samedi 27 novembre 2021

"COVID-BIZNESS" (ou "CLIMATE-BIZNESS") et Hegel...

 


Les "vaccinés" contre le "COVID" à la pointe (...) de l'action (du "Prince"), mais à quelles fins ? :






Commentaires : 

... si vous avez des difficultés à lire, vous pouvez cliquer sur l'image, et ensuite utiliser la touche "CTRL" de votre clavier, et la molette de votre souris pour agrandir... A mon avis, il vaudrait mieux lire cette citation de Hegel (le plus grand "philousophe" de tous les temps...), comme celle que j'ai publiée, plus bas. Enfin, on lit, si on veut, mais il vaudrait mieux lire pour comprendre qui sont ceux qui nous gouvernent.


*


Hegel ? Selon Karl Popper dans le tome 2 de "La société ouverte et ses ennemis", Hegel est le père de l'irresponsabilité morale ayant intronisé la malhonnêteté intellectuelle en principe et aussi le principal responsable de l'émergence du totalitarisme moderne. Pour Schopenhauer toute sa philosophie n'était, je cite : "qu'un rêve de dément, issu de la langue, et non de la tête". (C'est sans aucun doute aussi pour cela que des doctrines comme la psychanalyse s'en sont tant inspirées).

Pour Hegel, le peuple, le citoyen ordinaire, n'est rien. Il ne vaut rien, il n'a pas d'intelligence, (à ce sujet l'autre citation que je donne de Hegel, plus bas, nous semble très explicite), ce n'est qu'une "forme vivante" indigne de l'histoire, indigne de toute reconnaissance et de toute mémoire. Le citoyen ou l'individu ordinaire, le peuple, son bonheur, n'est pas la fin pour Hegel. 

L'individu n'est que le moyen (un vulgaire outil, un instrument, une chose périssable...) pour les fins des "Princes" qui gouvernent et qui  eux seuls sont dignes de l'Histoire pour tous les "grands projets" qu'ils ordonnent ou qu'ils imposent..quitte pour cela, à sacrifier des milliers, voire même des millions de personnes.

Staline avait cependant ajouté une légère "nuance" en disant : "la mort d'un homme est une tragédie, la mort d'un million d'hommes, une statistique". Restait à savoir sur la mort de quel genre d'homme, Staline parlait de "tragédie" ? Lui même, ou bien n'importe quel autre ?....

Dans le texte (Hegel) : 

« (…) Pour ces formes vivantes de l’action substantielle de l’esprit universel qui sont immédiatement identiques à cette action, celle-ci reste cachée, elle n’est pas leur objet ni leur but. Aussi elles ne reçoivent d’honneur et de reconnaissance pour cette action ni de leurs contemporains, ni de l’opinion publique de la postérité (…) ».

Plus loin : 

« Aussi n’est-il (le peuple) pas reconnu, son indépendance qui n’est pas objectivement légale n’a pas d’expression rationnelle fixe, n’est que formelle, ce n’est pas une souveraineté ».

"Qui sont immédiatement identiques à cette action" a écrit Hegel. Qu'est-ce que cela veut dire ? 

C'est, selon nous, très clair : le peuple, les individus, les citoyens, sont les MOYENS de fins qui les dépassent et qui doivent leurs demeurer inconnues ou incompréhensibles, puisqu'ils sont considérés par Hegel comme identiques (...) à l'action nécessaire et à poursuivre pour accomplir certaines fins. Voilà une théorie pour le moins explicite de la "chair à canon". (Mais ni la "chair" ni le canon ne sont censés être capables de penser : il n'y a que ceux qui ordonnent qu'on les emploie qui s'en sentent capables après s'être auto proclamés comme les seuls dépositaires de la pensée rationnelle et clairvoyante). Symboliquement, les vaccinés ne sont donc que la "chair à canon" de Big Pharma et/ou d'autres "décideurs" selon des desseins sur lesquels il reste à faire toute la lumière ... 

Car si dès les débuts de cette "crise sanitaire" beaucoup trop des décisions gouvernementales nous ont parues ubuesques, anti-démocratiques, absurdes, irrationnelles, fondées sur des mensonges d'Etat, une manipulation des médias et la soumission des consciences par la peur et le chantage, puis l'intolérante et pseudo-scientifique pensée unique "tout vaccin" ;  ce ne serait pas, comme l'on pourrait le croire, parce que les gouvernants seraient "devenus fous", mais plutôt parce que ce qui semble irrationnel à la raison commune, (qui est celle des citoyens ordinaires), peut toujours relever d'une raison d'Etat (...) qui elle, n'a justement plus rien à voir avec la raison et la morale commune (lien). Sinon, pourquoi un tel entêtement de l'Etat français à accumuler les décisions absurdes, anti-démocratiques, pseudo-scientifiques et impopulaires et avec un tel mépris de l'opinion publique ? Pourquoi l'omnipotence d'un "Conseil de Défense" dont les débats et les décisions sont tenues secrètes ? Pourquoi ?... Pour ourdir des complots contre la population, étant donné que la conception des complots nécessite le secret ? Mais quels complots ? (lien)... 







... Et comment ne pas risquer d'éveiller la pensée complotiste dès lors que le "Prince" a décidé de lui-même d'activer un tel Conseil de Défense avec ses modes opératoires secrets !? Donc, pourquoi le "Prince" n'a-t-il pas choisi une transparence totale au lieu du secret  si ce n'était pour cacher certaines "choses" (des objectifs, des faits, et quoi d'autre ?....) à l'opinion publique, laquelle se trouvant ainsi mise à la porte est donc objectivement méprisée, infantilisée, puis instrumentalisée selon la volonté du "Prince" ? 

L'on est toujours en démocratie, là où il y a du secret ? Ou bien est-ce un indice probant selon lequel de réelles motivations totalitaires se seraient emparées des gouvernants...? 

Au fait : 

- Pourquoi personne n'a toujours rien su des résultats des perquisitions qui auraient (...) été menées chez les principaux responsables ministériels de la gestion de la crise sanitaire après qu'elles aient été pourtant annoncées dans les médias, et pourquoi les médias n'en ont-ils plus jamais parlé ? Parce que l'abject assassinat de Samuel Paty, décapité en pleine rue peu de temps après l'annonce de ces perquisitions a pu détourner l'attention de l'opinion publique sur ces dernières après avoir pu créer un choc et une sidération d'un  niveau suffisant ?... Cet assassinat était-il donc un "fait du Prince" (une mise en oeuvre de l'abject (G. Naudé) dans le cadre d'une raison d'Etat), dans ce but : détourner l'attention de l'opinion publique sur les perquisitions en créant le plus traumatisant "effet de choc" et de sidération en proportion avec la gravité des faits qui auraient pu être révélés si les résultats des perquisitions avaient été rendus publics ? (...?). L'opinion a finalement entériné une version de cet abominable assassinat. Cependant, même si c'est désormais la "version officielle", comme l'on dit, qu'est-ce qui nous prouve de manière indépendante du "Prince" (ou de tout possible "lanceur d'alerte") que la dite "version officielle" correspond effectivement aux faits, donc qu'elle est la vraie version ?..

