dimanche 17 janvier 2021

La monstruosité gagne du terrain avec Mirjam Heine, propagandiste de la pédophilie “moderne” (...).

 

 


 

(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).

 

Pour commencer, se reporter vers ce lien, puis vers celui-là.

Mais aussi, celui-là (OMS).

Plus étonnant encore, (pour ne pas dire scandaleux), cet article du “NouvelOBS”, qui qualifie les recommandations de l’OMS par rapport à la “sexualité infantile” de “bouffée d’air frais”.

 

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Peu à peu, la monstruosité gagne du terrain en étant "justifiée" de manière fallacieuse, c'est-à-dire en niant ouvertement des faits biologiques indiscutables.

(Être pédophile serait soi-disant "naturel", ce qui est naturellement (...), faux, et de toute façon inadmissible. Pourquoi ? Parce qu'une petite fille ou un petit garçon ne sont pas naturellement constitués pour avoir des relations sexuelles ou même affectives d'un certain genre avec des adultes. Il n'y a pas de prétendue "sexualité infantile"  : des faits biologiques indiscutables (anatomie, physiologie,..) le prouvent depuis des lustres. (C’est même scandaleux que de devoir le démontrer). Les enfants ne peuvent être considérés, selon les besoins des adultes, tantôt comme des "adultes en miniatures" tantôt comme des enfants, et c'est aussi cette confusion qu'utilise cette propagandiste de la pédophilie "moderne").

Quels arguments logiques et épistémologiques détruisent toute justification de la pédophilie ?

  • Quand bien même l’on trouverait un fait biologique quelconque “démontrant” que dans certains cas, la pédophilie chez l’être humain ne pourrait être considérée comme une sorte d’anomalie “biologique” (par exemple, génétique), et par conséquent qu’elle serait soi-disant “naturelle”, ou comme une sorte “d’éventualité” ou de “possibilité” d’orientation sexuelle “naturelle” chez l’homme, tout ceci se heurterait aux faits suivants : les organes génitaux d’une petite fille ou d’un petit garçon ne sont pas anatomiquement constitués pour avoir des rapports avec ceux des adultes. (Et ce n’est pas parce qu’un petit garçon ou une petite fille explore son corps, ou “qu’il regarde par le trou de la serrure”, qu’il est “motivé” par des “désirs sexuels”, ou qu’il “s’intéresse à la sexualité” comme d’un objet manquant qui susciterait en lui des frustrations identiques à celles des adultes . Il est curieux, et s’il en voit trop, impressionné, choqué, dégoûté, ou traumatisé).
  • Ensuite le développement cérébral (système nerveux central) d’un petit garçon ou d’une petite fille ne lui permet pas de créer les conditions physiologiques à l’émergence de “désirs sexuels” identiques à ceux des adultes, et même pas de “désir sexuel” du tout...
  • Et il n’est pas valide de justifier de prétendus “désir sexuels infantiles”, en parlant de développement “psychosexuel” plutôt qu’en se limitant à un “développement” sexuel (lequel fait référence à l’évolution des propriétés physiologiques du cerveau, notamment), c’est-à-dire, comme on le sait, en introduisant des théories non démontrables et issues de la psychanalyse, lesquelles passent outre toute référence aux données scientifiques les mieux corroborées sur ces questions.
  • Ces colossales contradictions de fait, permettent donc de fonder de manière indiscutablement valide de graves suspicions au sujet des méthodes de certains travaux dits “scientifiques”, (ou pire : des “observations cliniques”), qui auraient tendance à être utilisés pour fonder toute propagande en faveur d’une sorte de banalisation idéologique de la pédophilie dans le société. Car, un regard épistémologique sur la science, est principalement fondé, non seulement sur les résultats, mais surtout sur les méthodes pour parvenir aux résultats. (Karl Popper).

