Ils nous semble important d'insister et d'informer le public qui vient visiter ce blog, vacciné ou non vacciné sur cette découverte scientifique. Je la résume : les nouveaux vaccins anti-Covid génèreraient significativement plus d'anticorps facilitants que neutralisants. En d'autres termes, ces vaccins possèderaient la capacité à favoriser l'infection (puis la contagion) qu'à la neutraliser, du moins dans les trois semaines qui suivent une injection.
Dans un précédent article, nous avions déjà parlé de ce (très grave) problème aux conséquences encore plus graves, en citant le Professeur Didier Raoult, lequel nous en a informés lors d'une toute récente interview. Précédemment, Didier Raoult relatait aussi le fait, nous le citons : "depuis deux ans, l'on observe plus de cas de poliomyélite dûs aux vaccins contre la poliomyélite que de poliomyélites naturelles". Il évoquait à ce sujet, l'effet "révertant" du vaccin contre la poliomyélite.
Donc, si les nouveaux vaccins ARNm anti-Covid possédaient aussi un effet "révertant" à cause des anticorps facilitants qu'ils génèrent dans les trois semaines qui suivent une injection, l'on peut envisager une réfutation majeure de toute la stratégie vaccinale, "tout vaccin", utilisée par les gouvernements, dont le gouvernement français. Et nous pouvons même affirmer qu'il serait irresponsable de la part d'un gouvernement qui aurait pris connaissance de ce problème des anticorps facilitants que de continuer à vouloir imposer une vaccination de masse, coûte que coûte.
Mais procédons à un bilan :
1. Nous savons tous que ces nouveaux vaccins ARNm "anti-Covid" ne stoppent nullement la contagion. C'est-à-dire qu'ils ne garantissent aucune protection contre le fait de contracter le virus ou le fait de le transmettre. Sinon, pourquoi serait-ce dans les pays les plus vaccinés au monde, et notamment les pays les plus riches, que corrélativement, l'on observe les "rebonds" des infections les plus importants à la suite des diverses campagnes de vaccination, ainsi que le constate le Pr. Didier Raoult sur la base de données statistiques internationales ?
2. Nous savons qu'ils nécessitent plusieurs rappels très rapprochés, et que leur efficacité décroît sensiblement après seulement quelques mois, alors que l'efficacité d'autres vaccins est garantie pour le vie durant, ou sur des périodes d'au moins 10 années..
3. Nous savons (et plus personne ne peut le nier) que même des personnes vaccinées, en deuxième, troisième, voire même en quatrième injection, peuvent non seulement être infectées, mais encore.. mourir du Covid, même si la cohorte des personnes vaccinées en quatrième injection reste encore peu significative.
4. Nous savons que ces vaccins ARNm "anti-Covid" produisent des effets secondaires qui peuvent être très graves, en laissant des séquelles à vie chez certains sujets, et pouvant même entraîner des morts subites, suite à des myocardites, etc.
5. Nous savons désormais qu'il est bel bien corroboré par la science que ces nouveaux vaccins ARNm contre le Covid génèrent plus d'anticorps facilitants que d'anticorps neutralisants, du moins trois semaines après l'injection.
Nous en conclurons donc, provisoirement, ceci :
Il ne faut pas se faire vacciner avec ces nouveaux vaccins ARNm contre le Covid, sauf si l'on fait partie de la population "à risque" : personnes âges, diabétiques, personnes obèses, personnes souffrant de comorbidités. En effet, ces vaccins offriraient quand même une protection contre les formes graves de la maladie. Cependant, y compris cette protection commence à être largement remise en question, notamment par le Pr. Claverie, dont nous avons relayé les propos et les analyses dans d'autres articles de ce blog.
Ces nouveaux vaccins sont inefficaces. Il n'ont jamais pu endiguer l'épidémie et sont toujours mis en échec de manière, je le souligne, rigoureusement indiscutable. Au lieu que nous observions une homogénéité au plan mondial quant à un rapport bénéfices/risques qui soit favorable à la vaccination de masse, nous avons, indiscutablement, et toujours, une hétérogénéité. La vaccination est, en l'occurrence, un échec cuisant et incontestable, et cela, même si dans l'histoire de la médecine, l'on a pu, bien entendu constater que des vaccins, (de vrais vaccins...), ont fait la preuve d'un tout autre effet qui ne fut pas délétère, mais bénéfique pour les populations et les sociétés.
