dimanche 5 septembre 2021

Pharmacovigilance des vaccins contre la COVID-19 et réplication des coronavirus. (CHU Marseille).

 





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Sujet : la réplication des coronavirus due à leur potentiel de mutation génétique inédit : 



Commentaires : 


Cette vidéo date du 29 mars 2021. On y apprend notamment que le tristement célèbre Remdesivir aurait provoqué des mutations du virus....

 

Juste une intuition (si j'ai bien compris) : est-ce que la propriété inédite des coronavirus à présenter une plage de mutation génétique plus large que d'habitude ne risque pas de mettre en échec les nouveaux vaccins "ARN" ?.. "Les coronavirus ont le potentiel de faire varier, à l'aide de leur machinerie, ce taux de mutation", nous dit Bruno Canard. En fait, le potentiel des coronavirus à muter semble assez inouï... En effet, les coronavirus ont le potentiel de faire varier leur taux de mutation, alors que dans les autres cas de virus connus, ce taux demeure stable ! Cependant, il semble envisageable de manipuler ce taux de mutation des coronavirus pour parvenir à le contrôler (Bruno Canard)... (Mais les vaccins actuels ne semblent pas du tout avoir été conçus à partir d'une technologie possédant un tel pouvoir : un contrôle du taux de mutation du Sars-Cov2...).


Mais quelle est la diversité génétique qui est créée ? Comprendre cela, c'est comprendre le potentiel du virus, notamment à échapper à l'efficacité de la vaccination. (Ce qui veut dire que ceux qui ont fabriqué les vaccins ne pouvaient être en possession de cette connaissance au moment où ils ont été administrés de manière massive). Ensuite, le génome du coronavirus est très grand : il y a beaucoup de gènes qui codent dans ce génome et la réplication des 30 000 bases du génome est très rapide. Il existe une mutation par 30 000 base répliquée. 


Bruno Canard : 


"Quand on mesure la vitesse de réplication on tombe sur une polymérase qui est capable de polymériser les nucléotides à la vitesse de 600 nucléotides par seconde" (!). "C'est absolument considérable : 600 fois par seconde, la polymérase est capable dans une soupe de nucléotides de toutes sortes de choisir le bon et de faire la réaction" (!). "C'est de l'ordre de 10 fois plus que n'importe quel autre ARN polymérase, c'est juste un spectacle incroyable de l'évolution"


Donc, question : est-ce que les nouveaux vaccins "ARN", tels qu'ils ont été initialement conçus pourront garantir de faire face à un tel potentiel de mutation génétique des coronavirus en nouveaux variants ? A priori, mathématiquement parlant, la réponse semble négative. L'on peut donc d'ores et déjà rationnellement suspecter (je souligne : seulement suspecter), que ces nouveaux vaccins "ARN" ne pourront jamais avoir qu'une efficacité réelle limitée, et éventuellement nulle (...) pour endiguer les nouveaux variants du Sars-Cov2. 

 

Ces nouveaux vaccins ont donc été indiscutablement lancés malgré une connaissance insuffisante sur le potentiel génétique du coronavirus à muter de façon si exceptionnelle (ou alors, le savait-on très bien, ce qui est plus grave encore, mais passons....). De ce fait, pourquoi a-t-on affirmé que ces nouveaux vaccins "ARN" seraient soi-disant efficaces à +90% étant donné ce fait : l'on ne peut connaître à l'avance, (dans le cas très spécifique des coronavirus), et avec une probabilité suffisante non seulement le nombre, mais encore la nature tout aussi spécifique des nouveaux variants possibles qui peuvent apparaître... 

 

Moralité ? Comme le suggérait déjà le Pr. Didier Raoult, l'univers de la biologie fait bien plus partie de celui des "nuages", que celui des "horloges", et bien malin celui qui prétendrait le maîtriser comme on maîtrise l'univers des horloges, avec des vaccins, fussent-ils "ARN". 


(Il faut rappeler que le Pr. Didier Raoult, s'est toujours défendu de faire des prédictions ou des prophéties en matière d'épidémiologie, c'est-à-dire de l'évolution des épidémies). L'on pourrait sans doute se rapprocher de ce rêve avec d'autres types de virus, mais visiblement pas avec les coronavirus. (Mais, veuillez écoutez, s'il vous plaît la vidéo, et vous saurez ensuite, si je me plante ou non, mais je crois que non).




Autres questions  (nous sommes maintenant le mardi 28 décembre 2021) : 

Comme on le constate si l'on écoute attentivement les deux conférences publiées dans cet article, au moment même où sont divulguées par l'IHU de Marseille, les données scientifiques concernant le pouvoir mutagène inédit des coronavirus (par rapport aux autres virus), les vaccins "ARNm" sont déjà lancés et administrés à la population... Voilà le point de départ de ce qui va suivre. 

Et, comme je le souligne dans mon article, il y a bien sûr toutes les chances pour les fabricants des vaccins "ARNm" n'aient pu rien connaître des capacités mutagènes inouïes des coronavirus... Le constatant donc, en septembre 2021, pourquoi les fabricants n'ont-ils pas retiré de la vente leurs "vaccins", et pourquoi n'ont-ils pas admis que ces "vaccins" seraient de toute façon (...) impuissants à assumer le "choc" des variants successifs, apparition des variants qui elle, par contre, était déjà connue avec le variant Delta et les précédents. 

Mais, on dirait que je viens juste de me contredire ! 

Et oui : puisque l'on connaissait le variant Delta avant septembre 2021, ainsi que les précédents, alors, les fabricants ne pouvaient aussi ignorer les capacités mutagènes des coronavirus, au moins à partir d'une certaine période ... 

La question qui se pose alors est la suivante : à partir de quand exactement les fabricants des vaccins savaient-ils que le Sars-Cov2 pouvait muter ? Et le sachant, ne pouvaient-ils suspecter qu'une seule dose serait insuffisante (voire totalement inefficace sur un court terme de quelques mois) ? Mais, le suspectaient-ils vraiment ? 

Je veux dire : n'ont-ils pas délibérément fabriqué des "vaccins" en toute connaissance de cause, comme on fabrique un produit quelconque qui contient dès le départ dans sa conception, ce que l'on appelle aujourd'hui une "obsolescence programmée" ? Et cela, bien sûr, afin de multiplier les doses, et par suite, les profits financiers ? 

Ce ne sont-là que de "simples questions".



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Un autre avis, cette fois encore d'un spécialiste à propos du nouveau variant "MU" (à l'écouter, il semble bien confirmer nos suspicions) : 










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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

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