mardi 11 janvier 2022

Lettre ouverte à mes collègues, au sujet d'un prosélytisme pour la vaccination "anti-COVID".

 


Pour commencer : des faits. 

(cliquez pour agrandir)




Ecoutons à présent Mr. BOURLAT, patron de "Pfizer". A moins d'être sourds ou de vous boucher les oreilles, c'est sûr, vous n'entendrez rien. Par contre, il est très clair au sujet de la vaccination des jeunes, il dit qu'elle n'est pas recommandée : 






L'OMS et la vaccination des enfants (lien).


Citation (copié-collé) : « L’objectif est de protéger les plus vulnérables, ceux qui sont le plus à risque de maladies graves. Ce sont les populations âgées, les personnes atteintes de maladies sous-jacentes et les travailleurs de la santé. Par contre il n’y a aucune preuve pour le moment que des enfants en bonne santé ou des adolescents en bonne santé ont besoin de rappels, aucune preuve. »


*


Commentaires : 


Je trouve inadmissible que certains de mes collègues se fassent les prosélytes de la vaccination auprès de la jeunesse qui n'est nullement dans la tranche des personnes "à risques".  En effet, les jeunes, statistiquement sont très peu concernés par les formes graves de la maladie et même par l'hospitalisation. Mais, malgré tout, le gouvernement s'est donc servi d'éléments peu significatifs pour justifier d'étendre la vaccination


Cette conduite suggère certaines comparaisons : 


Par exemple, l'on a reproché aux premiers tests cliniques du Pr. Raoult sur l'hydroxychloroquine de ne disposer que d'un trop faible nombre de patients, et par conséquent de ne fournir qu'un niveau de preuve trop peu significatif pour  finalement justifier de rejeter et même d'interdire (!) l'usage de ce médicament pourtant très bien connu et inoffensif depuis des décennies ! (mais la suite des publications produites dans la littérature scientifique (lien) a donné raison à Didier Raoult, ainsi que son efficacité à l'IHU de Marseille (lien)). 


Autre exemple : il existe, indiscutablement des effets secondaires très graves liés à la vaccination, mais, si l'on tient compte des 9 milliards de doses injectées, et quelle que soit la gravité des effets secondaires, il semble que les quelques cent mille morts liés à la vaccination "ARNm" soit toujours considérés comme bien peu significatifs.


Mais n'y a-t-il qu'une centaine de milliers de morts de part le monde ? 


De plus, à partir de combien de cas très graves (de morts) liés à une médication dont on prône l'innocuité faut-il songer à la remettre en question ? Ne faut-il pas tenir compte de la nature même des effets secondaires ? 


Mais proposons un autre argument : Karl Popper démontre dans "La logique de la découverte scientifique" que ce n'est pas parce que l'on aurait observé des milliers ou même des millions de cygnes blancs, que l'on pourrait "justifier" ou "vérifier" la théorie universelle : "tous les cygnes sont blancs", laquelle demeure logiquement réfutable par la possibilité de déduire un énoncé singulier du genre : "il y a un cygne non blanc à l'endroit K", et empiriquement réfutable si l'on observait réellement un cygne non blanc à l'endroit K.. Par conséquent, et puisque ceux qui promeuvent l'innocuité de ces nouveaux vaccins "ARNm" ne peuvent éviter eux aussi le recours à un énoncé universel au sens strict sur cette innocuité, à partir de combien de cas très graves et de quelle nature, accepteraient-ils de reconnaître que la théorie de l'innocuité de leur vaccin doit être considérée comme réfutée par l'expérience ?.. 500 000 morts ? 1 million de morts ? 10 millions de morts ? ... 


Il faut ajouter que Karl Popper a toujours précisé, afin de valider l'aspect méthodologique de son critère de démarcation (la réfutabilité), que même si des cas répétés et dont l'observation a été intersubjectivement contrôlée réfutent effectivement une théorie universelle, ce n'est pas pour autant que la communauté scientifique les accepte automatiquement, ou de manière sine qua non. Il se peut qu'il soit justifié, (pour la communauté scientifique), que de refuser d'accepter une réfutation si elle juge que la nature des cas testés ne satisfait toujours pas à certaines exigences, ou parce que la nature des tests eux-mêmes soulève encore des questions et des critiques importantes. Mais une communauté scientifique peut aussi accepter  les résultats de tests par rapport à l'urgence d'une situation de problème particulière. Karl Popper ajoute enfin que toute réfutation scientifique dépend, in fine, toujours, de décisions méthodologiques, et c'est la raison pour laquelle il qualifie lui-même son critère de démarcation, comme étant un critère méthodologique de démarcation, la réfutabilité scientifique ne pouvant être acceptable si l'on se limitait à son niveau logique et même empirique (lien). 


Par conséquent, la même question de départ demeure selon nous des plus pertinentes : à partir de combien de morts ou d'effets secondaires très graves, la communauté scientifique puis les pouvoirs publics devraient-ils accepter de remettre en cause l'innocuité des vaccins "ARNm"  contre le COVID et la stratégie "tout vaccin" utilisée pour lutter contre l'épidémie ?