Mais reprenons notre premier argument consistant à mettre en évidence la contradiction entre le fait que par Nature (d’un point de vue biologique et normal ou non pathologique), d’une part, tout enfant prépubère n’est pas “équipé” anatomiquement et physiologiquement pour la procréation, et, d’autre part, qu’il est totalement absurde qu’en général l’être humain puisse venir au monde en étant également par Nature (normalement) “équipé” pour être pédophile dans certains cas. Pourquoi est-ce contradictoire et aussi absurde, inadmissible ?

Parce que l’un des deux “faits” ne peut être “naturel” (biologique) sans être anormal, ou une anomalie (biologique).

C’est-à-dire que ce n’est pas parce qu’un être humain naîtrait avec une anomalie biologique que cette anomalie bien que “naturelle” - biologique et non dûe, par exemple, à un élément extérieur - serait normale.

C’en est même ridicule que de devoir répéter encore qu’une “anomalie” n’est bien sûr pas “normale”.(...). Ou bien encore que ce n’est pas parce que c’est “visible dans la Nature”, que c’est indubitablement “naturel” ou “normal”, comme par exemple dans le cas de l’homosexualité : les défenseurs de la théorie d’une “homosexualité “naturelle” chez l’homme nous disent souvent que puisqu’on l’observe aussi dans le règne animal, (donc dans la Nature, où elle serait indubitablement et dans tous les cas soi-disant “normale”), il est valide d’affirmer que non seulement les causes, les motifs et les buts de ces exemples “d’homosexualité” observés dans le règne animal sont analogues à ceux observables chez l’être humain, mais encore que l’homosexualité humaine est donc par voie de conséquence aussi naturelle que celle observable dans le règne animal et également “normale”.... A ce stade, il nous semble impossible d’être plus pédagogique, à moins de verser nous-mêmes dans des absurdités.

... Il s’agit donc du second fait : être pédophile. Pourquoi ?

Parce qu’il est absurde de supposer que la Nature, (c’est-à-dire la maturation normale du cerveau de tout être humain, la maturation de ses organes génitaux et de son système physiologique lié à la capacité de procréer), puisse aussi être compatible avec une perversion comme la pédophilie. En effet, pourquoi la Nature aurait-elle prévu que tout enfant prépubère ne puisse biologiquement tolérer aucun acte pédophile tout en ayant aussi prévu la possibilité “naturelle”, (et cette fois biologiquement normale), de la pédophilie chez l’adulte ? (Le problème reste identique, selon nous, en ce qui concerne l’homosexualité).

Mais si la pédophilie peut se “révéler” à l’âge adulte, l’on peut supposer qu’elle serait une résultante d’une maturation (biologiquement) naturelle de l’être humain chez tous les individus. Or, il est clair que la pédophilie ne concerne que quelques individus, sauf à affirmer sans aucune preuve valide, (comme le font les psychanalystes), que ce type de perversion “sommeillerait” en réalité dans “l’inconscient” de tout le monde.

Cependant, si un adulte désire avoir des relations génitales avec un enfant prépubère, elles sont donc indiscutablement contre nature puisqu’elles ne peuvent être biologiquement compatibles avec la maturation naturelle (biologique) d’un enfant prépubère.

La pédophilie a donc toutes les chances d’être une anomalie (biologique) dont les causes restent difficiles à élucider , laquelle apparaissant à partir d’un certain âge demeure une perversion. (Mais les psychanalystes peuvent avec leur doctrine contourner ce problème en affirmant toujours sans aucune preuve valide et au mépris des faits de la Nature indiscutables qu’il y a (...) une prétendue “sexualité infantile” (de nature perverse), laquelle débuterait même selon Mélanie Klein dès la vie intra utérine et qui par ailleurs offrirait une sorte de “justification” des actes pédophiles puisque les enfants en seraient consciemment ou inconsciemment (...) les “demandeurs” ou incitateurs !...).

