De "l'acupuncture" ? :
Hypothèse (risquée, faute de connaissances) :
1. Constats :
L’on sait donc que les vaccinés peuvent non seulement contracter mais aussi transmettre le virus…
L’on sait aussi que la fameuse protéine « spike » a été par conséquent inoculée aux personnes vaccinées (ce qui n'est, bien entendu, pas le cas des personnes non vaccinées et non infectées : aucune protéine « spike » chez les non vaccinés et non infectés).
2. Voilà maintenant l'hypothèse :
Et si cette protéine « spike » était quand même l’un des vecteurs privilégiés chez les vaccinés, surtout pour la transmission du virus à autrui, y compris si une personne vaccinée n’était pas infectée ?
(Donc, si ce que l’on savait sur la protéïne « spike », jusqu’ici, pouvait être réfuté par de nouveaux tests, en particulier sur la constitution des vaccins « ARNm » ?..).
Mais peut-être serait-ce un autre « élément » (.. ?) qui permettrait la transmission d’une personne vaccinée (et non infectée) vers une personne non vaccinée (et également non infectée) ?
3. Interprétations possibles si cette hypothèse était corroborée par des tests :
Donc, si cette hypothèse pouvait être corroborée, alors cela voudrait dire que plus l’on vaccine de gens, et plus l’on augmente les potentialités de la transmission du virus ? (… ?.. ?).
(Si cette hypothèse vous intéresse, je crois que la meilleure chose à faire, est de la critiquer, de la mettre à l’épreuve, par conséquent de la réfuter aussi sévèrement et objectivement que possible. Donc, ne me croyez pas. Ne croyez rien de cette hypothèse, mettez-là à l’épreuve si vous le jugez utile. Cependant, je veux bien parier sur le fait qu’elle pourrait être corroborée par des tests).
Si cette hypothèse était, contre toute attente (…), corroborée par des tests contrôlés de manière intersubjective et par des personnes habilitées à conduire des recherches dans le domaine, cela éveillerait, à mon avis, d’autres doutes et des interrogations au sujet de la politique du gouvernement. Je vous laisse envisager celles que vous voudrez, mais moi, j’ai les miennes que je ne souhaite pas divulguer.
Mais si elle était corroborée, alors, qui faudrait-il protéger de qui ? Les vaccinés ou les non vaccinés (non infectés) ? A qui devrait s'appliquer les restrictions ?..
(Patrice Van den Reysen).
J'ai oublié une autre hypothèse :
Et si la vaccination favorisait l'émergence (artificielle) de variants, alors que le génome de base "naturel" du virus (déjà particulièrement mutagène), lui, ne peut générer indéfiniment d'autres variants et que ces derniers deviennent même de moins en moins virulents jusqu'à disparaître et avec eux, le virus ?
Donc, n'est-ce pas la vaccination elle-même, qui en favorisant la transmission, risquerait aussi de démultiplier ad nauseam les "variants" et permettrait ainsi de justifier, tout aussi "ad nauseam", d'autres rappels de vaccination et par suite des profits supplémentaires à "Big Pharma" ?... (Simples hypothèses).
Autres questions :
Cependant, ce ne sont pas, à proprement parler d'authentiques "vaccins", il s'agit d'une thérapie génique. Mais le gouvernement n'emploie que le terme de "vaccins". Donc est-il normal, habituel, (si l'on regarde l'histoire des vrais vaccins), que l'on soit obligé d'inoculer tant de doses de rappel et selon des périodes aussi rapprochées, si vraiment ces "vaccins" ont une quelconque efficacité ?
Et si le gouvernement disait la vérité, c'est-à-dire, s'il parlait de thérapie génique au lieu de "vaccins", ce qui donnerait quand même plus de sens au fait que la population soit obligée de se "soigner" sur une durée plus ou moins longue (plusieurs années, ou ad vitam aeternam) ; que vaudrait également une telle "thérapie" qui se voit systématiquement mise en échec par l'apparition de nouveaux variants d'un virus qu'elle est censée éliminer ? (Mais à ce sujet, le gouvernement pourrait répondre que malgré tous les médicaments existant contre le rhume, l'on a encore jamais réussi à éradiquer les rhumes...).
Le gouvernement souhaite-t-il faire "entrer dans les moeurs" des citoyens le fait qu'ils seront obliger de se "soigner" contre le Sars-Cov2 et ses "variants", toute leur vie, générations après générations, un peu comme l'on se soigne, année après année contre la grippe, ou contre un rhume, comptant que la Science ne parviendra probablement jamais à éradiquer totalement le Sars-Cov2, le rhume ou la grippe ?...
... et par la même occasion, le gouvernement souhaite-t-il aussi faire entrer dans les moeurs des citoyens les restrictions plus ou moins périodiques des libertés et autres mesures autoritaires de contrôle ou de "vigilance" (...) sous le couvert de "mesures sanitaires" ou de sécurité collective ? Ou bien souhaite-t-il que tous les citoyens, sans exception, acceptent (ou soient obligés) d'être périodiquement vaccinés, toute leur vie, ou dès qu'ils présentent des symptômes, afin d'éviter le recours à des restrictions de libertés ? En somme, si le gouvernement pensait qu'il nous faudra désormais vivre avec le Sars-Cov2, comme l'on "vit" avec l'éventualité banale d'être enrhumé, il nous faudra aussi vivre avec l'obligation d'être périodiquement vaccinés, (génération après génération..), sans que jamais aucune autre solution alternative aux vaccins soit proposée ? (Ceci nous paraît complètement absurde).
Dans cette vidéo conférence donnée à l'IHU de Marseille le 15 janvier 2021, le Pr. Didier Raoult nous parlait de "vaccins révertants" en citant l'exemple du vaccin contre la poliomyélite. Nous le citons : "depuis deux ans il y a plus de cas de poliomyélite dus aux vaccins que de poliomyélites naturelles".
Voir aussi cet article (lien).
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".