Des nouvelles fraîches du front chers récalcitrants éclairés ! Nos amis suédois réagissent et s'organisent. Le "National Board of Health and Welfare" a tout récemment décidé que les thérapies psychodynamiques devaient disparaître des cliniques et hôpitaux du secteur public...
Une cible privilégiée à ce cataclysme : le traitement de l'autisme où, d'un jour à l'autre, le traitement par la psychanalyse disparaîtra totalement.
Tout cela permet l'émergence d'une nouvelle génération de thérapies efficaces et le rejet de la psychanalyse aux oubliettes de l'histoire de la santé publique de ce grand pays qu'est la Suède.
Espérons une réaction en chaîne qui ferait exploser tout le reste de l'édifice freudien, ou ce qu'il en reste, de part le monde, et surtout chez nous, bien sûr.
Mais hélas, comme en atteste l'énergie inépuisable de nos freudolâtres franco-franchouillards dans l'art de la désinformation, de la mauvaise foi, de la propagande et aussi du terrorisme intellectuel, cette idéologie dominante en France qu'est le freudisme, (grand totem de tous ces intellos médiatisés que sont les BHL, Roudinesco, Gori, JAM, Finkelkraut et consort), a encore de beaux jours devant elle si nous ne faisons rien. Mais que faire, justement, me direz-vous ? Et bien c'est simple. Il suffit d'user de son indépendance d'esprit, de son jugement critique, et de faire un effort. Un effort de lecture et d'auto formation sur les critiques externes de Freud et de la psychanalyse, au lieu de se contenter de faire la politique de l'autruche ou de s'endormir sur les dogmes freudiens, tels la théorie de l'inconscient refoulé. Assurément il y a des livres qu'ont peut lire...A commencer par "Mensonges freudiens. Histoire d'une désinformation séculaire" de Jacques Bénesteau, dont l'auteur et le contenu du livre ont été si odieusement diffamés et diabolisés parce qu'ils disaient la vérité avec cette précision, cette richesse et cette ironie qui ne peuvent atteindre que les charlatans et ceux qui se croient pour toujours protégés par leurs capacités à exécuter des triples saltos rhétoriques à chaque assaut de la critique.
L'écran de fumée déployé par les freudiens autour du cristal de la vérité finit de jour en jour par se dissiper. Il pique de moins en moins les yeux...Car la poudre qu'il contient n'est que de la poudre de perlinpinpin, et bientôt c'est eux qui pourront prendre la poudre d'escampette et notre société fera enfin place nette de tous ces imposteurs grands pourvoyeurs d'obscurantisme.
Freud est partout en France, partout. A l'Ecole, dans les programmes de philosophie de terminale ; dans les discours de certains collègues lors des conseils de classe, lesquels ne se rendent plus compte de leurs réflexes intellectuels typiquement freudiens ; dans les propos inquiets des parents ; dans la formation des professeurs ; dans la santé mentale ; le monde de l'entreprise ; le monde du spectacle où les réalisateurs et autres metteurs en scène s'ingénient à créer des histoires et des personnages qui cadrent à ce que Freud à dit. Faire comme-Freud-a-dit voilà le leitmotiv. Et pour eux cela confirme la psychanalyse...Il est aussi présent dans le sport. Bachelard voulait superviser les chercheurs afin de mieux assurer la formation de l'esprit scientifique, mais heureusement ce projet n'a jamais donné lieu, à notre connaissance, à de tangibles avancées dans le domaine scientifique lequel ne doit rien à Freud. Et puis Freud est dans la rue, sur le comptoir du bistrot, dans une dispute de couple, dans les propos de la mouche du coche qui vous reproche sur un ton miéleux d'être trop sévère avec vos enfants. Le freudisme est une véritable gangue qui colle et se colle à tout, mais qui ne retient que ce qui s'y colle. Et quand cela ne colle pas, soit il développe divers stratagèmes pour engluer davantage les faits tout en protégeant la théorie, soit c'est le sempiternel recours à l'attaque personnelle (antisémite, névrosé, fasciste, mage noir des TCC, etc.).
Toute la psychanalyse repose sur une rhétorique du mensonge et de la déformation auto justifiée des faits. Mais le freudien ne "ment pas", il "redonne du sens" (!). Le freudien ne déforme pas les faits, il tient compte de sa théorie selon laquelle l'inconscient n'a pas de logique (!) ou que c'est son ambivalence qui justement autorise à jouer comme il l'entend et selon les circonstances avec la nature des faits. Le freudien ne désinforme pas, il prétend empêcher que des "idées dangereuses" n'atteignent le public et le désinforme. Car pour le freudien être désinformé c'est ne pas être formé, ou formaté à son idéologie, c'est sortir du cadre, s'autoriser un bol d'air frais intellectuel à dose massive d'indépendance d'esprit.
Le freudien veut donc s'imposer partout où il va sans résistance. Si vous dites résister consciemment, pour lui, vous ne vous doutez pas que c'est inconsciemment que vous résistez. Donc que ce que vous dites n'est que le contenu manifeste d'un autre contenu qui lui est inconscient (latent), et qui veut certainement dire autre chose pour lui, de telle sorte que cela cadre toujours avec la théorie qu'il a en tête. Bref, lorsque vous parlez de vos souffrances conscientes, pour le freudien, c'est comme si vous rêviez ! Si vous ne dites rien, vous résistez encore. Votre silence est l'aveu d'une résistance inconsciente. Si vous dites enfin être d'accord, et bien nous sommes d'accord ! Freud a raison pardi ! Voilà comment le freudien peut faire ce qu'il veut avec les faits du réel. Parce que pour lui le réel n'est pas du domaine de la conscience, mais de l'inconscient psychique qui pour l'instant n'est rien d'autre que le produit du premier témoin princeps à l'avoir vu : Sigmund Freud. Le "Dichter" (Borch-Jacobsen) de base, ce poète qui a tout découvert dans le seul cadre de son auto-analyse et qui voulait cloner la Terre entière à l'image de son esprit. En France, on peut dire qu'il a presque réussit. Mais pour combien de temps encore ?...
Espoir...
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".