mercredi 5 janvier 2022

Des propos indignes et irresponsables d'un Président de la République. (Intolérable).

 


Un Président de la République française, se doit d'être le Président de tous les français, sans exception.


Mais le Président de la République française fait aujourd'hui, lui-même, exception : 

il s'est montré indigne et irresponsable vis-a-à-vis de la fonction qu'il occupe, puisqu'il n'a pas parlé aux français comme doit le faire un Président de la République, mais comme un dictateur







*


Mr. Jean Castex, Premier Ministre, ne cesse d'éructer violemment contre les non vaccinés. 

Mais voici le témoignage de l'une d'entre eux : 




Mais...J'y songe .... : Mr. Castex, grand manitou-protecteur-contre-les-non-vaccinés-irresponsables (...), a été doublement vacciné, non ? 

Et pourtant, il a contracté le virus

Il a été malade. 

Donc, le fait d'avoir été vacciné (doublement) ne l'a pas protégé du virus.

Mais qui a pu le lui transmettre ? Qui donc ? 

En effet, j'imagine que Mr. Castex trouverait particulièrement scandaleux d'avoir dans son entourage des gens non vaccinés, ou de serrer la main, sans masque, et si jovial, à toute une pléiade de non vaccinés. Ce serait quand même incroyable et ironique : voilà donc notre grand adversaire des non vaccinés qui se serait fait infecter par des non vaccinés de son entourage ? Dans son cabinet ministériel ? Enfin, voyons. C'est peu probable. Ou peut-être ne s'était-il pas suffisamment lavé les mains ? Ou alors est-ce le masque qu'il a enlevé si souvent (...), mais au contact seulement de personnes vaccinées ? Vous voyez ce que je veux dire ?

Bon.


Avec son idéologie "tout vaccin", incapable d'envisager d'autres solutions, ou qui ne souhaite pas du tout envisager d'autres solutions pourtant efficaces, Mr. Castex me fait penser à ce mauvais chasseur, lequel venant de se tirer lui-même dans le pied, lève la tête fou de rage pour chercher des coupables ...








Mr. le Premier Ministre, j'aurais pourtant l'audace de vous opposer les argument suivants, fondés sur des faits que vous-mêmes, vous ne pouvez plus contester, pas plus que le Ministre de la Santé Publique, Mr. Véran, ou Monsieur le Président de la République :

1. L'on sait que le fait d'être vacciné, même en troisième dose, ne protège pas efficacement de la contamination, dans les deux sens : soit d'être contaminé, soit de transmettre le virus. (Et l'on constate même que des personnes vaccinées en troisième dose, peuvent aussi mourir du COVID).

2. L'on sait que l'écrasante majorité des français sont vaccinés au moins en double dose.

3. Vous quantifiez, vous-mêmes et vos équipes, le nombre de non vaccinés à environ 6 millions de personnes. Ils sont donc une minorité évidente.

Voilà les faits incontestables.

Comment savez-vous que parmi les non-vaccinés, tous ont été testés, et infectés par le virus, donc sont potentiellement tous, (je souligne) susceptibles de contracter puis de transmettre le virus ? Comment le savez-vous ? Vous avez fait tester tous les non-vaccinés ? Réponse : NON. C'est incontestable.

Puisque les personnes vaccinées représentent l'écrasante majorité, et puisqu'elles peuvent contracter et transmettre le virus, alors c'est bien cette majorité qui représente la principale menace de propager le virus et de propager l'épidémie : une personne doublement vaccinée et saine peut toujours contracter le virus de la part d'une autre personne vaccinée, et ainsi de suite. (C'est d'ailleurs, je pense ce qui a dû vous arriver, à vous, Monsieur le Premier Ministre, puisque, comme je l'ai dit, il semble tout à fait impensable que toutes les personnes de votre entourage ne soient pas vaccinées).

Maintenant, voilà une simple hypothèse (je le souligne : une simple hypothèse) : et si les vaccins "ARNm" anti covid possédaient des propriétés "révertantes", comme le vaccin contre la poliomyélite, ainsi que l'a relaté le Professeur Didier Raoult ? 

