dimanche 4 juin 2017

Sur le réchauffement climatique, rappels.












"Là où il n'y a plus de débat, il n'y a plus de science". (Vincent Courtillot).

Voilà des propos que n'aurait certainement pas renié Karl Popper. Mais, il y a beaucoup plus grave : d'après Vincent Courtillot, le GIEC a tout simplement (...) bloqué l'accès à des données pour qu'un contrôle méthodologique et indépendant des mesures effectuées ne puisse être réalisé. On est donc, pratiquement, proche du domaine de la "science privée", voire de la pseudo-science. Comment une activité scientifique digne de ce nom, peut-elle se passer du contrôle intersubjectif, et comment peut-elle le justifier ? Une question moins sérieuse : est-ce que des psychanalystes ont pris le contrôle du GIEC, en s'inspirant des "méthodes" de Sigmund Freud ? ...


... Vincent Courtillot, deuxième partie.


Dans cette deuxième partie, le GIEC aurait commis une deuxième erreur plutôt déconcertante : ne tenir aucun compte d'une hypothèse alternative ou concurrente ! Cela aussi, on en trouve des exemples flagrants dans d'autres disciplines (...).



.... Vincent Courtillot, troisième partie.


L'on découvre que dans l'histoire connue de la planète, les phénomènes de réchauffement climatique existent, mais de manière irrégulière, et surtout qu'il y a déjà eu des périodes de réchauffement bien plus marquées qu'aujourd'hui. Autre chose : "c'est la température qui contrôle le gaz carbonique, et pas le contraire".









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Psychanalystes, dehors !

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