lundi 23 mars 2020

COVID-19. Un prix Nobel de médecine face à "Big Pharma"...





Extraits : 


"Les médicaments qui guérissent ne sont pas rentables et ne sont donc pas développés par les laboratoires pharmaceutiques, qui parallèlement  développent des médicaments qui chronicisent les maladies et qui doivent être consommés de manière ininterrompue."


Commentaires : 

Bah, c'est comme la psychanalyse. Mais la psychanalyse "ne guérit pas, elle sauve" se targuent d'affirmer certains de ses fanatiques les plus endurcis... Elle sauve de quoi ? De la connerie ? Non, disait Lacan, il suffit de lire les arguties des psychanalystes au sujet de l'épistémologie, de Karl Popper, et de la méthode scientifique. Sans parler de l'autisme. Quant "chroniciser" les maladies, c'est bien tout ce que peut faire la psychanalyse : inciter les patients à continuer ad nauseam leur "analyse" pour les meilleurs profits de l'analyste et de la main mise idéologique de la psychanalyse.


"Certains médicaments qui pourraient guérir complètement les maladies ne sont pas étudiés. Dans quelle mesure est-il recevable que l’industrie de la santé soit régie par les mêmes valeurs et principes que le marché capitaliste, qui est très semblable à la mafia », demande le lauréat du prix Nobel de 1993."


"Dans notre système, les politiciens sont de simples employés des gros capitaux qui investissent ce qui est nécessaire pour assurer la victoire à leurs poulains, et s’ils ne sortent pas vainqueurs, ils achètent ceux qui sont élus."


La messe est dite.


 



 

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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

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