En effet, il nous dit que, je le cite : "ces deux dernières années, nous observons plus de cas de poliomyélite dûs aux vaccins que des poliomlyélites naturelles"

Donc, si cette hypothèse était corroborée dans le cas des vaccins anti covid "ARNm", alors, le fait de vacciner les personnes ferait d'elles, encore plus, les principaux "vecteurs" de propagation de l'épidémie, puisque, même une personne vaccinée et saine pourrait transmettre le virus à n'importe qui... Y avez-vous réfléchi ? Vous croyez que l'on sait "tout" sur la fameuse protéine "spike" qui a été tarabiscotée à la hâte pour fabriquer ces prétendus "vaccins" ? Et le vaccin contre le pneumocoque dont nous parle le Pr. Didier Raoult, savez-vous pendant combien de temps il est efficace ? Je vous le dit : 10 ANS !..

Mais écoutons plutôt le Pr. Didier Raoult qui s'est exprimé sur cette hypothèse, le 7 janvier 2021. Il parle "d'anticorps facilitants" (qui facilitent l'infection après injection d'un vaccin) :




Donc, et maintenant qu'un expert en la matière s'est exprimé sur ce que nous ne pouvions, à notre niveau, que présenter que comme une hypothèse très risquée et audacieuse, nous voici à présent bien plus justifié à vous présenter les commentaires qui suivent (nous nous excusons pour leur côté quelque peu redondant, mais nous exposons ici un copié-collé de ce que nous avons écrit sur Facebook) :

...donc, mon hypothèse selon laquelle, est-ce que les vaccinés (et non infectés donc pouvant bénéficier du "pass vaccinal") peuvent être responsables de la propagation du virus, est corroborée (depuis un moment) ! 


En effet, le Pr. Didier Raoult, évoque les "anticorps facilitants" créés à la suite de la vaccination. C'est-à-dire des anticorps qui facilitent l'infection. (Y compris chez une personne saine ou qui n'est pas, avant inoculation, "à risques").


Quant au rapport bénéfices/risques de la vaccination, Raoult dresse un bilan réaliste, scientifique, mais .. .. accablant : au plan mondial, on ne voit aucun effet de la vaccination à endiguer l'épidémie. Aucun. Les données sont d'ailleurs, depuis longtemps très claires à ce sujet. Voir ici : 





Mais cette histoire d'anticorps facilitants est, très, très intéressante : va-t-elle être prise en compte par le gouvernement ? C'est-à-dire, est-ce que le gouvernement va enfin se rendre compte que non seulement la vaccination n'a pas été un outil efficace pour endiguer l'épidémie (sauf une protection relativement efficace pour une minorité de personnes contre les formes graves, les personnes âgées ou "à risques"), et qu'elle a très probablement joué un effet des plus contradictoires par rapport à celui entendu : contribuer à propager l'épidémie !?


En résumé ?


Ne soyons pas "anti-vax" en général (c'est stupide, puisque l'on connaît des vaccins très efficaces sur la durée dans l'histoire de la médecine).


Ne soyons pas non plus un "anti-vax" radical dans le cas de la lutte contre le "COVID" : certains vaccins ont quand même une efficacité relative (...) contre les formes graves de la maladie, et l'on peut les conseiller, voire à la limite, les rendre obligatoires pour une minorité de personnes : les personnes âgées et atteintes de comorbidités et les personnes souffrant d'obésité. Cependant... l'efficacité de ces vaccins "ARNm" à protéger des formes graves de la maladie est aussi remise en question par d'autres experts, comme le Pr. Claverie : 





(...)


Mais aucun de ces nouveaux vaccins "ARNm" contre le Sars-Cov2 et ses variants ne protège ni du fait de contracter le virus, ni de le transmettre. Ces vaccins n'offrent aucune protection à ce niveau : ça peut toujours "entrer" chez n'importe qui, et aussi "sortir". Mais... ça protège quand même relativement des formes graves. Ces vaccins ne sont donc pas un prétendu "bouclier" contre le "COVID". Et Didier Raoult nous annonce même le cas d'une personne qui a reçue sa QUATRIEME dose et qui a été infectée !! (Autre chose : le Pr. Raoult ne le rappelle pas dans cette vidéo, mais l'on sait aussi que la vaccination n'a pas non plus totalement empêché de contracter des formes graves du COVID, y compris avec le "booster" de la troisième dose).