L'aspect de la stratégie du gouvernement qui nous semble le plus critiquable d'un point de vue méthodologique, est donc bien celui-ci  :



C'est que le gouvernement a de toute évidence décidé qu'il fallait vacciner les jeunes en masse, alors que les données scientifiques démontrent encore que la jeunesse ne fait pas du tout partie de la population "à risque", (comme nous l'avons déjà dit plus haut) et qu'elle ne représente absolument pas une cohorte significative de personnes touchées par l'épidémie, et plus précisément par les formes graves de la maladie liée à l'épidémie.


Cependant, alors que les cas de décès ou d'hospitalisation en réanimation des jeunes ne représentent donc toujours pas un échantillon suffisant pour justifier de la vaccination après deux ans d'épidémie, le "pass vaccinal"  s'applique aussi à une bonne partie de la jeunesse sans parler d'une conduite pour le moins prosélyte du gouvernement, au point que ce dernier ait décidé d'implanter des centres de vaccination dans certains établissements scolaires, comme si en se plaçant au plus près d'un public (qui n'est pas concerné) on souhaitait renforcer encore la suggestion selon laquelle les jeunes auraient soi-disant un intérêt vital à courir vers les vaccins "ARNm" contre le COVID. 


La présence de ces centres de vaccination dans les lieux privilégiés de l'Education Nationale témoigne non seulement d'une volonté gouvernementale ouvertement incitatrice, mais aussi intimidante, volonté directement assénée au jugement souvent fragile et certainement peu outillé des jeunes à y résister, étant donné leur faible niveau d'information scientifique sur la question des vaccins, sans dire de leurs compétences à juger de la valeur des diverses propositions scientifiques pour ou contre la vaccination, donc à évaluer par eux-mêmes le rapport bénéfices/risques lié à la vaccination


L'action du gouvernement procède donc d'une soumission par la manipulation mentale auprès du public le plus sensible et facile à déstabiliser en sa faveur, toujours par la stratégie de la peur, laquelle ne peut être opérante sans l'ignorance issu du manque de compétence spécifique que nous évoquons au sujet des productions de la science et de la manière d'en juger.


Ce qui est donc critiquable, c'est que contradictoirement par rapport à son refus de prendre en considération les cas d'effets secondaires graves liés aux vaccins "ARNm", le gouvernement semble avoir justifié d'une faible cohorte de jeunes personnes hospitalisées ou décédées et d'une probabilité statistique pourtant insuffisamment significative, même après deux ans d'épidémie, pour décider que la théorie selon laquelle l'infection due au COVID n'était pas dangereuse pour la jeunesse, était réfutée de façon acceptable. 


Dans ces conditions, pourquoi le gouvernement ne tient-il pas compte de la faible cohorte des victimes de la vaccination et du faible nombre de morts associé pour maintenant justifier de réfuter la théorie de l'innocuité de ces vaccins "ARNm"  et reconsidérer  la stratégie de la vaccination de masse à répétition ?..


..Et, dans le même but, pourquoi ne tient-il aucun compte du fait que les vaccins "ARNm" ne protègent ni du fait de contracter le virus, ni de celui de le transmettre, y compris pour des personnes déjà vaccinées en troisième dose (rappelons que Mr. le Ministre de la Santé Publique, Olivier Véran, a lui-même été testé positif alors qu'il avait reçu sa troisième dose de vaccin) ? Car, sur ce dernier point, la cohorte représentant les personnes vaccinées qui sont ou ont été infectées et susceptibles d'en infecter d'autres est plus importante et donc plus significative que toutes les autres cohortes, et risque même de voir gonfler son effectif si l'hypothèse du rôle infectant donc propagateur de l'épidémie joué par les anticorps "facilitants" était corroborée par des tests.


Si cela n'avait pas été des considérations d'ordre scientifique qui avaient motivé cette décision de vacciner la jeunesse, mais, en premier lieu des considérations d'ordre moral et éthique, alors, qu'est-ce qu'il y avait de plus "moral" et éthique entre laisser faire courir un faible risque de mort par le "COVID" à des jeunes en ne leur imposant pas la vaccination, par rapport à celui de leur faire courir le même faible risque de mort par la vaccination "ARNm", étant donné la même issue ?.. Et si c'était maintenant la vaccination, (à cause des anticorps facilitants), qui mettait la jeunesse face au danger, non seulement d'être infectée et de contaminer les autres, mais aussi de risquer d'en mourir ? 


Mais, depuis les débuts de cette épidémie, ce qui a surtout mis en danger les personnes, ce n'est pas tellement le virus, c'est le politique, avec ses errements, ses incompétences, ses mensonges à répétition, sa méthode de la "sélection par en bas" (Cf. F. Von Hayek), sa méthode de la pensée unique "tout vaccin" érigée en nouvelle Inquisition d'Etat et la confiance aveugle donnée à une entreprise, Pfizer, qui a déjà été condamnée à des milliards de dollars d'amende pour des faits de corruption, de manipulation des données et de charlatanisme. Nous sommes scandalisés par le fait que ni le Pr. Alain Fischer, ni Mr. Castex, Mr. Véran ou Mr. Macron n'aient été déstabilisés par le fait qu'il était évident qu'en ne tenant compte que de communiqués de presse fournis par les fabricants des vaccins eux-mêmes ont passait outre qu'ils aient pu être juges et partie dans l'évaluation de leurs propres produits ou qu'ils n'aient encore commis d'autres manipulations ou fait usage de procédés fallacieux ! 