- Pourquoi est-ce qu'aucun média "mainstream" ne s'inquiète plus du tout du "Pfizergate" ? Pourquoi en ont-ils si peu parlé et si peu développé des débats contradictoires ? 

- Pourquoi les médias n'ont jamais débattu sur le fait que les contrats signés avec Pfizer les dédouanaient de toute responsabilité concernant les effets secondaires nocifs des vaccins ? (Pourquoi personne n'a jamais trouvé ce fait particulièrement scandaleux, et même abject).

- Pourquoi ces contrats ainsi que d'autres documents relatifs à la firme Pfizer ont-ils tant été protégés par le secret ?

- Pourquoi Pfizer n'a pour l'instant jamais divulgué le contenu exact des vaccins ?

- Pourquoi le gouvernement a-t-il toujours passé sous silence, et est passé outre le fait que Pfizer a déjà été condamné à de multiples reprises (à hauteur de milliards de dollars d'amende) pour des faits de manipulation de données, notamment ?

- Pourquoi a-t-on tellement menti sur les masques (nombres de masques disponibles, efficacité, etc.) ?

- Pourquoi le gouvernement n'a-t-il jamais reconnu qu'aucune étude scientifique suffisamment robuste (ou même seulement possible...) n'a jamais corroboré l'efficacité d'aucune méthode de confinement ? Et donc pourquoi le gouvernement s'est-il tant obstiné à confiner puis reconfiner la population en l'absence de toute assise scientifique viable ?

- Pourquoi a-t-on vu tant de personnalités politiques et autres apparaître si souvent sans masque, fréquenter des restaurants  et sans aucun respect des "gestes barrières" alors que ces mesures étaient rigoureusement imposées au reste de la population ? Ces personnalités étaient-elles protégées par l'hydroxycholoroquine ? (l'armée française a reconnu avoir acheté de la chloroquine à titre de "précaution"(lien)...).

- Si le Premier Ministre, Mr. Jean Castex a bel et bien été vacciné en double dose, et si les vaccins "anti COVID" sont réellement efficaces, alors pourquoi est-il tombé malade ? Il n'était, en réalité, pas vacciné du tout ? Et maintenant ? Il prend de l'hydroxychloroquine ou de l'ivermectine pour se soigner ?.. (...?).

- Pourquoi persiste-t-on à laisser croire que la bi-thérapie proposée par le Professeur Didier Raoult serait inefficace alors qu'à l'IHU de Marseille des centaines de personnes ont été soignées avec ce médicament sans aucun effet secondaire nocif ni aucun mort ? 

- Pourquoi la chloroquine, un médicament qui a été administré sur des centaines de millions de personnes et sans aucun dommage a-t-elle été, du jour au lendemain déclarée comme "substance toxique" ?! 

- Pourquoi le Professeur Delfraissy qui a pourtant publié cinq études internationales sur l'hydroxchloroquine sans jamais constater d'effet nocif sur le myocarde, notamment, a-t-il tellement combattu la croyance dans la non nocivité puis l'efficacité de ce médicament contre le Pr. Raoult ? 

- Pourquoi veut-on vacciner les jeunes, alors qu'ils sont indiscutablement les moins susceptibles d'être touchés par le "COVID", que cette maladie ne touche qu'une minorité de personnes âgées atteintes de comorbidités, que le taux de mortalité demeure en réalité très faible, et qu'il est désormais avéré que les vaccins "arn", non seulement ne protègent absolument pas de la transmission du virus mais pourraient même sans doute le propager par l'intermédiaire des personnes vaccinées !?... ? Pourquoi ?... Pour honorer coûte que coûte (...) des contrats pharaoniques avec les fabricants des vaccins (lien), contrats (lien) se chiffrant en milliards de dollars et qui prévoient de façon abjecte (...) de dédouaner les fabricants de toute responsabilité !!? 

- Pourquoi continuer d'éreinter la population avec des "pass sanitaires" puisque les vaccins ne bloquent pas la transmission du virus ni ne permettront d'atteindre une quelconque "immunité collective", sachant en outre, et selon le Pr. Raoult, que toutes les épidémies ont jusqu'à présent  toutes disparu d'elles-mêmes !? 

- Pourquoi aussi peu de transparence du gouvernement et des médias sur les sources scientifiques qui orientent l'action politique du gouvernement ? Et pourquoi tant harceler le Pr. Didier Raoult ? Il n'est pas un grand scientifique reconnu et spécialiste de la question, sans doute ?

- Pourquoi les analyses épistémologiques pourtant fondamentales sont si indigentes de la part des médias et des "journalistes du système" ? Le peuple est censé n'y rien comprendre ?..

- Pourquoi continuer de nous harceler, via les médias, avec des annonces anxiogènes sur les nouveaux variants, alors que des données scientifiques sérieuses présentées à l'IHU de Marseille nous démontrent qu'au fil des variants issus d'un même génome, le virus s'affaiblit, les variants aussi, bref, qu'il est en train de mourir, de disparaître...? Pour maintenir la pression sur la population au moins jusqu'aux prochaines élections ? Pour que Pfizer et consorts gagnent encore plus d'argent ? (lien) Pourquoi ?... 






- Pourquoi est-ce que les médias (sous les ordres du "Prince") ont-ils tant relayé cette infâme stratégie de la peur ? Pourquoi continuent-ils de le faire ? Pour favoriser un effet "nocebo" de la vaccination et "créer" encore et encore (...) des faux malades du "COVID" ? (dans le but de justifier encore de la prétendue utilité de la vaccination ?..) : 





POURQUOI ?!

(...)

N'oublions pas qu'une raison d'Etat, peut, selon Gabriel Naudé (lien), fournir au "Prince" toute justification à faire usage de "l'extraordinaire" voire même de "l'abject"* dans l'action politique s'il le juge nécessaire pour les intérêts de la "collectivité". Reste à savoir ce que le "Prince" entend par "collectivité" dans cet "entre nous" secret qu'est un Conseil de Défense, et quelle devient la nature exacte des "intérêts" qu'il prend en considération. Bref, quels sont les glissements sur le sens de ces mots qu'opère le "Prince" dans les arcanes du pouvoir et dans quel(s) but(s), selon quelles nécessités, quelles urgences, et de quelle nature.. ? Toutes "sanitaires" ? Vraiment ?.. Pour l'instant, la réponse à ces dernières questions, les vraies réponses (...) demeurent en France confinées dans le cadre d'un "Conseil de Défense"... où le masque est mis sur toute possibilité de divulgation à l'opinion publique, et les pleins pouvoirs réservés à la discrétion d'un "Prince" vraisemblablement piloté par "Big Pharma" et quelques autres grands décideurs... Mais nous n'avons pour l'instant aucune preuve que ce soit effectivement le cas. Nous ne pouvons donc que nous limiter à des questions, à des "pourquoi". Nous sommes donc aussi "forcés" à croire en la bienveillance totale du "Prince" et en la conformité de sa morale avec la morale commune, à cause de ce secret du Conseil de Défense, à cause de la propagande des médias, du chantage du "pass sanitaire", de la stratégie de la peur employée ad nauseam, (c'est le moins que l'on puisse dire), etc. Mais pourquoi devoir autant forcer une croyance si elle n'était justement suspecte ? C'est donc dans la morale démocratique que d'utiliser la peur, le secret, la propagande, le chantage, d'autres modes de pression, la privation des libertés pour que les gens croient rationnellement en quelque chose comme la pertinence d'une action politique pour le  "bien public" ?