... Par conséquent, vacciner les autres, (surtout les enfants), ceux qui ne présentent quasiment aucun risque de tomber malades, relève d'une doxa, d'une "religion" (tout vaccin) intolérante, inquisitoriale et qui n'est pas scientifiquement justifiée.


La vaccination de masse, dans le cas spécifique du Sars-Cov2 n'a pas du tout permis d'endiguer l'épidémie. C'est désormais scientifiquement incontestable. La stratégie "tout vaccin" est un échec.


Mais voici le plus grave, je le rappelle encore : le Pr. Raoult a très clairement dit que l'injection avec ces nouveaux vaccins "ARNm" entraînait la création d'anticorps "facilitants" pendant les premières semaines après l'inoculation. C'est-à-dire des anticorps qui sont produits chez la personne vaccinée à cause de la vaccination et qui facilitent l'infection, et donc... qui peuvent avoir des répercussions sur la contagion !... et bien sûr sur la propagation de l'épidémie à des personnes à risques encore non vaccinées... 


Ainsi peut-on imaginer le scénario suivant


dans une famille, on décide de vacciner une personne jeune, saine, qui ne présente aucun risque puis qui se retrouve en contact avec le "grand-père" qui lui-même n'est pas infecté et en pleine forme dans ses 80 ans. Et bien, le grand-père risque d'être infecté et même de mourir à cause des anticorps facilitants qu'aura créé le vaccin dans l'organisme de son petit-fils. A la suite de ce scénario l’on peut donc imaginer qu’il faudrait aussi penser à isoler les personnes vaccinées pendant la période de quelques semaines qui suit immédiatement leur vaccination, période au cours de laquelle ils fabriquent des anticorps facilitants.


Ce qui veut dire que si on vaccine la population qui n'est pas à risque, et bien on lui inocule des vaccins qui vont produire ces anticorps facilitants, et l'on va ainsi faire de ces "nouveaux vaccinés" autant de nouveaux vecteurs de transmission du virus !..


Un lien vers un article où sont relatés d'autres propos du Pr. Didier Raoult (lien).




Dans l'article (copié-collé) : 
 
"(...) Des anticorps facilitent l'infection
 
"On a l'impression que ça décroche à partir de 54 ans. C'est-à-dire que les risques de faire quelque chose d'un peu plus grave à partir de 54 ans sont significatifs. On sait que c'est à la fois l'âge et l'obésité qui font le risque de cette maladie. La deuxième chose, sur le plan épidémique, est-ce qu'on a une évidence que ça (la vaccination générale) sert à quelque chose ? Je suis désolé de ne pas être d'accord avec les autorités, la réponse est non. Ça ne contrôle pas l'épidémie. Pas du tout. Ce sont les pays dans lesquels on a fait le plus de vaccins qui ont le plus de cas". (Didier Raoult).
 
Mieux, Didier Raoult appuie sur le phénomène des contaminations quinze jours à trois semaines après l'injection vaccinale, à cause "des anticorps facilitants". Des anticorps qui facilitent l'infection. "Leur effet se voit dans les trois semaines qui suivent l'injection". "
 

 
Commentaires : 
 
L'existence de tels "anticorps facilitants" pourrait alors plaider en faveur de l'argument selon lequel c'est la vaccination elle-même qui est source de problèmes : la vaccination contribuerait à la propagation de l'épidémie. Il est probable que ces anticorps favorisent l'apparition de variants "recombinants", mais de moins en moins virulents, quoique plus contagieux (?...?..).
 
Mais, comme tout le monde l'aura compris, si cette influence des "anticorps facilitants" joue le rôle aussi crucial dans l'expansion de l'épidémie, ainsi que je le suspecte, alors elle remettrait complètement en question la stratégie "tout vaccin" des gouvernements. Elle réfuterait de manière accablante le seul usage de ces vaccins et montrerait qu'il faut contrôler les personnes qui viennent de se faire vacciner, et sans doute leur imposer un isolement de trois semaines après une première vaccination ou un rappel de vaccination.
 