Le "Pfizer Gate" (ou comment être juge et partie pour prévoir 30 milliards d'euros de chiffre d'affaire !) : 






Dans de telles conditions, pourquoi les gouvernants s'étonnent-ils que des questions de nature complotiste émergent de l'opinion publique ?! N'est-ce pas qu'un extraordinaire et criminel bizness ourdi à l'échelle  planétaire qui a principalement motivé le recours à des vaccins qui n'en sont qu'à un stade expérimental et qui pour l'instant se révèlent comme les plus inefficaces de toute l'histoire de la médecine ?! N'ayons pas peur des mots : ce fut scandaleux que cette attitude diamétralement opposée aux principes épistémologiques les plus élémentaires, sans lesquels l'on ne peut plus se prévaloir d'un appui éclairé et scientifique pour fonder des décisions politiques ! Mr. Alain Bourlat nous dit à présent qu'il ne recommande pas son vaccin à la jeunesse. Son avis vient pourtant abonder dans notre sens puisque nous sommes contre la vaccination des jeunes contre le COVID, mais cette question fondamentale demeure : qui se soucie de savoir s'il n'est pas encore "juge et partie" ? La presse "mainstream" aux ordres d'une l'oligarchie qui tient les ficelles des pantins qui sont au pouvoir ? Ce n'est pas à Mr. Bourlat de nous assurer que son vaccin n'est pas à administrer aux jeunes, c'est normalement à un Conseil Scientifique émancipé de tout conflit d'intérêts (...) et guidé dans ses jugements par l'usage impartial de l'épistémologie, usage qui soit en particulier indépendant d'un "Conseil de Défense" où d'autres délibérations et décisions sont tenues secrètes. Quel scandale ! Je croyais que l'on admettait à bon droit que là où il y a du secret, il n'y a plus de démocratie...


La stratégie gouvernementale "tout vaccin" appliquée de manière si opiniâtre, obsessionnelle et intolérante à toute remise en question n'est-elle pas poursuivie jusqu'à ce que tout changement de stratégie radical, (comme l'utilisation des médicaments en phase précoce de la maladie),  apparaisse comme inconcevable, voire irrationnel pour l'ensemble de la population, laquelle aurait ainsi fini par "tout accepter", y compris de rester aveugle et sourde face aux réfutations scientifiques valides et communément admises contre sa stratégie ? N'est-ce pas une politique de l'écoeurement, du conditionnement de toute la population à l'acceptation qu'il y a de la rationalité et du bonheur à espérer dans la servitude volontaire dans ces  transhumances vers les centres de vaccination et la privation de libertés ? Ne s'agit-il pas aussi d'une révolte contre la Raison, le libre arbitre et la responsabilité individuelle par une campagne sans merci contre la confiance dans cette responsabilité, menée par le gouvernement, donc contre l'individualisme, c'est-à-dire, contre l'Etat de droit ? 


Voici Boris Johnson, Mr. Castex, le chef du gouvernement britannique. Une fois encore, ce sont donc les anglo-saxons qui montrent la voie de la citoyenneté, de la responsabilité citoyenne et de la confiance en elle requise pour tout régime fondé sur l'Etat de droit et authentiquement démocratique. Ce discours de Mr. Boris Johnson est une honte pour la France et pour son gouvernement. Il est comme l'on dit chez nous, "une leçon de choses" (...). Il est une leçon de courage et de lucidité démocratique qui vous est infligée, Mr. Castex ; qui nous est infligée à nous tous, ou presque (...), les français. Croyez-vous que l'arrogance, le cynisme, le mépris des gens ordinaires et la fatuité qui sont les vôtres et ceux des autres membres de votre gouvernement puissent vous en protéger indéfiniment ? Et si vous vous trompiez, Mr. Castex ?! Mais écoutez donc, si ce n'est pas déjà fait, écoutez attentivement tous les mots de Mr. Boris Johnson et mesurez le contraste saisissant avec vos mots. Nous avons honte de vous avoir comme Premier Ministre, Mr. Castex. Vous êtes gonflé d'orgueil, mais votre attitude ne nous gonfle pas d'orgueil, elle nous fait honte. Nous sommes encore à la traîne, une nation de seconde zone sur le plan démocratique, à cause de gouvernants comme vous. En Angleterre la Lumière reprend ses droits, mais chez nous ce sont toujours les ténèbres qui dominent et nous en avons assez : 







L'insoumission des non vaccinés représente encore, non une part d'irresponsabilité qui règnerait au sein de la population, mais l'expression d'un libre choix citoyen dont on peut parfois, certes critiquer le niveau d'information et de motivation, quoique les non vaccinés ont démontré une très nette tendance à rechercher activement des sources diverses de savoir et d'information, lesquelles sont aussi  habilement renvoyées dans la sphère du complotisme farfelu ou dogmatique par les gouvernants. Mais cette stratégie de rejet et de censure qui ne dit pas son nom n'est encore une fois, autant qu'une illusion et qu'un bluff de rationalité  : elle n'a d'autre utilité pour le pouvoir que de produire un effet d'intimidation suffisant afin de couper court aux débats  controversés, de les étouffer dans l'oeuf en un seul mot : complotisme, débats où l'usage libre et éclairé du rationalisme critique déstabiliserait toute une politique qui n'a plus rien de "sanitaire" et depuis longtemps. 


