Puisque la nouvelle "religion sécuritaire" est désormais une idéologie "tout vaccin" aussi intolérante, pseudo-scientifique qu'irrationnelle, (en tout cas pour les gens ordinaires et quelques scientifiques honnêtes et courageux, dont le fonctionnement de la raison n'a aucun point commun avec le fonctionnement psychopathologique d'une raison d'Etat), il suffit, je crois, de raisonner par analogie avec ce même terme employé par Naudé, ("religion"), pour comprendre qu'aujourd'hui, et en y ajoutant les idées de Hegel sur le mépris que le "Prince" doit cultiver envers l'opinion publique et les "formes vivantes" (les gens ordinaires), c'est au fond le même "mode d'emploi" qui est utilisé par le "Prince" qui nous gouverne :
P.S. : "controuver les songes, inventer des visions" écrivit Naudé. Tiens ?... Sigmund Freud n'a donc vraiment rien inventé pour manipuler les gens. Et ce n'est probablement pas Edward Bernays, en utilisant la psychanalyse pour inventer la propagande et le contrôle de masse qui aurait pu dire le contraire à ce sujet.
*
Voici maintenant, d'autres indications fournies par Gabriel Naudé, mais qu'il emprunte à Aristote. Il s'agit d'une sorte de mode d'emploi pour les tyrans :
*
*
A voir (ou à revoir) absolument, pour mieux comprendre ce qui a pu justifier les travaux du Pr. Didier Raoult et l'efficacité de sa tri thérapie, ce qui rend injustifiable, voire condamnable (...) des éléments de la gestion de l'épidémie par le gouvernement.
Je pense que le contenu de cette conférence est vraiment accessible au plus grand nombre et qu'il aiderait avec clarté à prendre conscience du caractère foncièrement absurde, pseudo-scientifique, et même irresponsable, (je souligne), de la politique menée par le gouvernement contre l'épidémie, depuis ses débuts jusqu'à aujourd'hui. A ce propos, les déductions que l'on peut en tirer sont mêmes accablantes, bien que le conférencier expose ses arguments et les faits de façon tout à fait impersonnelle, et impartiale.
A retenir : avec ou sans règlementation, le pire, c'est le non soin. Or, c'est exactement ce qui s'est passé avec le fait de renvoyer les gens chez eux avec du Doliprane, et ce qui se passe encore avec le refus d'envisager des solutions alternatives à la vaccination de masse.
Bref, c'est un gouvernement d'irresponsables qui s'est permis et se permet encore de traiter les non vaccinés d'irresponsables, alors que ces derniers ne sont nullement contre la vaccination en général, mais fermement opposés au fait qu'on leur refuse le choix (faire chanter les gens, ce n'est pas leurs permettre de choisir), qu'on élude des solutions alternatives efficaces, peu onéreuses et sans danger à appliquer en phase précoce de la maladie, et qu'on leur ment sur tout depuis les débuts de cette épidémie, notamment sur le fait que ce qu'on appelle des "vaccins" ARNm n'en sont pas, (ce sont des thérapies géniques pour l'instant expérimentales), et ensuite qu'ils se révèlent tous inefficaces, non seulement à protéger du virus (empêcher de le contracter), mais aussi à empêcher la transmission de la maladie, sans parler de leur impuissance à générer une immunité collective :
*
les hommes libres, adultes, responsables et citoyens, ne renonceront jamais. Ils ne renonceront jamais à leur indépendance d'esprit, à l'usage du rationalisme critique, et par suite, à la démocratie, à l'Etat de droit, et à la Liberté. Jamais nous ne renoncerons. Jamais.
Pétition (lien) contre le "pass vaccinal" : le cap du million de signatures, franchi cette nuit du 30 décembre 2021 (venez nous rejoindre !) :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".