En ce qui concerne les adolescents qui eux sont biologiquement (naturellement) “équipés” pour la procréation, le problème de toute défense de la pédophilie se heurte aussi à des difficultés insurmontables, en particulier parce que la maturation biologique du cerveau de l’être humain à l’adolescence, notamment, ne peut pas lui permettre d’accéder, d’emblée, au même niveau de représentations de lui-même et de l’environnement social qu’un adulte. Mais tout un courant idéologique issu notamment de la psychanalyse permettra encore de passer outre la biologie, c’est-à-dire, encore une fois, les faits de la Nature, ou, démontrés par les sciences de la Nature..

C’est-à-dire que pour nombre de gens, il est hélas permis de penser qu’un adolescent, selon les circonstances de sa vie, de son vécu personnel, peut avoir la même maturité affective qu’un adulte, laquelle pourrait être complètement séparée, indépendante de sa maturité biologique. En somme, un individu humain “sans cerveau”, “sans biologie”, (sans aucun déterminisme biologique de ses pensées, représentations, motivations et affects), serait envisageable, ce qui est évidemment absurde...

La défense de la conception d’un être humain - ou de toute créature douée d’intelligence - dont la conscience ou l’inconscient pourrait s’envisager en dehors de toute considération biologique, ou même de toute forme d’interaction constante au long de la vie avec le “biologique”, bref, d’une conscience et d’un inconscient désincarnés, est une absurdité dont l’évidence ne mériterait même plus d’être démontrée. 

 

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Il y a longtemps que les faits de la biologie auraient dû éveiller les consciences sur cette absurdité célèbre de Simone de Beauvoir - “l’on ne naît pas femme, on le devient” - ou devraient ridiculiser pout toujours la théorie du genre ou le mariage homosexuel.

Mais l’époque étant ce qu’elle est : dominée par l’idéologie, l’obscurantisme, l’usage du terrorisme intellectuel, des pseudo-sciences comme la psychanalyse, ou encore des philousophies comme celle de Hegel ; la tendance est donc de croire qu’à peu près n’importe quelle construction intellectuelle peut indubitablement correspondre aux faits, ou pire, qu’elle peut créer de toute pièce des faits qui ne peuvent exister que dans l’imagination de leurs promoteurs, ou que dès lors que certains intellectuels ont des talents dans l’imagination métaphysique et la communication (...), l’on doit tenir et célébrer tout ce qu’ils disent comme des paroles d’Evangile...

 

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Voici donc comment, aujourd’hui, avec Mirjam Heine, l'on "justifie" la pédophilie" : elle serait une prétendue “potentialité naturelle” de tout être humain, une sorte “d’option” biologique. Mais cette justification de la pédophilie ne résiste pas à la démonstration des absurdités qu’elle contient bien qu’elles soient enrobées par une sorte de brillantine "morale" séduisante sur la justice ou sur l'éthique.

C'est donc une méthode très séduisante mais très pernicieuse qu'emploie Mirjam Heine pour "faire passer" l'acceptation de la pédophilie.

La monstruosité n'est pas sans ressources : elle sait se revêtir d'un beau drap blanc et d'un beau masque scintillant de "merveilleuses intentions", jusqu'à ce que la logique, les faits, et la science (la vraie), ne nous montrent que ce masque, ce "bel étalage" soutenu par une diction de prêcheresse jeune (...), mélancolique, angélique, navrée, "tendre et attentionnée" (...) : une destruction encore plus profonde et définitive des rapports adultes/enfants, puis de la famille, et enfin, de toute la société.

Or, la société humaine se fonde sur la biologie et ne peut perdurer que grâce à la morale.

Si l'on détruit les représentations que nous devrions tous cultiver et entretenir sur la morale, (morale qui doit être fondée en logique et sur des faits de la Nature, évidemment pour être acceptable), en tentant comme avec cette jeune femme, d'instiller une nouvelle (fausse) morale grâce à une présentation qui mélange habilement l'admis et l'inacceptable, nous contribuons le plus sûrement à détruire la société.

Mais au profit de qui ? (Je vous laisse deviner... On lit dans le texte du blog ceci : "Les conférences TED sont la partie visible de la Sapling Foundation, une organisation à but non lucratif fondée et administrée par l’Homme d’affaire Chris Anderson. Il est intéressant de noter que ce dernier est le conjoint de Jacqueline Novogratz, la PDG d’Acumen, une ONG américaine entièrement née des deniers de la Fondation Rockefeller… ").