Pourquoi renvoyer les non vaccinés dans l'irresponsabilité ou cette forme non valide de complotisme, alors que le taux de mortalité lié au COVID n'est que de 0,05 % et qu'il est de notoriété publique que l'efficacité et l'innocuité de ces vaccins "ARNm" sont désormais plus que sujettes à caution ? Pourquoi continuer d'imposer le masque en extérieur, alors qu'aucune étude scientifique ou clinique n'a jamais démontré son efficacité ? Et pour les divers "confinements", c'est la même chose ! La réponse à ces questions, Mr Macron l'a donnée : c'est pour emmerder les français, alors que ce dont la France a besoin, Mr. Castex, ce n'est pas d'un emmerdeur, mais d'un Président de la République ! L'avons-nous eu ? Nous le cherchons encore ! Où est-il ?! (malheureusement, nous pensons qu'il est planqué dans un tiroir de McKinsey). 


Nous n'avons donc jamais eu de Président de la République depuis les dernières élections, nous n'avons eu qu'un emmerdeur que l'on va dégager aux prochaines présidentielles ainsi que vous et votre équipe de bras cassés, (ou "d'emmerdeurs adjoints"), Mr. Castex ! Mais pour le moment, et espérons-le de manière transitoire, vous avez réussi à inculquer dans l'esprit de la majorité de la population cette irresponsabilité vis-à-vis du respect du libre-arbitre et du débat critique : la population a perdu, semble-t-il pour un moment la compréhension de la nécessité de ce qui fait l'essence même d'une citoyenneté qui puisse garantir la pérennité de toute démocratie. Quel gâchis.


Inculquer une méfiance contre la liberté et la démocratie en créant une peur irresponsable à en assumer toutes les vicissitudes, a permis au gouvernement d'infantiliser beaucoup de gens, lesquels acceptent encore leur  infantilisation, d'autant plus s'ils ne comprennent pas qu'on les infantilise tant ils sont leurrés par l'illusion de choix ou de liberté que leur donne un "pass vaccinal".  


Le gouvernement a opté pour une sorte de collectivisation de l'intolérance à la critique et une dissuasion à y recourir contre lui, par un appel massif aux émotions et aux sentiments, (contrairement au contenu de sa propagande contre les non vaccinés qui voudrait encore se faire passer pour "rationnelle" et "responsable"), ce qui renvoie la citoyenneté dans la médiocrité de la soumission au "Chef". En France, le "Chef" nous regarde encore en fronçant les sourcils, en nous jouant cette comédie  d'une compétence et d'une détermination guerrière,  pure de toute mauvaise intention et affranchie de toute décision ou propos inopportuns ou absurdes, jusque dans sa gestuelle, ses rictus, et le ton de sa voix, comme s'y livre monsieur Jean Castex, Premier Ministre, depuis son entrée en fonction. 


Mais le "Chef", si sûr de lui-même et de la soumission de l'intellect de ses auditeurs à tout ce qu'il peut dire, trahit aussi par la même occasion son arrogance et son cynisme ahurissants qu'il pense pouvoir étaler aux yeux de tous en toute impunité et autant qu'il le souhaite, lorsqu'il n'hésite plus à proférer des propos aussi absurdes et ineptes que ceux que l'on entend dans la vidéo qui suit. Et, inutile de demander à Mr. Castex s'il songerait à se remettre en question, à faire publiquement son autocritique ou reconnaître honnêtement ses erreurs, car être infatué et imbu de soi-même semble être pour lui, (comme pour d'autres membres du gouvernement), une règle de conduite tout à fait justifiée envers les gens ordinaires qu'il méprise tellement qu'il parait n'avoir cure de leurs dire n'importe quoi : 






Quelle différence Mr. Castex fait-il entre le "dangereux" et le "sévère" ? Mr. le ministre est-il un adepte des lapalissades ? Il pense que nous serions convaincus par des lapalissades, parce que nous serions assez idiots pour ne rien remarquer ou assez puérils et attardés pour seulement nous en amuser ou ne percevoir qu'une maladroite plaisanterie d'un esprit débonnaire  ? Mr. le ministre souhaitait-il donc nous distraire un peu et nous faire rire un bon coup pour nous détendre, après que Mr. Macron nous ait dit qu'il nous emmerdait ? (C'est gentil, Mr. le ministre !). Non, Mr. le ministre ne plaisante pas, quoique ce qu'il vient de dire, tout de même, incite à la plaisanterie (on dirait du Jacques Lacan, mais j'hésite encore avec Françoise Dolto, ou Coluche, peut-être ?.. En tout cas, ce n'était pas un sketch des "Guignols de l'info" de Canal+..) ... Et Mr. le Président de la République qui se permet de dire aux français qu'il souhaite les "emmerder" (?!) : un tel langage de caniveau ne tranche-t-il pas avec la superbe de ses rutilants costumes ? C'était pour "faire peuple" ? C'était aussi une plaisanterie ou bien une autre preuve incontestable de son mépris pour le peuple ainsi que pour la fonction qu'il occupe ? 

... Mais qui sont ces gens ? A part oeuvrer pour mettre la France part terre, que sont-ils donc venus fabriquer ?...

