Quelques éléments tirés de ce site :
"(...) Le régime totalitaire tente de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire.(...)"
- un parti disposant du monopole de l’activité politique ;
- une idéologie officielle d’État ;
- le monopole du contrôle « des moyens de force et celui des moyens de communication » ;
- un contrôle de l’économie par l’État;
- et la mise en place d’une terreur policière et idéologique".
(Commentaires : nos principaux terroristes de l'idéologie dominante sont : BHL, Roudinesco, Jacques-Alain Miller, la plupart des radios, (dont France-Inter), souvent des quotidiens comme Le Monde (n'oublions pas que l'une des caractéristiques du totalitarisme sophistiqué consiste à avancer masqué,...), Libération, les revues de psychologie qui ne laissent aucune place pour la critique de la psychanalyse, et qui ne cessent d'en faire la promotion ; ceux qui ont porté plainte contre Sophie Robert ; ceux qui s'opposent à l'utilisation prioritaire de méthodes basées sur des résultats authentiquement scientifiques dans le cas du traitement du trouble autistique ; etc., etc. Plus largement, ceux qui s'opposent systématiquement à toute forme de rationalisme critique dirigé contre l'idéologie dominante, leur pensée unique, en utilisant, en autres choses, les "armes" du terrorisme intellectuel, de la disqualification morale sur la base de fausses accusations (...), la propagation de ces fausses accusations, etc., etc...).
"(...)L'individu ordinaire est dépossédé de tout moyen d'agir pour modifier le cours des choses.(...)".
"(...)L'industrie des médias et du divertissement est elle aussi de plus en plus concentrée et distille de mille et une façons le même discours.(...)".
"(...)L'industrie de la technologie de l'information et de la communication, elle aussi entre les mains de grands groupes internationaux se charge de dépouiller l'individu de son identité.(...)"
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Notre commentaire :
Le combat contre la psychanalyse, est un combat annexe, mais participant finalement directement à celui contre le totalitarisme sophistiqué "franco-français".
La psychanalyse utilise en effet la plupart des moyens de ce totalitarisme : contrôle des médias, stratégie d'idéologie dominante, censure, diffamation, humiliations, dénégations, diabolisations, etc., etc., contre les critiques, volonté d'insertion dans l'intimité de la pensée de tous, dépossession de l'identité de l'individu, privation de son autonomie, non respect de sa vie privée, etc., atomisation de la société,....
Selon nous, il est on ne peut plus clair que la France, eu égard à certains événements récents, ait affirmé un net penchant pour un système totalitaire sophistiqué, mais c'est le cas depuis assez longtemps.
Il faut réagir, mais comment ? Par la violence ? Certes non!
Il faut réagir toujours de la même manière, la plus efficace, le rationalisme critique (contre la tentation totalitaire, les moyens utilisés par le totalitarisme sophistiqué "franco-français"), avant qu'il ne soit trop tard. Sinon, répétons encore le mot d'Einstein : "nous ne valons pas mieux que l'esclavage qui nous est promis".
Non seulement, la psychanalyse s'est infiltrée quasiment partout (...), mais en plus de cela, son efficacité est reconnue comme nulle par divers spécialistes de la question...
On ne compte plus les commentateurs pour affirmer qu'en France, (notamment) le "pays le plus freudien du monde", la psychanalyse a "totalement" (...) gagné le grand public : ..
"La faillite proprement thérapeutique de la psychanalyse est de plus en plus nettement reconnue (...)".
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".