Amilcar Lobo Moreira Da Silva, psychanalyste tortionnaire lors de la dictature brésilienne, et son épouse Maria Helena, assassinée par le régime brésilien sous cette même dictature...
Sur Amilcar Lobo Moreira Da Silva :
* *
La définition ce cette pratique de tortionnaires qu'est la psychanalyse, est "dans le texte" écrit par des psychanalystes eux-mêmes, alors qu'ils pensent venir en aide à des victimes de la torture. Par la description fournie, l'auteur de ces lignes s'est-elle doutée qu'elle donnait une définition tout fait pertinente de la psychanalyse ? (C'est nous qui soulignons dans le texte).
"(...) Sous la torture, le tortionnaire est aux aguets, il est dans une perversion de la relation*, il épie, il interprète chaque silence, chaque soupir, il va chercher à dénicher ce que le torturé ne veut pas dire, lors des interrogatoires. Pour que la torture s’arrête, il faut parler, mais la torture continue sous les interrogatoires. C’est de la torture blanche, la torture psychologique. Ce sont des manipulations de la parole et tout est interprété, un silence, un haussement d’épaule... On leur apprend, aux tortionnaires. Les techniques d’interrogatoire, c’est quelque chose qui est appris, donc tout est interprété, tout est interprétable**."
(*comme la relation de "transfert", et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres... **Il n'y a ni non-sens, ni hasard "psychique".).
(*comme la relation de "transfert", et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres... **Il n'y a ni non-sens, ni hasard "psychique".).
Par ailleurs, on trouve aussi des absurdités dans le texte, comme celle-ci :
"En même temps, je trouve que c’est quand même très intéressant parce que ça veut dire aussi... cela accrédite l’idée qu’il faut vraiment partir des patients et de l’ici et maintenant, que les techniques ne naissent pas par les théories... "
Aucune action, quelle qu'elle soit ne peut émerger sans théorie, sans l'apriori de la théorie, du préjugé, de la conjecture, de l'hypothèse. Qui plus est, aucune "technique" ne peut naître et être utilisée sans une théorie qui a permis, toujours a priori, d'en imaginer les étapes procédurales, aucune. Pour le comprendre, il faut lire Karl Popper.
Par leurs pratiques, les psychanalystes qui prétendent venir en aide à des victimes de tortures, ne font en réalité que la prolonger, l'étendre, et en fixer les effets dans le mental de leurs victimes. Sigmund Freud crût soigner l'addiction de son ami Ernst Fleischl Von Marxow à la morphine, avec de la cocaïne, il ne fit qu'aggraver son cas dans des proportions dramatiques et même horribles. Les psychanalystes qui s'occupent de victimes de la torture ne font que lui emboiter le pas, mais avec leur "torture blanche", la torture psychanalytique.
Par leurs pratiques, les psychanalystes qui prétendent venir en aide à des victimes de tortures, ne font en réalité que la prolonger, l'étendre, et en fixer les effets dans le mental de leurs victimes. Sigmund Freud crût soigner l'addiction de son ami Ernst Fleischl Von Marxow à la morphine, avec de la cocaïne, il ne fit qu'aggraver son cas dans des proportions dramatiques et même horribles. Les psychanalystes qui s'occupent de victimes de la torture ne font que lui emboiter le pas, mais avec leur "torture blanche", la torture psychanalytique.
Le texte, dans son intégralité, ici.
(Un livre que l'on peut lire, si l'on veut : "La fiction psychanalytique", de Nathan Stern. Editions Mardaga).
*
Collectif, soutenons le Mur.
"Nous ne sommes pas des tortionnaires", geignent-ils... Les psychanalystes, sont des tortionnaires, affirmons-nous, ici, bien haut, et bien fort.
(Astérix et "le devin". Comme lui qui sait "lire" dans les entrailles des poissons, le psychanalyste sait "déchiffrer" ce qu'il y a dans votre "inconscient". Mais, il y a une chose qu'il redoute : ce sont les "esprits forts", c'est-à-dire, ceux capables de mettre à jour son imposture grâce à un usage éclairé de l'épistémologie fondée sur la logique. Ce qui prouve le bien fondé de l'usage de l'épistémologie contre les charlatans de la psychanalyse ? La meilleure preuve en est que les psychanalystes n'ont alors de cesse de les insulter, de les infantiliser, de les "pathologiser" et de tenter toutes sortes de renversements. C'est typique. Le psychanalyste se trahit encore quand il refuse si obstinément de reconnaître qu'il a tort, qu'il est un charlatan. Mais, s'il lui arrive de reconnaître des "torts", ce n'est que pour mieux les interpréter à l'avantage de la psychanalyse, ou du sien, en justifiant de surcroît de se montrer toujours juge et partie ! C'est donc bien un charlatan complet).


Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".