairement à ce qu'il prétend. Donc, cette technique de chaud et froid, semble utile à Yann Moix pour faire croire en sa compétence à interroger honnêtement et respectueusement ses invités, et en sa probité morale et intellectuelle.
Dominique de Villepin s'énerve contre les incompétences de Yann Moix et sa mauvaise foi, et non parce qu'il aurait été déstabilisé et pris en défaut par les questions de ce dernier.
Le Monde, Le Figaro et Libération sont des médias qui roulent pour le système, Yann Moix, (tout comme vous, d'ailleurs, et Léa Salamé), ils ne sont plus à considérer comme des sources d'information totalement fiables. Yann Moix n'est qu'une volaille enragée dans sa basse-court de mauvaise foi, d'agressivité et d'hystérie simplificatrice.
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".