* Un assassinat ? Un fait du "Prince" ? Peut-être ... (mais nous n'en avons aucune preuve) : 



Par conséquent, (et par analogie), nous pouvons rationnellement considérer comme valide l'hypothèse suivante : 

les "vaccinés" d'aujourd'hui, étant donnée l'intolérante et visiblement jusqu'auboutiste idéologie "tout vaccin" menée par les gouvernements ainsi que leurs mépris pour l'opinion publique à travers leurs mépris pour le pouvoir décisionnaire des parlements ravalés au rôle de simples chambres d'enregistrement (comme le dénoncent de plus en plus de parlementaires, d'ailleurs...), ne seraient donc que les moyens identiques à l'action nécessaire pour réaliser les fins décidées par une certaine oligarchie (Big Pharma, entre autres ?...), dont les contenus restent encore opaques, quoique que certains faits donnent à penser qu'il ne s'agirait que de l'enrichissement pharaonique de quelques uns, (lien) comme d'habitude... mais quoi d'autre ? Oui : quoi d'autre, car il doit y avoir autre chose... mais quoi ?..Le "grand reset" ? La diminution de la population mondiale ? La "mondialisation" ? Quoi ?...?...?. A ces dernières questions, nous n'y répondrons jamais de manière formelle tant que nous n'aurons pas des preuves valides et qui auront été testées et contrôlées de manière indépendante.

L'opinion publique, la démocratie, l'Etat de droit, ne sont plus rien du tout, ils ne peuvent plus survivre ni être pérennes sans un usage constant et sans cesse renouvelé, adapté, du rationalisme critique, donc du scepticisme (...) dynamique. Le "complotisme éclairé" devrait être reconnu par tous les citoyens comme partie intégrante du rationalisme critique et du droit au doute, il devrait ainsi être admis par tous comme un devoir citoyen. Il y va de la survie de la citoyenneté, de la responsabilité individuelle, (chaque citoyen devrait se sentir responsable des libertés dont il peut jouir et de leur maintien), et par conséquent de l'Etat de droit, et de la démocratie. 

Mais c'est à nous de choisir, si nous le souhaitons encore (...), sinon, d'autres sont déjà prêts à choisir pour nous, (souvenez-vous des propos sans équivoque de Nicolas Sarkozy au sujet du caractère prétendument inéluctable de la "mondialisation"...), et tout porte à croire qu'ils auraient déjà commencé depuis longtemps à choisir les fins pour lesquelles nous devrions n'être que les simples instruments. 

Enfin, si c'est bien la Liberté que nous désirons toujours, alors nous devons aussi accepter que le "complotisme farfelu ou dogmatique" puisse s'exprimer librement, et dès lors, il nous incombe à nous, les citoyens, d'assumer de la manière la plus autonome, pacifique et éclairée possible ce "fardeau de la Raison" (Karl Popper) qui consiste à réfuter ce type de complotisme sur le front d'arguments rationnels, pacifiques, donc en évitant tout recours à la violence, à l'ostracisme, à l'intimidation, à la censure, et au paternalisme

Si nous laissons à l'Etat, aux médias sous ses ordres, à des intellectuels à sa solde et à des chefs corrompus et sans scrupule la responsabilité d'assumer entièrement ce fardeau à notre place, (dans le secret d'un "Conseil de Défense"...), alors nous laissons entrer "librement" (...) le paternalisme et avec lui les premiers pas de loup du totalitarisme...

Il ne faut donc jamais s'astreindre à "singer" ou à imiter de nous-mêmes (les citoyens ordinaires) le paternalisme, parce que nous avons peur ou parce d'autres parmi nos semblables ont peur... lesquels, de ce fait, penseraient qu'il est bien plus rassurant et rationnel de "suivre papa, sans condition ni plus de discussion inutile" ou d'aller se réfugier sous son "aile". Il ne faut jamais acquérir une conscience paternaliste pour autrui qui est un citoyen ordinaire comme nous. Car c'est précisément ce que souhaitent les chefs totalitaires  afin qu'ils se sentent comme justifiés et "portés" par un peuple tout en entier, lequel, dans sa conscience et ses motivations à agir pour orienter ses choix d'existence aurait entièrement pris fait et cause pour eux ! (Voilà pourquoi, des chefs totalitaires peuvent démocratiquement parvenir au pouvoir, comme le fit Adolf Hitler !..). Mais le paternalisme d'Etat est ce que tout chef totalitaire rêve de mettre en oeuvre   contre la liberté et contre nous. 

Il n'y a donc jamais de véritable citoyenneté sans une dose d'insolence, d'indépendance d'esprit, d'audace critique, voire même de rébellion : il ne peut y avoir de citoyenneté qui ne se sente adulte et responsable d'elle-même, prête à agir pour sa survie et aussi pour le progrès et l'adaptation constante de ses compétences. Et nous irons jusqu'à affirmer que la citoyenneté doit même parvenir à imposer ses compétences, sinon, "elle ne vaut pas mieux que l'esclavage qui lui est promis" (A. Einstein) par les quelques personnages politiques ou individus d'influence qui peut-être rêvent encore en secret d'une réification du totalitarisme. 

Pour être plus concret, (sur l'affirmation : "imposer ses compétences"), nous imaginons que les citoyens doivent savoir être suffisamment compétents, (donc être dotés des connaissances diverses et nécessaires), pour avoir la conscience optimale de leurs conditions d'existence, en juger, et ensuite formuler des critiques, des attentes, des souhaits et des requêtes auprès de ceux qui les représentent. Ils doivent donc aussi être suffisamment compétents et responsables pour s'informer des programmes politiques qu'on leur propose, des théories scientifiques qui peuvent orienter une action politique particulière (...), y réagir par l'action lorsqu'ils le jugent nécessaire, puis la sanctionner par leurs votes le moment venu. ("Chaque citoyen peut intervenir dans le gouvernement de la Cité, ne serait-ce que par son vote". Périclès d'Athènes, 345 avt. J.C.). Donc, la citoyenneté peut selon nous "imposer ses compétences" par une action majoritaire, par un réveil des consciences de chacun au sein d'une majorité qui seule devrait   parvenir à avoir une influence sur les motivations et les projets  des représentants politiques.

Par conséquent, la citoyenneté ne doit jamais, par sa passivité et son inaction, donner raison à Hegel...