Que doit-on faire après avoir entendu de pareils propos ? Avoir peur ? Être émerveillé par tant d'intelligence rhétorique ? Ou bien être hilares en se moquant d'eux dans un premier temps, puis, tout de suite après, être consternés, scandalisés,  et avoir honte pour notre pays

Tant que les citoyens ne songent pas à comparer Mr. Castex ou Mr. Macron à quelques uns de nos plus grands hommes politiques, comme Philippe Seguin, Georges Pompidou, Valéry  Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Charles De Gaulle, François Mitterand, ou Dominique de Villepin, et ne lui divulguent pas leurs jugements à leur sujet, tout va bien pour eux ! Mais nous pensons que Mr. Castex, ou Mr. Macron n'arrivent même pas à l'ombre des orteils de ceux que nous avons cités ; nous tenons à le leurs dire ! 

Mr. Castex, Mr. Véran et Mr. Macron, vous n'êtes qu'une équipe de "bras cassés", et l'on ne sait plus très bien si l'on doit en rire ou en pleurer, (quoiqu'en l'occurrence ce soit à pleurer de rire...), mais peut-être est-ce encore pire : peut-être que nous réussirons à obtenir les preuves que tout ce que vous faites est conforme à des intentions, des projets gardés bien au chaud dans le secret de votre infâme "Conseil de Défense". Complotisme ? Mais cessez donc de nous prendre pour des crétins, Mr. Castex ! Pourquoi un "Conseil de défense", alors ?! Pourquoi faire usage du secret ?!  Ces "enfants" que sont les députés et les sénateurs n'ont donc pas le droit de savoir ce que se dit et se décide dans la "chambre des parents" ? Vous êtes "papa" ? (Nous rions, Mr. Castex, nous rions ! Mais "jaune"...).

Assurément, le mépris de la raison critique allié au déni du fait que les citoyens pourraient en être dotés sont des motifs suffisants pour jouer sur les mots, l'obscurité du propos, et nous l'avons dit : l'inepte. 

Mr. Castex devrait se reporter aux explications du Professeur Didier Raoult, selon lesquelles, les virus créent des variants (ou des recombinants) qui certes peuvent devenir plus contagieux mais moins dangereux ou "sévères". D'ailleurs, si ce variant Omicron était plus dangereux il occasionnerait une hausse de la mortalité due au "COVID", or, c'est le contraire qui se produit et qui a déjà motivé plusieurs pays à abandonner la plupart des restrictions et autres mesures qui sont encore appliquées, ad nauseam, en France. 

Mr. Castex fait donc encore dans le bluff et l'intimidation, (et aussi dans le comique involontaire), pensant qu'additionner des mots lourds de sens et intimidants tels que "dangereux" et "sévère" suffirait à soumettre la raison à s'accorder sur cette conclusion qu'il souhaite imposer à tous les esprits : le variant Omicron est finalement toujours très inquiétant, ce qui est faux. En somme, la tactique rhétorique de Mr. Castex semble avoir été la suivante : que les français n'entendent que deux mots dont le sens donné peut suggérer la même chose, (et justifier toujours la même politique) : "dangereux" et "sévère"

Nous sommes désolés, Mr. Castex, mais vous ne nous faites pas peur. Nous n'avons pas peur de vos sourcils froncés, de votre ton, et de votre usage du bluff ou de l'intimidation. Tout cela ne nous impressionne pas du tout, et d'ailleurs ne nous a jamais impressionné en quoique ce soit, je tiens beaucoup à le souligner. Par contre, tout cet étalage nous insulte, nous provoque, nous énerve, et nous détermine plus que jamais à venir sanctionner aux prochaines élections de la manière la plus sévère qui soit dans les urnes, la politique catastrophique qu'a menée votre gouvernement face au "COVID-19"

Vous n'êtes ni rassurant, ni intimidant, Mr. Castex, vous êtes provocateur, arrogant et surtout énervant. Vous n'êtes précisément pas celui que vous voulez tant paraître parce qu'il vous faut tout cet étalage d'arrogance, toute cette comédie artificielle de la détermination pour nous faire croire que vous le seriez... Montrez-vous plus calme, plus mesuré, plus réfléchi, et vous aurez peut-être une chance, mais le "naturel" risque fort de revenir au "grand galop", tant vous donnez l'impression de ne pas savoir vous passer de jouir d'un sentiment d'omnipotence. Nous l'avons compris : de telles responsabilités étatiques, un tel pouvoir, c'est trop pour des gens comme vous, ou Mr. Véran ou Mr. Macron. Aucun d'entre vous n'a l'envergure personnelle pour cela. Cessez donc de faire les "grands chefs", ou je ne sais quel autre "Big Brother" qui viendrait jouer du "muscle" ou étaler ses "hormones", parce que je vous le répète encore : cela nous énerve, nous insulte et nous met à cran plus qu'autre chose. 

Si vous ne souhaitez pas le respecter, Mr. Castex, il faut au moins que vous l'entendiez : les citoyens libres, adultes et responsables ne vous supportent plus, ils en ont plus qu'assez de vous, de vos discours, de votre comédie et des incompétences irresponsables de votre gouvernement et de votre chef. C'est terminé, Mr. Castex, nous n'avons qu'un voeu : c'est que vous disparaissiez pour toujours de la scène politique française, parce que vous demeurez foncièrement incapable d'inspirer l'autorité et le respect qui lui est dû quand elle est appliquée à bon escient et détachée de toute verbosité qui se souhaite intimidante et paternaliste. Votre paternalisme étatique est une humiliation, une insulte  intolérable envers le peuple français. Nous ne sommes pas des enfants, Mr. Castex ! Nous sommes des adultes capables d'être libres et responsables, capables de l'indépendance d'esprit et du jugement critique, que cela vous plaise ou non ! Mr. Boris Johnson a compris lui, que les britanniques sont des citoyens adultes et responsables, et c'est pour cela qu'il a décidé de miser sur la confiance en eux. Mais vous, Mr. Castex, vous n'inspirez que l'autoritarisme arrogant, infantilisant, méprisant et cynique, et vos numéros de "machisme politique" ont depuis un moment commencé à susciter la moquerie au lieu de l'adhésion ou de la crainte chez toutes celles et ceux qui se donnent la peine de réfléchir.


