C'est en effet la question que l'on peut se poser en lisant cet article, ici :
Commentaires :
Premier point :
Des effets indésirables graves, mais sur qui, quel type de malade, et avec quels antécédents ?
Deuxième point :
Et puis, statistiquement, même
en tenant compte de malades chez lesquels le traitement n'aurait pas dû
être appliqué, quelle est le pourcentage de décès dus à l'hydroxychloroquine
depuis son utilisation historique ?
L'on pourrait faire des recherches s'il on avait les dossiers médicaux de tous les patients et aussi des
informations sur le mode de prise du médicament depuis les débuts de sa mise en service de part le monde (...), avec deux hypothèses :
1. Le nombre de décès reste très peu significatif, comparé à d'autres
traitements ;
2. Le nombre de décès est majoritairement dû, soit à des
antécédents médicaux mal examinés et qui contre indiquaient la prise du
médicament, soit un non respect de la posologie.
Enfin, si c'était
vraiment dangereux, il y a bien longtemps que tous ces ânes battés qui
éructent contre le Pr. Raoult auraient sauté comme des poux sur des
statistiques objectives démontrant la dangerosité de la Chloroquine ; et
d'ailleurs, pourquoi "Le Monde" ne l'a-t-il pas fait ?...
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".