Mais lorsqu'elle préfère se "laisser porter" par les événements, par les circonstances, lorsqu'elle "laisse faire" en attendant "que-ça-aille-mieux" en comptant toujours que d'autres soient actifs à sa place (tout en restant hypocritement bien au "chaud" du côté du "Prince" et en fustigeant les activistes...), et sans savoir vraiment comment les choses pourraient s'améliorer ou en espérant la survenue de je ne sais quel miracle de l'événement ; bref, lorsqu'elle se cantonne dans la passivité et pratique la "politique de l'autruche", comment ne pas vouloir finir par la vilipender puis l'exhorter au réveil ? Comment ne pas lui reprocher son inaction, et même... son irresponsabilité vis-à-vis de la chose publique, donc son propre avenir ?!

Le "laisser faire" ne peut donc être une attitude citoyenne motivée par la pérennité de l'Etat de droit et de la liberté. Bien au contraire : il "réalise" même le mythe du destin, (l'on croit pouvoir s'en remettre à lui seul et selon ses propres "lois", alors qu'il n'existe aucune "lois du destin" ; il consiste à croire qu'il suffit justement de "laisser faire le cours des choses"...), donc l'une des conditions indispensables à l'émergence de projets totalitaires : l'idéologie historiciste. 

En effet, ceux qui pratiquent la "politique de l'autruche" ne s'en remettent plus qu'aux événements en abandonnant tout espoir d'avoir un contrôle sur eux et pire, toute conscience que c'est justement à eux de "créer l'événement", ou de "faire l'Histoire". Celui  qui enfonce "sa tête dans la sable" s'en remet donc à un "destin", à d'imaginaires lois du devenir historique qui ne dépendraient plus de lui et dont il accepte qu'elles pourraient être soi-disant incontrôlables. L'Histoire n'est pas une abstraction détachée de ce qui la font, elle n'agit pas et n'influence pas l'individu indépendamment de lui, parce que comme l'écrivit Ludwig Von Mises : "seul l'individu pense, seul l'individu raisonne, seul l'individu agit". Le citoyen authentique doit bien entendu comprendre, qu'il est l'Histoire avec ses semblables, quel qu'en soit le statut social. Nous sommes tous l'Histoire en train de se faire, mais nous ne devons jamais laisser des minorités (gouvernementales ou autres) la faire à notre place parce que ces minorités nous auraient fait peur (...), ou pire : nous l'imposer par la propagande de masse, la manipulation, le mensonge, le chantage, l'ignorance, la peur, la force, donc le totalitarisme.

Cette "crise sanitaire" aura eu, contre toute attente, au moins une conséquence positive, (ou en tout cas, qui devrait selon nous être perçue comme telle) : c'est qu'un certain nombre de personnes se rendent compte que la citoyenneté doit constamment évoluer en continuant sa formation continue. Qu'elle doit réagir et réaliser un saut qualitatif des plus significatifs au niveau de ses connaissances et par suite, de ses compétences. Le citoyen d'aujourd'hui, (et celui de demain), ne peuvent plus rester indifférents à la Science, à ses productions et à ses discussions, puisque la pérennité et la sécurité de nos sociétés occidentales dépendent dans une très large mesure du progrès des sciences ! Ils doivent donc aussi acquérir cet outil intellectuel fondamental qui est le "quid juris" de toute science ainsi que de tout type de connaissance qui prétende à refléter la Vérité objective : l'épistémologie fondée sur la logique, sans oublier les  connaissances en philosophie politique et sur les théories de la raison d'Etat. Cette mise à jour des compétences citoyennes devrait permettre un regain d'intérêt pour la chose publique, les programmes et l'action politique des dirigeants, ainsi que leur critique éclairée. Il faut donc répéter encore une fois le problème qui nous paraît le plus important : il n'y a pas de véritable citoyenneté dans un Etat de Droit sans la responsabilité individuelle laquelle ne peut être indépendante de la conscience de la nécessité de l'apprentissage, de la formation continue, donc de l'adaptation toujours renouvelée et indispensable afin de demeurer aussi éclairée et active que possible par rapport aux motivations et aux décisions des gouvernants.

Les vraies révolutions commencent toujours par les idées contre d'autres. Et les révolutions futures pourraient même se faire sans arme et sans violence, par des citoyens évolués et responsables, car l'on peut considérer avec Karl Popper que "les théories (donc les idées) peuvent bien mourir à notre place", grâce à la discussion critique puis l'action citoyenne éclairée par la Raison et non embrigadée puis asservie par la peur puis "la haine de l'ennemi" (Friedrich A. Von Hayek).


*            *

Sur la bête immonde : le totalitarisme (il vient toujours de la peur) :

Certains promoteurs d'une possible tyrannie "numérique"  du futur, (comme Laurent Alexandre et quelques autres...), nous vantent les soi-disant mérites d'un "homme augmenté"(lien), truffé de puces informatiques implantées lesquelles décupleraient son intelligence et son efficacité dans des proportions inédites, et d'autres croient même possible de réaliser l'immortalité sans même se douter, semble-t-il, qu'un projet aussi farfelu restera pour toujours hors d'atteinte de toute connaissance humaine et cela pour des raisons rigoureusement indiscutables de logique. Lesquelles ? Tout d'abord, l'immortalité renvoie à l'infini, à ce qui est éternel. Il est donc tout à fait clair que personne, aucune machine quelconque aussi sophistiquée qu'elle puisse être ne pourra jamais vérifier avec une précision absolue, "l'infini" ou "l'éternel". Ensuite, ce serait déjà prétendre rendre solvable ce qui demeurera aussi pour toujours insolvable : le problème de l'accès à la précision absolue dans la mesure de tout ce qui peut toucher à la Nature, nature humaine comprise, évidemment. En somme, aucune connaissance d'aucun type qui puisse être corroborée par l'être humain ne pourra jamais être identique avec toute la rigueur et la précision requises à une connaissance de l'immortalité. Personne ne saura jamais ce que c'est que d'être "immortel". Un tel projet est, pour toujours, totalement interdit par la logique, que cela plaise ou non à tous ses insensés promoteurs.

En conséquence, le réalisme reprend ses droits au sujet de ces  projets délirants et irresponsables "d'homme augmenté". La seule "augmentation" (...) que l'on puisse raisonnablement espérer, concerne celle du savoir et des compétences individuelles qui ne seraient pas asservies par la technologie mais qui au contraire maintiendraient la technologie totalement asservie à l'homme (c'est bien là, le seul "régime totalitaire" qui soit souhaitable). Et cette "augmentation" devrait aussi entraîner une "diminution" : celle de la peur puis de la violence. Ensuite, cette précédente "diminution" devrait à son tour permettre d'augmenter encore les libertés et la responsabilité individuelle et nous rapprocher ainsi d'un peu plus près (sans toutefois que nous puissions jamais l'atteindre) de l'idéal utopique de François Rabelais : "Fais ce que voudras". Cette utopie dont tous doivent avoir conscience qu'elle n'est qu'une utopie, est pourtant, selon nous, la meilleure idée directrice et régulatrice pour nous guider vers le bonheur, et "la sécurité et la liberté" (Karl Popper).

