mardi 21 novembre 2017

Stephen HAWKING, illustre récalcitrant très éclairé.







Commentaires : 

Nos industries dépendent, pour la majorité, de nos réserves en pétrole. 

Que fera-t-on, lorsqu'il y en aura plus ? On vivra le cauchemar décrit dans "Mad Max" ? Au train où nous consommons du pétrole chaque année, est-ce que nous en aurons encore suffisamment pour faire fonctionner les industries permettant justement de fabriquer la technologie nous permettant de quitter la Terre ?... 

J'ai l'impression que le pétrole, le "sang du diable", est en train de condamner l'humanité à sa propre fin sur Terre, si les hommes ne font rien. Il y a urgence de cesser de faire la guerre, et de repenser la mondialisation. 

Il faut une sorte de gouvernement mondial qui puisse coordonner les efforts scientifiques autour de ce projet : trouver un autre lieu d'asile dans l'univers, et pouvoir y accéder. Les principaux efforts de recherche et de technologie de l'humanité devraient, au plus vite, tendre vers ce but, avec ceux relatifs à la santé. Voilà l'enjeu que tout le monde sur Terre, devrait comprendre. 

L'enjeu n'est plus la religion : y a-t-il un Dieu ou non ?... L'enjeu est notre survie, et pour cela, aucune idée métaphysique religieuse ne pourra nous venir en aide. 


2600 ? C'est très proche, étant donné les progrès faramineux qui restent à réaliser, l'Humanité n'a plus beaucoup de temps...




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

Archives du blog