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Si je ne suis pas porteur du virus, et que j'ai des raisons de valeur scientifique de douter que l'on m'impose la vaccination (parce que l'on pourrait utiliser des moyens alternatifs comme des médicaments qui ont désormais fait leurs preuves), je ne présente aucun danger pour personne, et j'ai même le droit de dire que ce sont les personnes vaccinées qui représentent un danger potentiel pour moi, puisqu'il est désormais démontré que les vaccins Pfizer et autres n'empêchent nullement, ni la contamination ni la transmission du virus, même s'ils semblent (...) bien protéger des formes graves.
Par exemple, une personne vaccinée peut très bien me transmettre le virus, sans elle-même être atteinte par une forme grave, et me rendre malade. Il est donc parfaitement clair que les gens qui ne sont pas vaccinés ne représentent pas un danger pour les autres à partir du moment où ils ne portent pas le virus. S'ils ne le portent pas, ils ne peuvent donc pas le transmettre, c'est tout de même évident, je crois...
Pour savoir si toutes les personnes non vaccinées représentent un danger potentiel il faudrait rendre des tests fiables (je souligne…) obligatoires, et là, le refus de se faire soigner par des médicaments ou de se faire vacciner pourrait être jugé irresponsable, bien sûr.
Par conséquent, il me semble tout à fait clair et même indiscutable que cette interprétation de la situation est non seulement contraire à la réalité des faits, mais en plus, ostracise de manière non justifiée les personnes saines et non vaccinées.
L'on peut même supposer maintenant que s'il doit y avoir une immunité collective, elle viendra probablement bien plus des personnes encore saines après un an d'épidémie et qui refusent de se faire vacciner que des personnes vaccinées !
En effet, il me semble logique de supposer que ce sont bien les personnes encore saines et toujours pas vaccinées après un an d'épidémie qui soient les plus susceptibles d'avoir développé une immunité ? (Mais ce point de vue devrait quand même être corroboré par un spécialiste de la question).
Donc, ce sont encore les mêmes questions qui reviennent de manière récurrente :
- Pourquoi le gouvernement occulte-t-il se manière si obstinée le fait que des médicaments ont désormais apporté des preuves solides de leur efficacité contre le Sars-Cov2, en phase précoce de la maladie ? POURQUOI ?
- Pourquoi le gouvernement ne propose-t-il pas le CHOIX aux personnes non porteuses du virus : soit de se faire vacciner, soit de se soigner, si jamais elles étaient infectées ? Avec le Pass Sanitaire, nous n’avons pas d’autre choix que nous faire vacciner, même si nous ne sommes pas infectés et qui plus avec des vaccins dont beaucoup de personnes tout de même reconnues dans leur métier affirment (et « Mr Vaccin » l’avait aussi très clairement dit en présence même du Premier Ministre au cours d’une mémorable conférence de presse !!) que pour l’instant (je souligne), ces vaccins n’ont pas apportés de preuves suffisantes de leur innocuité … sur le moyen terme et a fortiori sur le long terme..
Enfin, de récents rapports officiels ne provenance d’Israël démontrent que même des personnes vaccinées peuvent mourir des formes graves de la maladie. Il faut remarquer ce fait récent et nouveau ! Si les statistiques venaient à gonfler sur ce point précis, elles signifieraient quelque chose de très clair : ces vaccins sont un échec, y compris sur le court terme ; ils sont peut-être même une imposture scientifique (?!..). Je tiens à souligner aussi, que Pfizer et le gouvernement français prévoient d'administrer 2 à 3 doses tous les ans à la population ! Mais si l'on compare avec le DTPolio, avait-on besoin de deux ou trois rappels par an ?
Il est tout à fait ABSURDE d’affirmer qu’une personne non vaccinée met soi-disant en jeu la vie des autres, sans même se soucier de savoir si elle est infectée ou non, et, il faut le répéter et ne pas l'oublier : sans de surcroît tenir compte du fait qu’il est désormais avéré que même les personnes vaccinées peuvent transmettre le virus !
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".