mardi 6 décembre 2016

Sophie ROBERT. "Le Phallus et le Pas tout, ou le zizi et la zézette".








Cher(e)s récalcitrant(e)s éclairé(e)s,

En suivant ce lien qui vous mène vers le site de Sophie Robert, vous redécouvrirez, encore une fois, l'énormité (autant scandaleuse qu'inquiétante) d'une situation typiquement "franco-française" : La survivance tenace dans notre pays, d'une doctrine qui est depuis toujours, autant une imposture scientifique que thérapeutique : la psychanalyse.

Vous pourrez également retrouver les fameuses interviews de Sophie Robert où des psychanalystes tiennent des propos délirants (et souvent hilarants) sur la sexualité, notamment sur l'existence d'une prétendue "sexualité infantile" (décidément, cette lubie a la vie dure..), et par conséquent à quel point leur conviction clairement affichée que ces théories fumeuses pourraient être fondées rajoute encore au comique involontaire du rôle joué sous nos yeux par ces praticiens.

Mais les propos tenus par certains membres de la secte freudo-lacanienne, filmés par Sophie Robert, ne sont pas seulement délirants ou hilarants, ils sont aussi parfois irresponsables, scandaleux, et même inacceptables, à certains moments, comme ce penchant aigre-doux consistant à plus ou moins donner caution à la pédophilie... Le plus grave, selon nous, étant que ces psychanalystes semblent les assumer complètement, ou bien ne pas se rendre compte de leur caractère inadmissible.

La psychanalyse, est un charlatanisme qui s'assume totalement, avec arrogance, condescendance, et, il faut le souligner, sans aucun scrupule pour ses victimes, ni ses critiques. Elle se targue d'avoir tout infecté, et d'avoir agrandit l'étendue de son influence néfaste, aussi loin que possible dans des secteurs clés de la société, comme l'éducation, et la santé, par exemple, ce qui est gravissime.

Or, ainsi que nous l'avions constaté, il y a quelque mois, avec le suicide d'une maman de deux enfants autistes, les catastrophes sociales dont elle s'est, indirectement ou directement rendue responsable au cours de son histoire, voire même les drames et les tragédies, (à ce sujet les livres de Jacques Bénesteau et Mikkel Borch-Jacobsen sont édifiants), bien qu'ils continuent de s'accumuler, sont encore loin d'alerter suffisamment l'opinion publique pour qu'elle se décide enfin à ouvrir les yeux sur ce qu'il convient de faire, en France, au sujet de la psychanalyse :

1. mettre fin à la reconnaissance d'utilité publique de la psychanalyse ;

2. interdire son usage dans tous les secteurs de la santé publique (mais aussi dans le secteur privé), et notamment, bien entendu, dans tout ce qui touche à la santé mentale ;

3. interdire son usage dans le secteur médico-social ;

4. lancer une campagne nationale d'information sur son caractère pseudo-scientifique et nocif, dans une perspective de prévention, de formation et d'éducation.






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Psychanalystes, dehors !

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