Tel que nous l'imaginons, "l'homme augmenté" n'a donc rien à voir avec les espoirs délirants et "technologiques" de certains. Cet homme nouveau que nous imaginons saurait bien mieux qu'il n'a jamais su le faire auparavant dans l'Histoire, rendre aussi audibles et prévisibles que possible, les tous premiers pas de loup du totalitarisme tentant de s'approcher de lui. Et,  grâce à ses compétences inédites dans les domaines que nous avons cités plus haut, ces "pas de loup" de la bête immonde deviendraient même aussi assourdissants et immédiatement insupportables que les bruits de sabots d'un géant affamé mais  maladroit et impotent ! Ce ne serait plus qu'un géant aux pieds d'argile... Dès les premiers indices, tous les citoyens éclairés qui nous imaginons, tous ces "individus augmentés", sauraient au plus tôt réagir ensembles, mais de manière rationnelle,  concertée, pacifique et non violente pour étouffer dans l'oeuf toute velléité du totalitarisme.

S'il doit y avoir un "homme augmenté" il ne doit l'être qu'au niveau de ses libertés et de ses responsabilités personnelles. Et ceci entre en contradiction totale avec un quelconque asservissement ou contrôle des consciences par la technologie ou tout autre moyen.
 
Vous imaginez ? Une vie sans surveillant, sans petits chefs, sans psys et tout le reste ? Une vie où chacun aurait acquis un tel niveau de compétences, de respect de lui-même, d'autrui et de toutes choses de la Nature ?.. Pourquoi ne pas le rêver ? Pourquoi ne pas prendre au sérieux cette saine "métaphysique", la plus louable utopie qui soit : une vie où la peur, l'ignorance et la violence auraient été éradiquées ? 

Mais le pays de Thélème est encore loin, très loin. Nous n'irons même jamais à Thélème, comme je l'ai dit plus haut. Ce n'est qu'un rêve. Une utopie. 

Cependant, l'Humanité a-t-elle d'autre choix que de se servir de cette utopie comme de la meilleure idée directrice et régulatrice de ses progrès sociaux ? Le progrès social ne s'évalue-t-il pas au nombre croissant des libertés individuelles ? Où serait le progrès social dans un univers où les individus devraient être constamment surveillés, donc infantilisés, pour pouvoir vivre ensembles ? Les individus les plus libres et adultes ne sont-ils pas les plus capables de gérer de façon autonome et non violente les relations sociales les plus diverses, changeantes, renouvelées et complexes ? Ne sont-ils pas capables d'appréhender les problèmes nouveaux qui se présentent à eux avec compétence et sang froid ? Et, comment se croire libre si l'on était ignorant des limites de l'action possible qui seules peuvent justement l'orienter par la motivation de choix autonomes ? 


*


Il nous faut accepter de vivre avec l'indéterminisme et apprendre sans relâche à le transformer pour notre connaissance de la nature et de nous-mêmes. Mais l'indéterminisme ne doit surtout pas être compris comme une fatalité inéluctable qui nous rendrait impuissants, au contraire, il doit être compris comme une source quasi inépuisable d'heuristique et de progrès. L'indéterminisme est toujours une source d'optimisme pour les hommes doués de raison et de courage devant l'effort, pour ceux guidés par la recherche incessante de la Vérité.


L'indéterminisme est certes une condition logique qui peut rendre possible la liberté, mais il n'est certainement pas une condition sine qua non de la liberté concrète, (dans les faits).

Nous voulons dire que ce n'est pas parce que l'indéterminisme est inévitable, (parce que nous ne saurons jamais comment résoudre de manière absolue l'imprécision des mesures et le hasard, donc l'incomplétude de nos connaissances de la nature), que la liberté est quelque chose qui "va de soi", nécessairement, à partir de lui ! En d'autres termes, la liberté ne nous est pas immédiatement "donnée" à partir de l'indéterminisme. 

La liberté n'a du reste jamais été "donnée" à personne en ce sens-là, ni ne le sera jamais. L'indéterminisme ne choisit pas. Il n'a pas de "conscience" : aucun mot n'a jamais eu, ni n'aura jamais aucune forme de "conscience" : il n'y a aucun "esprit" autonome dans les mots lesquels ne peuvent avoir d'influence sans des individus bien réels. L'indéterminisme n'est qu'un terme comme un autre, créé par les hommes, et détaché de tout ce qui peut le caractériser (et encore défini par l'homme, comme l'imprécision, le hasard, l'inconnu, lequel peut contenir ce qui est potentiellement connaissable mais aussi l'inconnaissable), il ne signifie rien et ne possède aucun pouvoir à créer de lui-même la liberté dans les faits. 

Répétons encore une fois que l'indéterminisme n'est pas, ni ne peut être immédiatement identique à la liberté ou cause sine qua non de la liberté réelle : un environnement quelconque peut nous sembler totalement et provisoirement incertain (encore indéterminé par des lois causales corroborées par des tests) et c'est justement parce qu'il est incertain que nous ne pouvons savoir comment choisir, (et à partir de quelles lois ?), les moyens les plus efficaces pour y agir, donc pour y être libres. 

En effet, si nous n'avons à notre disposition aucune loi pour nous indiquer ce qui est interdit selon des limites réelles et identifiables par chaque individu, si tout est "égal", non classifié, ou "permis", il n'y a donc aucun repère clair pour orienter l'action. Et que peut bien signifier "orienter l'action"  si ce n'est la possibilité d'un choix dans au moins une alternative ? Et donc, quel sens aurait une liberté dans les faits sans qu'aucun choix possible soit réalisable ? Car toutes les lois universelles, qu'elles soient d'ordre juridique, scientifique ou autre, doivent être comprises comme des interdictions puisqu'elles-mêmes n'ont de contenu identifiable que grâce à leur "contenant" constitué par ce qu'elles excluent a priori dans leurs formulations propres. Une loi qui n'exclue rien, aucun fait, n'a aucune valeur explicative (Spinoza). Une théorie "qui explique tout, n'explique rien du tout" (A. Einstein). Et une théorie qui ne peut être réfutée n'a aucun pouvoir de description sur les faits (K. Popper). Nous nous rangerons donc à l'avis éclairé de Friedrich A. Von Hayek qui écrivit : "Car ce fut toujours la reconnaissance des limites du possible, qui a rendu l'homme capable de faire pleinement usage de ses capacités". (In : Friedrich A. Von Hayek. "Droit, législation et liberté". Tome 1 : "règles et ordres". Chapitre 1 : "Raison et évolution". Editions PUF/Quadrige, Paris, octobre 1995, page : 9).

Donc,  l'indéterminisme, bien qu'il demeure une condition logique sine qua non de la liberté, n'est absolument pas l'unique condition de la possibilité de la liberté réelle : il ne peut générer immédiatement de la liberté "empirique". Il nous semble alors tout à fait clair qu'il n'y a qu'une conscience humaine (ou peut-être une intelligence animale d'un niveau suffisamment élevé) qui puisse faire des choix autonomes. Car, comme nous l'avons dit précédemment, la liberté n'est identifiable que dès lors qu'un choix possible est lui aussi reconnu en toute conscience et connaissance de cause par celui qui peut choisir ! 

