Je crois que depuis un moment, il y a tout un régiment de grognasses mal baisées et autres trous du cul qui tentent, comme l'on dit, de me "renvoyer à moi-même", avec cet article, ou au moins par son titre : "de l'observation de soi-même". C'est de la suggestion...
Mais c'est à propos d'autres choses, j'imagine. Lesquelles ? Je ne pratique aucune auto observation de moi-même, et mon roman, par exemple ("HOAG. Un témoignage du futur") ne contient aucune "observation de moi-même", et ce "non" ne peut être un "oui déguisé en non" (...).
Et, concernant l'auteur de ce blog, est-ce que le fait de tenter de le "renvoyer à lui-même" par diverses suggestions, a eu de l'effet après tout ce temps ? Sont-ils assez lucides pour enfin se rendre compte que non, strictement aucun effet ? Accepteraient-ils enfin de reconnaître que cette "stratégie" consistant à essayer de me "renvoyer à moi-même" ne marche pas, ni ne marchera jamais ? Comprendraient-ils pourquoi ? Non. Ils en seraient totalement incapables. Pourquoi ? Le libre arbitre, l'indépendance d'esprit, l'intelligence, ce sont des choses qui les dépassent et qu'ils ne peuvent comprendre. Moi, l'auteur de ce blog, je suis intelligent, j'ai le droit d'être intelligent, et je me demande incessamment par quoi, eux, ils peuvent bien la remplacer, l'intelligence... Donc, je les emmerde. Mais je les emmerde, disons, calmement, sereinement, et en m'en amusant. C'est comme cela que l'auteur de ce blog a choisi depuis longtemps de les emmerder, et de continuer de le faire, tant qu'il le souhaitera, juste pour s'amuser.
J'invite donc tout ce régiment de grognasses mal baisées et autres trous du cul à s'observer eux-mêmes à travers la nature de ce qu'ils font. Quand vont-ils me lâcher les pompes ? Je ne sais pas. Sans doute jamais et c'est tout dire, croyez-moi, de leur mentalité et de leur "pathos", pour reprendre leur terminologie favorite : des obsessionnels, des esprits vampiriques et narcissiques, des nullités absolues qui n'ont de cesse de croire que tout le monde leur ressemble, ou pire, souhaite leur ressembler ou adhérer à leur délire : la psychanalyse. Quant à moi, l'auteur de ce blog, je peux toujours en rire, j'en ai toujours le loisir, à l'envi.
Psychanalystes de tout poil, pour moi, c'est toujours pareil : je vous chie sur le torse. Mais pourquoi donc sur le torse ? Parce que dans vos gueules de nullités absolues, de la merde que vous vomissez sur tout ce qui bouge ou presque, il y en a déjà assez comme ça.
...Donc, "sur le torse"... Vous savez ce que cela veut dire, je crois. Donc, continuez, moi, je m'amuse bien : je vous emmerde. Vous n'êtes que des malades, d'incurables obsessionnels de "l'inconscient", des charlatans. Et vous voyez : cela fait maintenant des années que je fais tout pour que cela se sache, pour que personne ne l'ignore plus : vous êtes des malades (qui prennent leurs propres cas pour généralité), et, je persiste et je signe : des charlatans.
Enfin bref,...
Les psychanalystes sont des charlatans, et j'ajoute, d'incroyables "pompes à merde", comme aurait dit quelqu'un à propos de quelqu'un d'autre que je ne puis nommer ici. Mais ce n'est jamais que leur propre merde qu'ils pompent sans arrêt dans le but de salir tout le monde, tels des débiles mentaux, ou je ne sais quels "Shadoks"... ("Et les Shadoks pompaient"....).
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« De l’observation de soi-même ».
« (…) ne pas se consacrer à surveiller et comme à rédiger méticuleusement l’histoire intérieure de ses pensées et de ses sentiments dans leur cours involontaire ; c’est là précisément la route qui, dans le désordre d’esprit des soi-disant inspirations d’en-haut et des forces qui agissent sur nous, hors de notre consentement et venant dont ne sait d’où, conduit à la folie des illuminations et aux visions d’épouvante. Car, sans le savoir, nous découvrons ce que nous avons nous-mêmes introduit en nous : ainsi (…) un Pascal avec ses représentations d’épouvante et d’angoisse ; c’est là qu’en est venu un esprit, du reste remarquable, Albert Haller ; longtemps, mais avec des interruptions, il a tenu un journal de ses états d’âme, qui l’a conduit finalement à interroger un théologien connu, le Dr Less, son ancien collègue à l’université, pour savoir s’il ne pourrait pas trouver dans le vaste trésor de sa science théologique une consolation pour son âme angoissée.
L’observation en moi-même des différents actes du pouvoir de représentation lorsque je fais appel à eux, mérite bien qu’on y réfléchisse ; elle est nécessaire et utile pour la Logique et la Métaphysique. Mais chercher à se surveiller, comme si ces actes venaient de l’esprit d’eux-mêmes, sans être appelés (ce qui se produit dans le jeu de l’imagination lorsqu’elle invente spontanément), c’est pervertir l’ordre naturel de la faculté de connaître ; au lieu de précéder comme ils le devraient, les principes de la pensée viennent à la traîne ; c’est déjà une maladie de l’esprit (jeu des fantasmes) ou du moins y conduit et met sur le chemin de la maison des fous. Quand on multiplie les récits d’expériences intérieures (de grâce, de tentations), on ne peut jamais, au terme de ce voyage d’exploration en soi-même arriver ailleurs qu’à Anicyre. Car pour les expériences internes, il n’en est pas comme pour les expériences externes où les objets dans l’espace sont donnés les uns à côté des autres et maintenus dans la permanence. Le sens interne ne voit les rapports de ses déterminations que dans le temps qui n’accorde pas de caractère durable à l’observation que requiert l’expérience. »
(In : Emmanuel KANT. « Anthropologie. Du point de vue pragmatique ». Editions Jacques Vrin, Paris, 1994, pages : 21 – 22).
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Psychanalystes, dehors !