dimanche 22 avril 2018

"L'homme au magnétophone". Ou la psychanalyse mise en face d'un désastre : elle-même.








No comment.






Sauf que :

Avec la psychanalyse, de toute façon, le désastre est annoncé d'avance, toujours, par la nature même de la théorie, et par la mentalité de ceux qui l'utilisent...formatés par la théorie.

La cruauté et l'irresponsabilité morale, la malhonnêteté intellectuelle et la perversion, voilà quelques éléments essentiels du modus vivendi de tout psychanalyste envers son patient.

Le seul "salut" en psychanalyse, comme la seule issue, c'est toujours la psychanalyse ; certainement pas l'individu et sa Vérité sur quoique ce soit.

Ne redoutons pas d'affirmer encore que la psychanalyse, en complète "pensée" totalitaire qu'elle est, demeure très probablement la doctrine qui soit la seule capable de totalement instrumentaliser l'individu à ses seules fins et à celles de l'analyste. Puisque "l'inconscient" qu'elle défend si âprement pour son inutile survie n'est qu'un délire métaphysique sans aucun fondement, elle n'a d'autre ressource que de demander (...) ad nauseam à l'individu de jouer le jeu de l'inconscient, "d'être inconscient" (...), et de le plier coûte que coûte aux injonctions infinies de ce délire, quitte, si c'est nécessaire, à détruire l'individu.

Jamais l'Humanité n'aura enfanté pareille supercherie et tromperie sur le contenu que la psychanalyse. 

Vous aurez beau faire tomber son premier masque, ce ne sera encore que pour voir en surgir un autre qui fut en attente derrière le premier, ou posé délibérément par les psychanalystes, et ainsi de suite. 

Ces masques ne sont qu'un jeu de mots, un jeu sur les mots, une grotesque rhétorique de mauvaise foi et de sectarisme, d'autant plus invincible pour les ignorants qu'elle pose en principe l'irréfutabilité de la doctrine ; mais cette rhétorique est superfétatoire et creuse, à l'image même de la psychanalyse. 

Ainsi, n'étant par essence qu'un charlatanisme complet animé par des charlatans qui ne s'ignorent pas eux-mêmes, sa rhétorique et ses interprétations contre la critique, ne sont ensuite que des grimaces sans arrêt renouvelées contre la Raison, grimaces de cynisme, d'ironie, et de mépris.

Enfin, cette rhétorique outillée par cet insupportable manie obsessionnelle autant qu'incurable (...) du rebond interprétatif et vampirique n'a d'autre but que de toujours défendre l'accès de la vérité à la critique sur ce qu'est la psychanalyse et son bouffon de service qu'est toujours l'analyste : 

un néant.

Mais les psychanalystes ne sont que des bouffons perversdonc des ratés et des nuisibles, car ils sont incapables de dire la vérité.


Or, seule la Vérité fonde l'individu.
























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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

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