Les non-vaccinés depuis deux ans maintenant, ne peuvent, en toute logique représenter un danger pour les autres. Ce serait complètement absurde de continuer de l'affirmer, étant donné qu'ils ne représentent qu'une faible minorité de la population, qu'ils peuvent être immunisés naturellement contre le virus après deux ans d'épidémie, et surtout, qu'ils ne peuvent être porteurs d'anticorps facilitants (s'ils sont testés négatifs) comme le sont les personnes qui viennent d'être vaccinées.
Nous en venons donc à cette situation pour le moins inattendue par le gouvernement, c'est que ce sont les personnes vaccinées qui devraient être isolées pendant les trois semaines où elles génèrent des anticorps facilitants ! Et plus encore, s'il fallait désigner des "irresponsables", alors ce serait maintenant toutes les personnes qui ne font nullement partie de la population "à risque" et qui courent malgré tout vers les tests et les vaccins, sans tenir compte du fait qu'une fois vaccinées ils pourraient tout de même infecter d'autres personnes vaccinées ou non, à cause de leurs anticorps facilitants ..
Mais voici un article détaillé et très intéressant sur cette question des anticorps facilitants et leurs conséquences désastreuses :
Jean-Marc Sabatier, directeur de recherches au CNRS
Nous citons, de l'article (copié-collé) :
"Aujourd'hui, il y aurait des problèmes avec le vaccin qui a été élaboré à partir de la souche sauvage de Wuhan. Le virus mute sans cesse et lorsque les mutations sont très importantes, on parle de variants. Depuis bientôt deux ans, il y a eu quelques variants et quelques sous-variants. Et l'étude à laquelle vous avez participé, avec les autres chercheurs, montre que ce sont bien plus les anticorps facilitants que neutralisants qui apparaissent avec les nouveaux variants."
(...)
"Vous et les autres chercheurs avez décidé de publier une étude en pré-print afin que le vaccin soit adapté au plus vite puisque le vaccin actuel pose de sérieux problèmes d’efficacité et d’innocuité.
C'est exact, en voulant améliorer l'immunité des personnes vis-à-vis du Sars-CoV-2 avec des rappels vaccinaux basés sur une protéine Spike obsolète (car issue du virus initial de Wuhan qui ne circule plus depuis près de 18 mois), on fait l'inverse, c'est-à-dire qu'on va les fragiliser. Les personnes infectées par certains variants pourraient ainsi développer plus facilement des formes sévères ou létales de la maladie."
(...)
"On dit que le vaccin protège des formes graves. Si l'on reprend les essais cliniques de Pfizer, on constate qu'il y avait zéro mort dans le groupe placebo et zéro mort dans le groupe qui a reçu le vaccin. Et j'ai appris qu'en épidémiologie, on définit les formes graves par rapport aux décès. Comment dans ce cas, affirmer que le vaccin protège des formes graves ?
Ceci n’est pas clair parce que récemment, j'ai vu que dans leurs essais, il y avait eu des morts dans les deux groupes. Ces essais prennent un certain temps et comme il y avait des personnes assez âgées et/ou avec comorbidités, il est normal qu'il y ait eu des morts. Et apparemment, il y a eu légèrement plus de morts dans les groupes des vaccinés par rapport aux non vaccinés. Le problème est que depuis, ils ont fait vacciner toutes les personnes qui servaient de contrôle, les non-vaccinées. Ils ont biaisé la chose, en disant qu'il fallait protéger les personnes qui n'avaient pas été vaccinées. Donc ces personnes ont eu droit à des doses de vaccin Pfizer. Et cela pose un problème parce qu'on ne peut plus comparer formellement les populations, les cohortes de vaccinés par rapport aux cohortes de non-vaccinés, parce que finalement, tout le monde a été vacciné."
(...)
"Personnellement, je crains que l’on se dirige vers une catastrophe sanitaire sans précédent si la politique de rappels multiples avec des vaccins quasiment obsolètes et potentiellement dangereux (compte-tenu de la toxicité démontrée de la protéine Spike vaccinale) se poursuit. Comme les autorités semblent s’orienter vers des rappels tous les 4 à 6 mois, nous allons être prochainement dans une situation critique. Par conséquent, le problème ne sera même plus l'ADE ou ERD mais pourrait bien être le déclenchement des maladies auto-immunes, des cancers, et autres pathologies. Il faut vraiment retenir que la protéine Spike suractive le système rénine-angiotensine qui va altérer l'immunité innée et que le système rénine-angiotensine, impliqué dans de nombreuses voies métaboliques majeures est directement à l’origine (lorsqu’il est suractivé) des thromboses, coagulopathies, myocardites, péricardites, etc. Ces dernières sont en fait des maladies Covid-19 qui vont être induites soit par une infection naturelle au virus Sars-CoV-2, soit qui seront directement déclenchées par la protéine Spike vaccinale."
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".