Que tous les adultes responsables qui passent par ce mur Facebook, lisent la page du lien, puis écoutent attentivement les propos de cette personne, et ensuite, en tant que citoyennes et citoyens responsables, qu'ils partagent et condamnent.

 

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Il faut que “jeunesse embrasse jeunesse”.


Mais ... A l’écart de toutes “modalités” et de tous codes qui seraient imposés ou directement suggérés, incités par les adultes, même si la jeunesse aime “jouer à faire comme les grands” et les petites filles et les petits garçons, à mettre leurs pieds dans les chaussures de papa ou de maman.. Ce n’est pas parce qu’ils aiment ce genre de jeux tout à fait innocents, qu’ils sont soi-disant “murs” ou “ouverts” pour des sentiments, des motivations et bien entendu des actes “sexuels”, comme font “les grands”. Non, la “chaussure de maman” ne symbolise pas son ventre, ou autre chose (...) et ce n’est pas une quelconque prose “symbolique” ou “poétique” ou “littéraire” qui fait une théorie scientifique objective. Les mots, les phrases, ne font pas d’emblée une science. L’on ne peut confondre indûment rationalité et scientificité, ou croire que ce qui est rationnel est “immédiatement” scientifique, bien que la science nécessite l’usage de la raison mais d’un point de vue critique. Pour faire une science, il faut des preuves que certains énoncés et propositions correspondent aux faits à partir de leur mise à l’épreuve expérimentale. Et une chaussure, ce n’est parfois rien d’autre qu’une chaussure, que l’on se le dise dans les cachots sectaires de la “pensée psychanalytique”.

(Sur la photo en-dessous, il n’y a par exemple qu’un esprit pervers et obnubilé par le sexe comme Freud ou Lacan qui pourrait affirmer et croire mordicus que l’appendice visible sur le chapeau du petit garçon “symbolise le pénis”, et que la fleur sur celui de la petite fille “symbolise” le sexe féminin ; et que par conséquent cela “prouve” qui si les enfants ont accepté de porter de tels couvre-chefs, c’est “qu’inconsciemment” (...) ils auraient éprouvé des motivations sexuelles identiques à celles d’adultes, ou qu’ils y auraient tout aussi “inconsciemment” consenti, ou je ne sais quoi d’autre...! Et si moi-même j’ai remarqué cette possibilité d’interprétation saugrenue, cela ne prouve pas davantage que j’y adhèrerais “inconsciemment”, et qu’en le niant, mon “inconscient” me trahirait à mon insu, etc., etc., Heureusement, l’épistémologie fondée sur la logique permet toujours de se sortir du piège de la tarte à la crème rhétorique de l’interprétation par “l’inconscient”, de sa méthode symbolique farfelue, et de son usage plus ou moins habilement dissimulé du sophisme post hoc ergo propter hoc..).

 

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Enfin, dans tout ce que j’ai écrit dans cet article, (ou même dans tout autre), un psychanalyste ne manquerait pas d’y déceler un “récit involontaire” de mon propre “inconscient”, ou des indices probants de mes motivations inconscientes, formulés inconsciemment.

Si je répondais, “oui”, ce serait du pain béni par le psychanalyste, (puisque je “confirmerais” le bien-fondé de la psychanalyse), et si je répondais, “non”, ce serait aussi tout bon pour la psychanalyse, puisque selon cette doctrine, un “oui” est toujours “déguisé” en “non”, ou l’inverse.

Ainsi, je ne me serais pas douté le moins du monde de mon propre ridicule, étant moi-même à chaque instant le locuteur involontaire et berné par mon propre “inconscient”, alors même que j’étais en train d’en dénier totalement la possibilité de l’existence dans les termes de la psychanalyse ...