Votre "pass vaccinal", Mr. Castex, fonctionne comme une sorte d'os à ronger que l'on a jeté à ceux que l'on considère comme des chiots facilement impressionnables et qui, comme des enfants, préfèrent l'insouciance d'un jeu sans utilité pour leur épanouissement, à l'authentique jeu de la liberté, où il faut faire l'effort de la réflexion, du discernement  et de la responsabilité. La France que vous avez transformée est donc mûre pour des formes de totalitarisme plus explicites... Vous pouvez remplacer  le "pass vaccinal" par une croix gammée et poser une étoile jaune sur la veste de chaque non vacciné : ces non vaccinés qu'il faut haïr, (ou au moins "emmerder"...), ils représentent "l'ennemi" à abattre contre lequel un chef totalitaire souhaite rassembler les masses selon des buts entièrement négatifs fondés sur les émotions et les sentiments bien plus que sur la Raison, et par conséquent par cette "sélection par en pas" (lien) dont parlait Friedrich A. Von Hayek. Comprendrez-vous enfin, Mr. Castex, que la virulence de notre propos est à la mesure de l'exaspération légitime que vous suscitez, malgré tous vos sondages trompeurs, et l'ampleur faramineuse de la désinformation qui sévit dans les médias ? Vous croyez vraiment que les français ne comprennent rien ? Qu'ils ne voient rien ? Qu'ils ne se doutent de rien, ou qu'ils s'interdisent, même s'ils ne les formulent pas, des doutes et des interrogations de nature complotiste ? Vous croyez encore qu'il suffit de déclencher et de maintenir tout ce terrorisme intellectuel abject contre le complotisme éclairé pour dissuader les gens d'observer, de réfléchir, de penser, et de décider pour eux-mêmes de ce que vaut votre action politique ? Il faut vous réveiller, Mr. Castex ! Nous espérons de tout notre coeur que cette crise sanitaire vous aura grillé pour toujours sur le plan politique, vous, et vos collègues du gouvernement.



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Aucun prosélytisme n'est toléré dans les établissements publics, le prosélytisme étant par définition, du "zèle ardent pour recruter des adeptes, pour tenter d'imposer des idées" (Def. Larrousse). (Mais, répétons le :  l'Etat lui-même ne peut-il être accusé de prosélytisme dès lors qu'il implante des centres de vaccination dans les établissements scolaires, alors que les données scientifiques et statistiques ne permettent pas, objectivement, de justifier de la vaccination des jeunes contre le COVID ?)



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Se vacciner ne doit pas être un "acte de foi" dans cette nouvelle religion "tout vaccin" qui ne "tolère pas d'autres dieux" (S. Freud) comme par exemple les soins en phase précoce de la maladie, mais une décision libre et éclairée non seulement par la science mais aussi par le jugement critique dont le seul juge arbitre ne peut relever d'aucun dogmatisme, ni être l'objet d'aucune pression quelle soit médiatique (...) ou gouvernementale, ou d'aucune position indémontrable et intolérante à la critique, mais au contraire d'une discipline qui a validé son objectivité à pouvoir juger de la valeur des propositions des sciences et des diverses attitudes sociologiques et stratégies politiques visant à en défendre puis à en promouvoir les résultats : l'épistémologie fondée sur la logique (sur ce point, Karl Popper reste incontournable (lien)). 

 

En conséquence, le rôle des enseignants, plus que jamais, consiste, non seulement à s'informer de cette épistémologie, (certains parlementaires devraient en faire autant..), mais en outre à user de leurs compétences pédagogiques pour la rendre accessible et compréhensible aux élèves et à leurs parents dans ses points les plus fondamentaux (lien), afin que les familles, en fonction de leurs situations particulières, puissent estimer au mieux et librement le rapport bénéfices/risques lié à la vaccination de leurs enfants contre le COVID si vraiment  l'on est motivé à mettre un coup de frein à cette épidémie

 

Tant que la vaccination "anti-COVID" n'est pas rendue obligatoire, (et il vaut bien mieux qu'elle ne le soit pas étant donné les faiblesses, sinon l'inefficacité plus que récurrente des vaccins "ARNm" à stopper la contagion et même concernant les personnes déjà vaccinées à plusieurs doses d'être à nouveau infectées par le virus), alors elle relève d'un choix citoyen. Et un citoyen qui ne sait pas guider ses choix sur la base d'un jugement éclairé par les disciplines que nous avons citées plus haut, aujourd'hui, n'est plus vraiment un citoyen, mais un individu dépendant ayant perdu son autonomie par rapport à des décisions cruciales qui peuvent concerner sa santé et celle d'autrui. 