En somme, et surtout en tenant compte des deux années passées de pandémie où les personnes n'ayant encore jamais été vaccinées ont pu développer une immunité naturelle, et si les anticorps facilitants créés par les personnes vaccinées jouent bien le rôle de propagateurs de l'épidémie, alors, ce sont les personnes non vaccinées qu'il faut protéger, et les personnes qui ne sont pas "à risques" mais qui souhaitent quand même se faire vacciner, au risque de fabriquer des anticorps facilitants devraient être considérés comme des "irresponsables" qui ont cédé à la peur injustifiée du COVID....
 
Pour conclure : notre gouvernement adopte une attitude foncièrement irresponsable en voulant obliger tout le monde sans exception à se faire vacciner, s'il ne tient aucun compte de l'existence de ces "anticorps facilitants". C'est le gouvernement qui est irresponsable, et certainement pas les non vaccinés et non infectés depuis maintenant deux ans de pandémie.

 


*


Mais je souhaite résumer encore ici :

Les "vaccinés" représentent désormais l'écrasante majorité de la population française et ils peuvent autant contracter que transmettre le virus : ces deux potentialités sont incluses. Ce sont donc eux, logiquement, qui représentent la principale menace, et certainement pas les non vaccinés, Monsieur le Premier Ministre.

Question : ne serait-il pas plus pertinent, alors, d'établir un "pass d'immunité naturelle", plutôt qu'un "pass vaccinal" ? Ou, en d'autres termes : qui doit être protégé de qui

En fait, je crois que les français devraient surtout être protégés de vous, de Mr. Macron, de Mr. Véran et de quelques autres "grands décideurs", tels Pfizer, déjà condamné à des milliards de dollars d'amende pour des faits (incontestables) de corruption, de manipulation des données, et de charlatanisme. (Le Pr. Didier Raoult est un "charlatan", Mr. Le Premier Ministre ? Sa tri thérapie est inefficace ? Vraiment ?..).

Je vous le confirme : c'est la vérité que vous "emmerdez" toute la France (et oui : si j'ose un tel langage, c'est parce que j'imagine que ce que vous souhaitez par dessus tout, c'est une identification au "CHEF" ! N'est-ce pas, Mr. Le Premier Ministre ? Mais pour être cohérent avec vous-mêmes, il vous faudrait plutôt défendre cette injonction : "ne dites pas ce que je dis, et ne faites pas ce que je fais"). 

Vous nous rendez malades, Mr. Le Premier Ministre.


*


Tout récemment, Mr. le Ministre de la Santé Publique française, Olivier Véran, s'est lui aussi livré à des propos indignes vis-à-vis de Madame la députée, Martine Wonner, à propos de la chloroquine : "la chloroquine cela ne se fume pas", a dit le Ministre..

Au sujet de la chloroquine, nous invitons Mr. le Ministre à visionner les diverses conférences publiées sur la chaîne Youtube de l'IHU de Marseille, où des scientifiques dignes de ce nom et sans aucun conflit d'intérêt, font état d'une toute autre appréciation sur l'usage et l'utilité de ce médicament.

Nous avons également remarqué, sous le masque, la mine constamment ironique et provocatrice de Mr. le Ministre, lors de l'intervention de Martine Wonner, attitude qui lui était ouvertement adressée et qui fut la marque d'un manque de maturité et de respect évidents vis-à-vis de la parole et de la personne de Martine Wonner. 

C'est intolérable, inadmissible que de tels dérapages et autres enfantillages aient lieu à l'Assemblée Nationale. 

De la part des gouvernants, ils sont la preuve de leur mépris hégélien pour l'opinion publique, c'est-à-dire de leurs motivations foncièrement anti démocratiques. Nous les jugeons irresponsables vis-à-vis de la République et de l'Etat de droit, ainsi que de l'image de la France à l'étranger.











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Voici la réponse du peuple aux propos scandaleux et indignes du Président de la République Française et à ceux du Ministre de la Santé Publique :







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"The harder they come, the harder they fall !"


"Plus dure sera la chute !"


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Les hommes et les femmes libres de ce pays n'oublieront pas. Ils vaincront votre dictature, Mr. Macron. Ils ne souhaitent plus qu'une chose : c'est que vous disparaissiez pour toujours, de la vie politique. Vous avez fait bien Trop de mal à la France, ce pays que vous n'aimez pas, que vous ne comprenez pas.






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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

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