L'Etat policier, un cauchemar imminent ?...
(Avec les psychanalystes "s'autorisant d'eux-mêmes" et si prompts à fouiller dans les affaires intimes d'autrui, à violer tout code de déontologie médicale pour fliquer le "psychisme" du tout un chacun et particulièrement ceux qui, à bon droit et en toute lucidité s'y refusent ; sans doute que cela a déjà commencé chez nous, en France, "la chasse gardée de la psychanalyse" (E. Roudinesco).
La France, où tous les critiques de la psychanalyse, sont traités d'irrationnels, d'ignorants, de "fous", de "névrosés", de "quérulents processifs", d'enfants, d'antisémites masqués, etc., etc., etc... Ad nauseam.
Ils nous espionnent, nous vampirisent avec leurs interprétations délirantes et obsessionnelles (...), ils nous infantilisent pour nous contrôler, ou pour nous humilier quand ils s'aperçoivent que leur vampirisme interprétatif est vain.
Tout cela dans le but de venger leurs propres "blessures narcissiques" (...) à s'être d'abord découverts anormaux et inadaptés à la vie sociale, puis à constater que leur embrigadement sectaire par la psychanalyse n'a absolument rien donné, ni pour eux, ni pour ceux qui sont leurs victimes. Ils ont tellement de choses à venger contre nous.
L'on sait que sous la dictature en Argentine, certains d'entre eux furent aux premières loges pour torturer des opposants au régime autoritaire de Pinochet. L'on sait que S. Freud avait dédicacé un livre à Bénito Mussolini. L'on sait aussi que la doctrine psychanalytique comporte dans ses fondements des penchants totalitaires, et que c'est même une doctrine totalitaire qui nie le libre arbitre, le libre choix des familles dans le destin de leurs enfants, etc.
Avec ces psychanalystes, nous voilà donc "prêts" pour l'Etat policier en France. Celui qui a peur de l'individu, de sa liberté d'expression, de ses critiques, et de son amour pour la liberté et pour la vie.)
Plutôt la vie que la psychanalyse.
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Psychanalystes, dehors !