Dès lors, il est inutile de nous parler de je ne sais quelle "bête de l'événement" ou autre mythe pour nous faire peur ou nous impressionner sur notre impuissance, ou d'un "cours des choses inéluctable" que des hommes pourtant bien réels n'auraient en premier lieu décidé de qualifier de ces façons là, et par leurs actes, d'y donner vie. Parce que si on comprend l'indéterminisme comme étant la "bête de l'événement", en ce sens-là (inéluctable et nous rendant impuissants à agir), alors on se trompe et on nous trompe !

(L'apparition du "COVID-19" a été la "bête de l'événement" que nous avons nommée ainsi : "COVID-19". Reste à savoir qui (...) a pu créer la "bête" ou par le fait de quels phénomènes complexes et intriqués elle a pu "apparaître" ? Quoiqu'il en soit (...), le Professeur Didier RAOULT a été (et est encore avec son équipe de l'IHU de Marseille), l'un de ces grands scientifiques qui aura su faire face, le premier et dans l'urgence et avec le plus grand réalisme scientifique à cette forme d'indéterminisme, par des hypothèses scientifiques nécessairement audacieuses avec les premiers tests cliniques sur l'hydroxychloroquine. Il a indiscutablement démontré l'authentique et salutaire voie de la Raison, de l'optimisme, du réalisme et de la vraie Science, contre l'affolement et la peur. Saura-t-on enfin reconnaître l'inestimable valeur de son entreprise ? Ce sera difficile, car pour cela, il faudra que certains "grands enfants" parviennent à surmonter d'autres peurs, sinon même quelques "terreurs", eu égard aux conséquences désastreuses et même dramatiques qu'ont pu avoir leurs décisions politiques toutes soutenues par la stratégie de la peur, la pensée unique totalitaire, et pire encore... Et cette difficulté sera d'autant plus difficile à surmonter qu'elle demeure encore soutenue et entretenue, voire aggravée par tous les autres "grands enfants" qui suivent encore aveuglément "papa" dans l'unique solution de la vaccination de masse et du "pass sanitaire", lesquels ne solutionnent pourtant que bien peu de problèmes, sinon aucun. Mais, pour recouvrer la liberté et une vie d'adultes responsables et éclairés, il va bien falloir que cette régression infantile de masse que l'on a imposée cesse un jour).

Certes, l'on pourra nous rétorquer que certains phénomènes naturels et que Karl Popper situeraient encore pour une large partie dans le "Monde 1", c'est-à-dire celui des objets de la Nature que nous identifions comme autonomes et encore partiellement ou totalement rétifs à des connaissances scientifiques (du "Monde 3"), soient en mesure de constituer, de donner un sens et une vie réelle à un "cours des choses" (autonome) ...

... Mais là encore se pose un problème indépassable : c'est que la Nature n'a jamais "parlé" ni ne parlera jamais, de son propre chef, et en toute autonomie à aucun être humain : "C'est toujours nous qui formulons les questions à poser à la Nature ; c'est nous qui sans relâche essayons de poser ces questions de manière à obtenir un "oui" ou un "non" ferme. (Car la Nature de donne de réponse que si on l'en presse.) Enfin, c'est encore nous qui donnons la réponse ; c'est nous qui décidons, après un examen minutieux, de la réponse à donner à la question posée à la Nature - après avoir longuement et patiemment essayé d'obtenir d'elle un "non" sans équivoque. "Une fois pour toutes", dit Weyl, avec lequel je suis pleinement d'accord, "je désire manifester mon admiration sans bornes pour l'oeuvre de l'expérimentateur qui se bat pour arracher des faits susceptibles d'être interprétés à une nature inflexible si habile à accueillir nos théories d'un Non décisif ou d'un inaudible Oui"." (Karl Popper. In : "La logique de la découverte scientifique." Editions Payot, Paris, 1979, page : 286). 

Comme on le voit, une "Logique de la découverte scientifique", elle même dépendante d'une logique de la connaissance (il ne peut jamais y avoir d'observation "pure" des faits, toute observation est toujours entachée, guidée a priori par la théorie, un préjugé, une représentation quelconque, la mémoire..), nous montre la voie vers l'essentiel : la responsabilité individuelle ; la responsabilité de l'être humain ; sa responsabilité par rapport aux choix cruciaux qui s'offrent à lui : être pessimiste et inactif en s'en "remettant" à de prétendues lois inéluctables ou des phénomènes naturels face auxquels toute conjecture audacieuse serait vaine, c'est-à-dire l'historicisme, ou bien l'optimisme et l'activisme critique, c'est-à-dire assumer l'effort de la pensée créatrice et critique  devant les problèmes inconnus ; assumer l'audace intellectuelle à imaginer de nouvelles conjectures, de nouveaux tests toujours mieux aboutis ; assumer la correction incessante des erreurs ; assumer le courage intellectuel et physique au lieu de céder à la peur ; bref, assumer ce que Popper nommait le "fardeau de la Raison et de la liberté".

Il n'y a donc de "bête de l'événement" que dans un esprit paternaliste et séduit par le totalitarisme (par une réactivation de la pensée magique néo-tribale) qui espère ensuite réactiver aussi le souvenir de cauchemars infantiles chez ceux qui l'écoutent sans réfléchir, puis l'envie d'aller crier avec d'autres enfants apeurés : "papa, au secours !".


*

Où est donc la "liberté" quand il "n'y a pas le choix", ou quand l'on nous leurre sur la (fausse) réalité d'un choix possible avec une mesure aussi injonctive, finalement, que ce "pass sanitaire" ? 

A chaque fois que réapparait, même de manière dissimulée ou "à pas de loup", le spectre du déterminisme strict qui croit pouvoir abroger totalement l'indéterminisme, (comme avec ce "pass sanitaire") puis que l'on tente de le "réaliser" ou de le  "concrétiser" dans certaines mesures qui ne sont rien d'autre que des mesures politiques (...), alors, réapparait aussi les premiers sons, les premiers bruits des pas du totalitarisme. Le "pass sanitaire" est une mesure politique totalitaire. Mais elle procède donc "à pas de loup", déguisée en quelque chose de "démocratique", mais seulement déguisée (parce que le "choix" qu'elle semble proposer n'est qu'une tromperie sur la marchandise). C'est donc une mesure qui doit être qualifiée de "totalitarisme sophistiqué", mais totalitaire tout de même.

La liberté individuelle n'a aucun sens, est inimaginable sans la connaissance des limites de son exercice, la compétence à l'exercer de manière lucide, l'autonomie et la responsabilité personnelle. Mais, pour se rapprocher de "Thélème", les hommes doivent renoncer à la technique de la tabula rasa, aux révolutions violentes et brutales, aux grands plans de transformation sociaux, à l'idéologie constructiviste, au déterminisme strict et à ses plus nuisibles rejetons : l'historicisme, le mythe du destin, le paternalisme et enfin, le totalitarisme. 