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Certes, le gouvernement justifie sa doctrine "tout vaccin" par l'intérêt public, celui de la collectivité, ainsi que la sécurité de tout le monde. Mais en démocratie, un citoyen le reste à ce titre, si et seulement si, il s'autorise encore la réflexion critique outillée par l'analyse épistémologique des propositions gouvernementales et de celles des données de la Science. 

 

Or, en l'occurrence, et comme toujours dans la vraie science, la controverse demeure, et non la pensée unique qui ne cherche qu'à s'immuniser contre la critique et le risque de la réfutation : il y a des avis divergents, des données contradictoires. Il apparaît ensuite très clairement que le gouvernement passe outre les avis et les données contradictoires puisqu'il ne présente toujours qu'une seule possibilité sans aucune autre alternative (comme les soins en phase précoce de la maladie grâce à la trithérapie proposée par le Pr. Raoult, l'ivermectine, etc.) : la vaccination. 

 

De toute évidence, il ne s'agit donc plus d'une politique guidée par la méthode scientifique qui elle exige toujours dans ses tests la mise à l'épreuve intersubjective et contrôlée d'alternatives possibles, d'hypothèses concurrentes, donc, "falsifiantes" (K. Popper) par rapport aux théories ou points de vue déjà communément acquis ; sans parler évidemment de la nécessaire  et constante recherche de nouvelles hypothèses pour renouveler et affiner les tests par l'introduction d'éléments inédits (K. Popper. "La logique de la découverte scientifique").


Voilà ce que tout citoyen éclairé devrait être en mesure de constater selon ses compétences acquises en formation continue ou en formation initiale, c'est-à-dire, grâce à l'enseignement dans le système éducatif.. 



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Si les enseignants sont justifiés à informer leurs jeunes élèves ou leurs parents, alors qu'ils fassent en sorte que le contenu d'informations divulgué soit impartial et ne soit pas le seul reflet de la doxa imposée par le gouvernement mais celui de la science avec ses controverses et les nécessités de ses possibles et incessantes remises en question. A titre d'exemple, nous apprenons récemment (et ce fait était pourtant loin d'être nouveau..) que les nouveaux vaccins "ARNm" ont la particularité, via leur protéine "spike" de créer bien plus d'anticorps "facilitants" (l'infection) que d'anticorps neutralisants ou neutres, pendant la période de trois semaines qui suit une injection. (Pr. Didier Raoult ; Jean-Marc Sabatier, Directeur de recherches au CNRS ; Pr. Jacques Fantini) ce qui corroborerait la théorie selon laquelle les vaccins seraient, contre toute attente, des vecteurs privilégiés de la propagation de l'épidémie et que jusqu'à présent, ils l'auraient toujours été..  

 

Patrice Van den Reysen. Professeur agrégé d'éducation physique et sportive, lycée Louis Armand, Mulhouse).



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Celui que mes collègues devraient écouter davantage :


Dans cette première vidéo, le Pr. Didier RAOULT s'appuie (comme toujours) sur des données internationales objectives délivrées par des institutions dont la réputation de sérieux est garantie. Que constate-t-il ? Qu'il y a d'incontestables corrélations très significatives entre hausse du nombre de cas d'infection et mise en oeuvre de la stratégie de vaccination de masse dans divers pays. Cependant, une corrélation n'exprime pas de relation de cause à effet. Mais.... une donnée scientifique est corroborée : la production en quantité importante d'anticorps facilitants (l'infection) par les vaccins "ARNm" dans les trois semaines qui suivent une injection...

 

Dès lors, il devient tout à fait rationnel de formuler l'hypothèse suivante qui a, selon nous, toutes les chances d'être corroborée par des tests : ce sont bien ces vaccins "ARNm" qui ont toujours favorisé l'expansion de l'épidémie du "COVID"... Et par suite, il devient tout à fait ridicule d'accuser les non-vaccinés d'irresponsabilité ou de je ne sais quoi d'autre et aussi de pousser, d'inciter les populations et surtout les jeunes à aller se faire injecter une ou plusieurs doses d'un vaccin manifestement inefficace et même potentiellement dangereux compte tenu de certains de ses effets secondaires sur lesquels le voile est toujours mis au niveau des statistiques réelles. 

 

Mes collègues remarqueront également l'intérêt du Pr. Raoult pour l'oeuvre de Karl Popper, intérêt d'ailleurs tout naturel pour un scientifique digne de ce nom.






Une corrélation n'exprime pas un lien de cause à effet.

 

Le recours à des tests est donc nécessaire.


 

Le Professeur Didier Raoult nous fait observer une corrélation très significative entre un taux élevé d'infection dans les populations de divers pays (principalement des pays développés qui ont pu acheter en masse les vaccins "ARNm") et leur taux élevé de vaccination (Pr. Didier Raoult, pour ne citer que lui). 

 

A partir de là, l'on pourrait donc tenter de corroborer (lien), sur la base de tests qu'un lien de cause à effet entre les deux taux s'établit par le rôle joué par les anticorps "facilitants" (l'infection) générés par certaines régions de la protéine "spike" bricolée par les laboratoires et présente dans les vaccins, anticorps qui demeurent en nombre bien plus significatif que les autres, ("neutres" et "neutralisants"), et actifs lors des trois semaines qui suivent une injection (Jean-Marc Sabatier, Directeur de recherche au CNRS (lien)).