Donc, comme d’illustres intellectuels l’avaient déjà remarqué bien avant moi : face à l’interprétation psychanalytique c’est toujours : “pile elle gagne, face, tu perds”. Mais c’est justement pour cela que l’interprétation par l’inconscient psychanalytique n’est qu’un bide complet.

Il va sans dire que des arguments logiques et épistémologiques permettent d’envoyer à la poubelle ce genre d’interprétations qui se présenteraient de surcroît comme des “explications” de mes écrits ; arguments que j’ai déjà développés et démontrés, en long, en large, et en travers dans d’autres articles, mais bien évidemment, qu’aucune huître de la psychanalyse qui y reste délibérément sourde, (et pour cause), ne tiendrait compte.

 

 



Ils jouent à "faire comme les grands", et rien d'autre. Laissons-les s'amuser, fichons leurs la paix ! Quoique puisque c'est une photo qui fut prise, selon toute vraisemblance par des adultes, (pourquoi donc des enfants de cette époque pourraient-ils s'y connaître en la matière ?...), il y a fort à parier que ce furent encore des adultes qui leurs aient non seulement fourni les vêtements (cela semble également le plus évident), mais plus encore qui leurs aient demandé de "s'embrasser", "comme des grands" ; facétie à laquelle ils auraient accepté de se soumettre innocemment quant aux intentions (bonnes ou mauvaises) des adultes envers eux et de bonne grâce, mais non sans une certaine réticence toute naturelle eût égard à leur attitude mutuelle, l'un envers l'autre, où ils paraissent se repousser, les yeux fermés plutôt que "d'y aller de bon coeur" et en dehors de toute gêne ou de toute honte, comme le feraient précisément des adultes....Donc, comme nous le disions plus haut : il faut que "jeunesse embrasse jeunesse", mais avec les réserves que nous avions exprimées.

A n’en pas douter, un charlot de la psychanalyse affirmerait mordicus, que la protubérance à l’extrémité du chapeau du petit garçon sur cette photo, “symbolise le pénis” (...), et étant donné qu’elle est plus longue que la protubérance que l’on observe à l’extrémité du chapeau de la petite fille, cette dernière “symbolise le clitoris” (...). Ah ! C’est tellement.... “évident” ; ou encore : “mais, ça tombe sous le sens !” ; ou bien : “mais il suffit d’observer d’un oeil attentif” ; etc., etc...

Donc, pour les délirants de la psychanalyse, “le sexe est partout”. “Tout est sexe”.

Amusons-nous alors à jouer au petit psychanalyste et “confirmons” (...) les idées parfaitement saugrenues de cette immaculée doctrine, par exemple en “symbolisant” sur les noms de certains personnages de Molière :

Donc, “Tartuffe”, par exemple, signifie “inconsciemment” : “ta belle touffe” (...) ; et Clitandre, signifie “inconsciemment” : “ton clitoris tendre”. Et voilà .... Figurez-vous qu’en guise de canular j’avais jadis publié de tels propos dans un forum dédié à la psychanalyse, voilà ce que l’on m’avait répondu : “c’est vrai que le sexe est partout, chez Molière, et bravo pour votre interprétation des pseudos”. Quand j’y repense, j’hésite entre me marrer un bon coup, ou l’envie de distribuer des torgnoles tout droit dans la tronche de ces bourricots qui se prennent pour des chevaux de course avec leur psychanalyse, avec élan, bras tendu, et à m’en déchirer les ligaments de l’épaule...

 

(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).

 

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Une liste d’intellectuels et de personnalités de tous bords ayant participé directement ou indirectement à une apologie de la pédophilie ou à une défense des pédophiles :

Henry de Montherlant, André Gide, Roger Peyrefitte, Michel Foucault, Daniel Cohn-Bendit, Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer et Philippe Sollers.

 

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Une photo très conviviale des “gentils experts en sexualité infantile” de l’OMS, (préconisant, entre autres choses, la découverte de la masturbation entre ... 0 et 4 ans) :

 

 


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Didier PLEUX :

 


 

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Mon roman, "HOAG, un témoignage du futur":













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Psychanalystes, dehors !

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