Toutes ces dérives de la pensée humaine viennent en effet, selon nous, de la même "matrice" : la peur. Voilà l'ennemi.

Ceux qui ont peur en viennent toujours à être séduits par le déterminisme le  plus strict, la "sécurité totale" par la réduction la plus aboutie possible de l'incertitude, le retour vers la société close, alors que nous vivons dans un univers ouvert de propensions en étant nous-mêmes des propensions (K. Popper). Ceux qui ont peur rêvent aussi de rendre "l'univers des nuages" aussi prévisible sur la durée que celui "des horloges" (K. Popper). Bref, encore une fois, il rêvent de cette chose définitivement impossible qui consisterait à pouvoir abroger l'indéterminisme. Méfions-nous toujours de ceux qui tentent de nous embrigader par la peur, selon des desseins qui ne visent qu'à restreindre nos responsabilités et nos libertés, (afin de les remettre entièrement entre les seules mains d'un Chef ou d'un "Prince"), sous les prétextes de la sécurité, de la prospérité, de la santé..

Mais il est évident que si le monde libre n'avait eu peur que le nazisme s'impose, il ne serait jamais entré en guerre contre lui. Les peurs qui aient donc le plus de chances d'être légitimes et suivies, sont celles qui concernent la privation de liberté, quoique nous devons toujours nous méfier des dérives dans la violence que la privation de liberté peut aussi engendrer au détriment de la Raison. Mais, ceux qui pensent qu'il vaut alors  mieux tenter de construire entièrement la société à l'aide de "plans" qui seraient entièrement rationnels, puis l'individu qui devrait y vivre, n'ont-ils pas peur de la liberté, de l'inévitable indéterminisme lié au facteur humain qu'aucun plan constructiviste ne pourra pourtant jamais anticiper et contrôler de manière absolue ? (F. A. Von Hayek ; K. Popper). Et ceux qui échafaudent des théories psychologiques fondées sur un déterminisme prima faciae absolu et excluant tout hasard et tout non sens, comme les psychanalystes, n'ont-ils par perdu leur foi en l'homme, jusqu'à tenter de lui retirer sa croyance dans la possibilité du libre-arbitre et sa responsabilité ? Et enfin, ceux qui font la promotion de prétendues lois inéluctables du devenir historique (historicisme, avec par exemple l'usage de "modèles mathématiques" de prédiction du climat et des épidémies où l'on pense pouvoir rendre le climat et les épidémies aussi prédictibles que le comportement des horloges par des "lois" inéluctables puisqu'elles peuvent relever des mathématiques !...), n'ont-ils pas peur du changement, et eux aussi, de l'impossible abrogation de l'indéterminisme ? 

Aucune psychologie, ni aucune technologie ne résoudront jamais l'insoluble problème de l'indéterminisme. Jamais la psychologie et la technologie ne parviendront à sceller l'humain dans des plans totalitaires qui ne puissent tôt ou tard être aussi totalement mis en échec avec  le contrôle social initialement souhaité par leurs promoteurs. Les mesures totalitaires sont toujours un non-sens. Elles se heurtent toujours au réalisme opposé par le facteur humain. Le "vaccin pour tous" est un non-sens et cette idéologie pseudo-scientifique "tout vaccin" outillée par le chantage ignoble de son "pass sanitaire" est aveugle donc irresponsable, et, pourquoi ne pas le dire : stupide. Il ne s'agit donc pas d'une politique sanitaire réaliste et orientée par la Raison à laquelle nous avons à faire, mais d'une sorte de fuite en avant dont les motivations et les modes d'imposition ne peuvent que susciter des doutes et des interrogations bien légitimes.

Toute cette politique "vaccinale" à grande échelle, totalitaire et intolérante, sourde à des solutions alternatives procède donc des maux idéologiques que nous avons cités : le constructivisme (il est mis en échec, une fois de plus, et de manière cuisante : impossible d'atteindre l'immunité collective, et impossible de contrôler en totalité l'indépendance d'esprit, l'esprit critique de tous les individus) ; l'historicisme (il est lui aussi mis en échec : impossible de prédire l'évolution de l'épidémie et du facteur humain), donc, la peur. Toujours, la peur... Le géant aux pieds d'argile que certains font encore marcher devant nous, ne peut donc finir que par s'effriter sur ses bases bancales, et si nous croyons encore en une citoyenneté adulte, responsable et éclairée par la Raison, grâce à notre activisme, il s'effondrera sous nos yeux.

Dernières questions : 

Mais pourquoi un tel regain d'intérêt de nos gouvernants pour l'hégélianisme, l'historicisme (voir Emmanuel Macron et sa "bête de l'événement" et autres modèles mathématiques de prédiction de l'évolution des épidémies...), et le constructivisme (le "pass sanitaire", l'idéologie pseudo-scientifique "tout vaccin", la vaccination (inutile) des enfants...) ?...? Selon des mobiles uniquement "sanitaires" ? Nous en doutons.



Vu sur Facebook : 


C'est en 1956 que le philosophe juif Allemand Günther Anders écrivit cette réflexion prémonitoire :


"Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées...
 
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique le niveau & la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste..… que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif.
 
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s'interroger, penser, réfléchir.
 
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
 
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions matérielles nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité, son esprit critique est bon socialement, ce qui risquerait de l’éveiller doit être combattu, ridiculisé, étouffé...

Toute doctrine remettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels"
 
Günther Anders « l’obsolescence de l’homme » 1956"

 

 



Günter ANDERS, illustre récalcitrant très éclairé :






(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).


*






Guillaume BIGOT, sur le mépris actuel du gouvernement, et son cynisme vis-à-vis de l'opinion publique : 







*





"Les ennemis" dont parle Hayek dans ce texte magistral (mais a-t-il écrit autre chose ?..) sont aujourd'hui :

- les non-vaccinés ;
- ceux qui ne cèdent pas à la peur, à la propagande des médias ;
- les sceptiques, ceux qui doutent, qui se posent des questions rationnelles ;
- les complotistes éclairés (ceux qui se limitent à seulement exprimer des doutes et des interrogations puis des questions en direction du "Prince", dont le contenu est la suspicion de complots possibles, ou de "coups fourrés d'Etat" (Gabriel Naudé), mais sans jamais rien affirmer d'avéré en l'absence de preuves ; tout en ayant conscience que l'administration de telles preuves devraient se faire de manière indépendante de leur influence et de celle du "Prince", pour que "la Vérité transcende toute autorité humaine" (K. Popper)).

Le "plus bas dénominateur commun" dont parle Hayek est donc aujourd'hui la PEUR. Le "Prince" rassemble autour de la peur propagée par les médias sous ses ordres et grâce à ses mensonges récurrents sur les statistiques, notamment. Le "Prince" tient en laisse les gens par la PEUR et ils redoute ceux qui refusent de se laisser ainsi infantiliser, ceux qui usent de leur indépendance d'esprit et de leur esprit critique, des qualités qui constituent le secret de la supériorité intellectuelle, comme l'écrivit Karl Popper. 