Didier Raoult fait également remarquer un autre aspect très important dans la vidéo qui suit : c'est que les périodes d'augmentation brutale des taux d'infection dans les pays observés coïncident dans le temps avec la durée d'activité des anticorps "facilitants" générés à  partir de la protéine "spike" toxique des vaccins ARNm suite aux successives campagnes de vaccination...  Et sur ce dernier point nous ne pourrons manquer de vous donner un avis qui n'engage que nous : depuis les tous débuts de cette épidémie, le Pr. Didier Raoult, en grand scientifique qu'il a toujours été (et qu'il est toujours..) ne s'est jamais livré à des prophéties, ou des prédictions, lui-même s'étant d'ailleurs toujours défendu de faire des prédictions. Ensuite, il s'avère que jusqu'à présent il ne s'est jamais trompé, en particulier sur le fait qu'il s'agissait d'une succession d'épidémies différentes et que le génome de base produisait des variants et autres recombinants. Enfin, nous devons reconnaître que la masse des données à l'appui de ses interprétations, et surtout le fait qu'elles lui soient totalement impersonnelles, plaide, selon nous, largement en faveur de sa thèse et de ce qu'elle nous a suggéré : il faut s'intéresser à l'étude des liens de cause à effet entre vaccination "ARNm" contre le COVID et les risques de contagion consécutifs.

 

Si la corroboration dont nous parlons plus haut était donc obtenue sur la base de tests valides, répétés et contrôlés de manière intersubjective (K. Popper), alors il faudrait en conclure que les vaccins "ARNm" (...) furent et sont toujours les principaux vecteurs de la contagion et par suite de la propagation de l'épidémie. Cette conclusion réfuterait l'utilité d'un "pass vaccinal" et plus encore, la pertinence d'une vaccination obligatoire de masse.

 

Compte tenu du caractère international et objectif des données présentées par le Pr. Didier Raoult, l'on peut considérer comme irresponsable le fait d'y passer outre et de ne pas envisager de soumettre à des tests les corrélations observables : si les "vaccins" (...) ARNm favorisent la contagion, alors ils mettent potentiellement en danger de mort les personnes à risques ainsi que celles qui pourraient être sensibles à leurs effets secondaires et sur lesquels il est tout aussi irresponsable voire criminel de continuer de nier la gravité. Monsieur le Ministre de la Santé, en conclusion, si un lien de cause à effet entre la vaccination de masse et la contagion pouvait être corroboré, alors, il faudrait abandonner le plus tôt possible le recours à la vaccination, afin, et comme vous n'avez pas cessé de nous le répéter, de "sauver des vies". Sur ce dernier point nous citerons Jean Marc Sabatier (CNRS) (lien) : 


"Personnellement, je crains que l’on se dirige vers une catastrophe sanitaire sans précédent si la politique de rappels multiples avec des vaccins quasiment obsolètes et potentiellement dangereux (compte-tenu de la toxicité démontrée de la protéine Spike vaccinale) se poursuit. Comme les autorités semblent s’orienter vers des rappels tous les 4 à 6 mois, nous allons être prochainement dans une situation critique. Par conséquent, le problème ne sera même plus l'ADE ou ERD mais pourrait bien être le déclenchement des maladies auto-immunes, des cancers, et autres pathologies. Il faut vraiment retenir que la protéine Spike suractive le système rénine-angiotensine qui va altérer l'immunité innée et que le système rénine-angiotensine, impliqué dans de nombreuses voies métaboliques majeures est directement à l’origine (lorsqu’il est suractivé) des thromboses, coagulopathies, myocardites, péricardites, etc. Ces dernières sont en fait des maladies Covid-19 qui vont être induites soit par une infection naturelle au virus Sars-CoV-2, soit qui seront directement déclenchées par la protéine Spike vaccinale." (C'est nous qui avons souligné et mis en gras le propos de Jean-Marc Sabatier).

 





Mais voici des interprétations concernant plus précisément les non-vaccinés et leurs prétendues responsabilités par rapport à l'infection :




Je laisse les visiteurs de ce blog en déduire les conclusions qui s'imposent, je crois à partir des informations divulguées ici au sujet des anticorps "facilitants", et je parie que comme moi, ils penseront qu'elles sont accablantes contre la vaccination et contre le gouvernement. "La messe est dite".. 

Il s'agit d'un scandale d'Etat, et sans doute du plus grave scandale de toute l'histoire de la V° République. Lamentable, criminel.



Jean-Marc SABATIER (CNRS) sur les anticorps facilitants (lien).






Le Professeur Jacques FANTINI (IHU Marseille) : le point sur les variants du Sars-Cov2. Au sujet des anticorps facilitants, écouter à partir de 19 minutes de vidéo : (à ce propos, ce qu'il démontre, en substance, c'est qu'au fil des variants on observe une augmentation  de l'affinité des anticorps facilitants (l'infection) avec la protéine "spike", et à l'inverse, une diminution de l'affinité des anticorps neutralisants envers cette protéine. Ceci tend à suggérer que les variants peuvent devenir de plus en plus contagieux, mais, comme nous l'a dit le Pr. Raoult, de moins en moins virulents donc, dangereux).








Madame Martine WONNER députée : 






Madame Laurence MULLER, députée, sur le "pass vaccinal" : 






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Pour mémoire : c'était en juillet 2020, au Parlement italien : 









 

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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

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