C'est en effet la question que l'on peut se poser en lisant cet article, ici :
Commentaires :
Premier point :
Des effets indésirables graves, mais sur qui, quel type de malade, et avec quels antécédents ?
Deuxième point :
Et puis, statistiquement, même
en tenant compte de malades chez lesquels le traitement n'aurait pas dû
être appliqué, quelle est le pourcentage de décès dus à l'hydroxychloroquine
depuis son utilisation historique ?
L'on pourrait faire des recherches s'il on avait les dossiers médicaux de tous les patients et aussi des
informations sur le mode de prise du médicament depuis les débuts de sa mise en service de part le monde (...), avec deux hypothèses :
1. Le nombre de décès reste très peu significatif, comparé à d'autres
traitements ;
2. Le nombre de décès est majoritairement dû, soit à des
antécédents médicaux mal examinés et qui contre indiquaient la prise du
médicament, soit un non respect de la posologie.
Enfin, si c'était
vraiment dangereux, il y a bien longtemps que tous ces ânes battés qui
éructent contre le Pr. Raoult auraient sauté comme des poux sur des
statistiques objectives démontrant la dangerosité de la Chloroquine ; et
d'ailleurs, pourquoi "Le Monde" ne l'a-t-il pas fait ?...
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