dimanche 2 mai 2021

La "crise sanitaire" (...) et la JEUNESSE..

 

 


 

 

Commentaires :
 
 
Quel est le sens de la vie ? Je parle d'un vrai sens : quelque chose qui possède une existence concrète, universelle, intemporelle ; quelque chose d'indiscutable.
 
Le vrai sens de la vie, c'est de la continuer. C'est la seule direction possible à donner à la vie (bien qu'il y ait toujours des cinglés pour songer à la détruire ou y mettre fin). Il ne s'agit pas de considérations idéalistes, métaphysiques ou même philosophiques, il s'agit seulement de réalisme, d'une correspondance indiscutable avec les faits.
 
Pour continuer la vie, il faut fonder une famille et avoir des enfants.
 
Les enfants continuent la vie de l'Humanité, et ils sont bien sûr, eux aussi l'Humanité. Et nous espérons que ce sens, cette direction, ce parcours, sera infini ; qu'il ne s'arrêtera jamais.
 
Ce qui a de plus important pour nous les adultes responsables, c'est donc notre jeunesse et son avenir, parce qu'elle seule constitue également une possibilité de notre immortalité concrète. Immortalité concrète par nos propres enfants, qui sont notre sang et nos gènes, mais aussi notre mémoire, et tout ce que nous avons à leur enseigner, à leur transmettre pour qu'ils puissent, à leurs tours, continuer la vie.
 
"Vivre pour soi, et uniquement pour soi", n'a aucun sens, aucune valeur pour un adulte responsable. La responsabilité seulement pour soi-même (prendre soin de soi, par exemple), n'a aucun sens véritable sans un autre but extérieur à soi. Une vie adulte sans enfant, ou sans aucune préoccupation à vouloir transmettre aux jeunes, ou sans être conscient que ce l'on fait concourt à la continuation de la vie, est une vie absurde, en vain, narcissique, égoïste ; c'est une existence vide, sans intérêt.
 
Apprendre, enseigner, travailler, aimer, être heureux, construire, tout cela, pour chacun de ces verbes, n'est jamais une fin en soi
 
Apprendre n'est pas une fin en soi, ni enseigner, ni tout le reste. Ce  qui est la "fin", c'est la continuation de la vie. Il faut donc apprendre, enseigner, travailler, aimer, être heureux, pour que la vie puisse continuer sous les meilleures auspices, dans les meilleures conditions possibles. Voilà la fin.
 
Il est donc illogique (absurde), inadmissible, immoral, contre nature, intolérable et impardonnable de sacrifier la jeunesse quel qu'en soit le moyen ou le but. C'est impardonnable.
 
Nous n'oublierons pas. Nous n'oublierons jamais le mal incommensurable que vous nous avez fait à nous les adultes, et surtout que vous avez fait et que vous continuez de faire à notre jeunesse, notre seule véritable raison de vivre et d'être optimistes, la seule raison concrète qui puisse vraiment nous ôter ou diminuer la peur que nous pouvons avoir de mourir, la peur du néant après notre mort. C'est impardonnable...
 
Ce n'est pas non plus négociable et ni vos compétences infâmes dans la "com", la mauvaise foi, la rhétorique, les boniments, la dialectique, la suggestion, l'infantilisation, la manipulation des consciences et tout le reste de votre bestiaire, rien de tout cela ne pourra nous faire oublier ni même infléchir notre besoin de justice : que vous soyez punis. Punis de la manière la plus exemplaire qui soit.
 
Tout société humaine se fonde en premier lieu sur la biologie, parce que pour qu'une société humaine puisse commencer il faut un homme et une femme adultes, il faut un couple hétérosexuel. (La "sexualité" est donc biologique).
 
La société est donc aussi, fondamentalement, un phénomène biologique, naturel. Ensuite, pour que cette société puisse perdurer, il faut des valeurs, et surtout des valeurs morales. Par exemple, il faut qu'il soit jugé immoral et intolérable de s'en prendre à ce qui fait l'essentiel de la possibilité de continuation de la société humaine, et de son sens : la biologie puis la jeunesse. Donc, la biologie et la morale : les deux sont et demeureront indissociables pour concourir à la continuation de la vie Humaine.
 
Vous pouvez continuer de nier toute importance fondamentale de la biologie et de la morale, mais de toute façon, les gens veulent vivre et que ça continue... Par conséquent, s'il vous semble réussir à détruire la biologie et la morale, à en dénaturer ou dévoyer la signification ou à la détruire, ou bien même à les "faire sortir par la porte", les deux reviendront quand même "par la fenêtre".
 
Ce que vous avez fait est donc contre les fondements de la société, contre l'essentiel. C'est contre nature (pervers) et immoral. Ce qui est le plus grave : ne pas vous sentir hautement responsables de la jeunesse, de ses conditions d'existence, de son épanouissement, de son éducation, et enfin de son optimisme, de sa foi en l'optimisme en l'avenir. La jeunesse doit toujours être la priorité.
 
Nous ne vous pardonnerons pas. 

Vous n'êtes qu'une bande de menteurs psychopathes, une voyoucratie en "cols blancs et cravates", des irresponsables sans aucun scrupule. Vous nous méprisez ? Mais le moment venu, nous n'aurons aucune pitié envers vous.

(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).




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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.

Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".

Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.

Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :

"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".

Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".

Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".

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