mardi 5 octobre 2021

"De la culture du viol chez les chiens" : l'incroyable canular qui a piégé la sociologie américaine.

 

Tous les champions de la philosophie hégélienne, de la "french theory", du postmodernisme et autres histoires à dormir debout devraient quand même réfléchir : on croyait que l'eau avait coulé sous les ponts depuis l'affaire Sokal et Bricmont, mais non. 

Alors, pour pleurer de rire en ces temps bien sombres de dictature sanitaire et cette longue histoire à dormir debout qu'est le "pass sanitaire", (nos gouvernants sont aussi des "postmodernes"...), voici cet article paru dans "Marianne". A lire et à partager : 







Bref commentaire : 

Non, les mots ne peuvent pas "tout", ils n'ont pas tous les pouvoirs. Et il vaut bien mieux un seul argument fondé sur les faits "que tout le royaume de Perse" (...).

Cet article nous révèle que quelles que soient les époques, les plus graves menaces contre la science et la vérité sont toujours présentes et qu'il faut toujours lutter contre elles. 

Ces menaces sont le relativisme et par la même occasion la méfiance, sinon même l'incompréhension ou le rejet de la possibilité de la vérité objective, puis l'autre méfiance et rejet de l'usage du rationalisme critique. 

Plus que jamais, notre époque a donc besoin de l'oeuvre de valeur universelle et intemporelle de Karl Popper, mais l'on constate que ceux qui l'ont le plus souvent dénigré par une approche superficielle ou mensongère de ses thèses sont aussi ceux qui ont promu ou qui continuent de promouvoir les pseudo-sciences en faisant usage de la verbosité et de l'intellectualisme issus de la "philosophie" de Hegel


*

Nous croyons que lorsque l'Occident en aura fini avec Hegel, son irresponsabilité morale, son historicisme et sa dialectique, sans parler de cette erreur selon laquelle "tout ce qui est réel est rationnel et tout ce qui est rationnel est réel", nous aurons toutes les raisons de fonder des espoirs dans l'émergence d'une nouvelle grande révolution scientifique et culturelle dont notre monde a tant besoin pour se débarrasser de certains paradigmes dit "scientifiques" ou "objectifs" mais qui en réalité ne sont que des idéologies intolérantes et obscurantistes, des obstacles aux réels progrès de la connaissance et de la Vérité ainsi que la réification nécessaire de l'optimisme.


(Patrice Van den Reysen).






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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

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