Le "Prince" ne supporte pas les esprits forts, il n'envisage aucune réfutation possible de la pertinence de son action politique et ses serviles portes-paroles continuent de nous dire qu'il n'y a pas d'autre alternative à l'idéologie totalitaire "tout vaccin". Mais en agissant de la sorte, en affirmant d'eux-mêmes et aux yeux de tous qu'il n'y a pas d'autre alternative que ces "vaccins", les portes-parole du "Prince" viennent donc corroborer de la manière la plus claire qu'il s'agit bien d'une pensée unique, d'une idéologie dominante et intolérante à toute critique, à toute alternative possible qui est à l'oeuvre, comme dans toute conduite totalitaire. Et pourtant les alternatives existent (hydroxychloroquine, ivermectine, prise en charge précoce des malades en ambulatoire, etc., etc.).



*


Nous croyons qu'ils nous ont menti dès les débuts de cette prétendue "guerre" et encore plus dès l'allocution de "Mr. Vaccin" (le Pr. Alain Fischer) pour l'intronisation des nouveaux vaccins "arn" contre le COVID où personne n'avait osé remarquer qu'il n'est jamais valide d'être juge et partie puisque ce fut seulement sur la base de communiqués de presse fournis par les fabricants eux-mêmes (!!) que ces vaccins ont été avalisés par l'Etat et de surcroît en l'absence de preuves cliniques et scientifiques suffisamment robustes ! Et s'il fallait en rajouter encore, nous pourrions aussi nommer tous les faits qui démontrent de la manière la plus claire qu'ils (les fabricants et aussi l'Etat) ce sont toujours réservés l'avantage inacceptable d'être constamment "juges et parties" à pratiquement tous les niveaux. Quel média "mainstream" en a fait la remarque ?..


Mais de quel mensonge s'agit-il ?

Nous croyons qu'ils savaient très bien que l'atteinte d'une immunité collective était précisément ce qu'il fallait éviter à n'importe quel prix pour assurer un maximum de profits à "Big Pharma" (et peut-être aussi à d'autres fins ?...), et étaler encore ces profits sur des durées peut-être indéterminées.. Mais pour "vendre" ce mensonge, ils ont utilisés la peur. Pour cela : le slogan était tout prêt : vaccinez-vous et vous serez immunisés, tout le monde sera immunisé et nous sortirons de cette crise sanitaire ; vous retrouverez votre liberté.

Nous croyons qu'en réalité, l'atteinte de l'immunité collective contre le "COVID" est leur hantise de toujours : ils n'en veulent pas, mais, bien évidemment, ils ne l'avoueront jamais.



*


L'éditeur du British Medical Journal : 





Le Pr. Didier RAOULT :




Commentaires (pour résumer quelques points essentiels développés par le Pr. Didier RAOULT) : 

- Il s'avère que sur l'ensemble de la planète, il y a eu un peu plus de 8 milliards de doses qui ont été injectées, et que malgré tout, ce sont dans les pays où la vaccination a été la plus intensive qu'il y a encore le plus de cas d'infection ;
- il arrive que dans des pays où la vaccination a été appliquée avec la plus grande rigueur, l'on observe les pics de mortalité les plus élevés ;
- en Australie, c'est après la vaccination que va augmenter très significativement la mortalité ;
- en Suède, pratiquement aucune mesure de restriction sociale et très peu de mortalité ;
- en Islande, l'on observe plus de 85 % de vaccinés, et l'épidémie repart à la hausse ; etc., etc., ...
Globalement, la situation comparative entre les pays reste cependant des plus disparates. La situation est donc des plus complexes et rien ne permet de dire qu'en toute rigueur, la vaccination ait eu un effet global efficace non seulement contre la transmission du virus mais plus encore, contre la mortalité....

Donc, si c'est bien d'une "guerre" dont il s'agit, alors pourquoi le "général" demeure-t-il si obstiné à n'utiliser qu'une seule et même arme qui s'avère n'être qu'une mauvaise pétoire ?.. Est-ce qu'un bon "général" ne songe pas, au contraire, en cas de "guerre" à utiliser toutes les armes qui peuvent être à sa disposition et en choisissant les meilleures à l'aide de ses meilleurs experts ? Napoléon a perdu la bataille de Waterloo à cause des faiblesses de son état major, et de graves erreurs qui ont été commises, et aussi à cause du fait que lui-même a commis une erreur fatale qui aurait pu être corrigée à temps mais qui ne l'a pas été, justement à cause de son état major, qui d'ordinaire ne se privait pas de le critiquer ... Mais il a aussi perdu cette bataille à cause de la combativité et de la qualité du commandement et des troupes anglaises, évidemment.
Bref, en France (comme ailleurs), le "général" a décidé de continuer la guerre avec son seul "flingue" qui tire à côté, mais tout le monde reste persuadé qu'il a raison et qu'il faut continuer comme ça...(pas de cavalerie, pas de canon, pas de fusil, rien d'autre... Il est vraiment bizarre, ce "général", non ?).

*

C'est à la suite de l'article complètement foireux du "Lancet Gate" que les décideurs français, et l'OMS ont décidé qu'il fallait pourtant stopper l'utilisation de l'hydroxchloroquine. Avant, plus de la moitié des médecins ont utilisé ce médicament, dont le Pr. Delfraissy (patron du Conseil Scientifique National). Ce dernier avait même publié 5 articles au niveau international sans jamais rapporter aucun accident cardiaque qui soit causé par l'hydroxychloroquine ;

Toutes les accusations portées contre le Pr. Raoult au sujet de la tuberculose se révèlent n'être que les lamentables aboiements diffamatoires et mensongers d'une minable meute de roquets enragés par la jalousie, la haine et la lâcheté la plus crasse ;

(...)


Laurent TOUBIANA, chercheur, épidémiologiste :




*



















*

"Mais, vous mentez, mon Prince, 
vous nous mentez ! 
J'en ai honte pour vous...

Prenez garde, mon Prince !
Si le peuple se révolte,
il vous en cuira !

Il vous en cuira,
mon Prince !.."

(...)













*

























 








*                 *


Dans le "royaume de Takicardie" (la France), royaume gouverné par le Roi Macron 5 plus 3 font 8 et 8 font 16 (doses de vaccin...), voici des non vaccinés, ils sont jeunes, et ils sont poursuivis par les sbires du pouvoir pour qu'on leur impose la vaccination. Mais (il y a toujours un "mais"), est-ce que la lourde machine robotique nommée "Pfizer" réussira dans son entreprise totalitaire, ou finira-t-elle par se retourner contre le régime et elle-même ?... Attendons la fin du film pour avoir la réponse... En attendant, les médias du pouvoir ont pris des "ailes" bien noires (celles de la peur...) pour poursuivre les fuyards, mais ces derniers ne sont plus dupes... : 






(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).



*


Les hommes libres vaincront. Ils ne renonceront jamais : 




*


Mon roman, "HOAG, un témoignage du futur":















Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

Archives du blog