Une analyse, "amateur", certes, mais qui se fonde sur des données statistiques officielles :
Son interprétation :
Dernièrement, j’ai été challengé sur Facebook par un intervenant « pro-vaxx » qui me mettait au défi de lui donner un exemple concret de pays « bien vaccinés » et dont la situation sanitaire … heu pardon … dont la situation covidienne ne s’améliorait pas.
En préambule, je précise que je n’ai aucune formation scientifique ou médicale (je n’ai donc pas le privilège de pouvoir présenter un argument d’autorité). Je suis par contre assez insensible aux émotions collectives et cherche juste à trouver des éléments factuels me permettant de prendre des décisions les plus juste possible et ... j’aime bien faire des jolis graphiques.
Défi relevé donc …
Pour ce faire, j’ai compilé les données du site « ourworldindata », une émanation de l’université d’Oxford qui collecte de multiples données à travers le monde, dont, forcément, des données portant sur le rhume-19.
De la même manière que je l’avais fait pour la Belgique dans un post précédent, j’ai pris en référence les hospitalisation covid de la période du 15/05 au 08/08 pour les années 2020 et 2021. Histoire de comparer une année sans Saint-Vaxx et une année avec Saint-Vaxx.
J’ai pu obtenir les données complètes pour 23 pays.
En Europe, le taux de double-vaccination moyen est de 42,62 %
J’ai choisi arbitrairement de classer les pays en « très vaccinés » (plus de 50 % de double vaccination), moyennement vaccinés (entre 40 et 50 % de double vaccination) et peu vaccinés (moins de 40 % de double vaccination).
Commençons par les pays « très vaccinés ».
Il y en a 13. Si on compare l’évolution graphique des hospitalisations, on peut voir que 11 d’entre eux (sur 13 !!) présentent un nombre de patients covid hospitalisés le 08/08/2021 supérieur à celui de la même date en 2020. Mais la plupart des courbes sont assez parlantes : si l’Autriche, le Canada, la Hongrie et la Belgique voient les courbes 2020 et 2021 plus ou moins parallèles (mais avec une situation 2021 défavorable par rapport à 2020), tous les autres pays (Chypre, France, Irlande, Italie, Pays-Bas, Portugal et Royaume-Uni) ont des courbes qui divergent franchement. Dans ces 7 pays, on pourrait extrapoler que la situation épidémique « formes graves » est en train de se dégrader fortement.
Reste 2 pays « très vaccinés » qui sont dans une situation plus favorable le 08/08 de cette année par rapport au 08/08 de l’année dernière : le Grand-Duché de Luxembourg qui compte non seulement moins de lits covid cette année par rapport à l’année dernière mais voit même sa courbe s’aplanir.
Et Israel qui, certes, compte moins d’hospitalisés cette année mais voit la courbe 2021 repartir à la hausse bien plus rapidement que celle de 2020 !
Enfin, j’ai ajouté un 14e « bon élève », l’Espagne, pour laquelle je ne disposais que des données entre le 14/05 et le 21/07/2021. Pas de comparaison possible avec l’année précédente donc mais on constate une hausse exponentielle des hospitalisations sur une période qui aurait, à priori, dû être favorable.
Bref, un bilan hospitalier très mitigé pour les « bons élèves » de la vaccination : seul le Grand-Duché de Luxembourg (un micro état de 600 000 habitants) parvient, au niveau hospitalier, à montrer une amélioration sensible, les autres états voyant généralement leur situation plutôt se dégrader.
Passons à présent aux pays « moyennement vaccinés ».
5 pays dans cette catégorie. Ici les situations sont plus contrastées : 3 d’entres eux se retrouvent dans une situation hospitalière au 08/08/2021 meilleure qu’il y a un an (Tchéquie, Pologne et Suède) et 2 dans une situation 2021 moins bonne (Slovénie et Suisse) .
Les courbes des 3 pays en situation favorables continuent d’être favorablement orientées et celle de la Slovénie est plane. Par contre, la Suisse voit sa situation hospitalière repartir violemment à la hausse.
A noter précisément que la Suisse n’est passée dans le camps des « moyens élèves » que de justesse : sa population est vaccinée à 49,32 %, ce qui en fait le « plus vacciné » des « moyennement vaccinés ».
Enfin, passons aux mauvais élèves.
5 pays présentent une note inférieure à 40 % de double vaccinations.
Le cancre est sans conteste la Bulgarie dont seulement 15 % de la population est vaccinée. Eh bien la Bulgarie est dans une situation hospitalière pratiquement identique à celle de l’année dernière avec un nombre de patients covid légèrement supérieur mais une courbe qui reprend une ascendance de même amplitude que l’année dernière.
Les autres pays faiblement vaccinés (entre 37 et 39 % de taux de double vaccination) présente une situation 08/08/2021 moins favorable que l’année précédente mais avec une reprise plus ou moins parallèle avec celle de 2020.
Seule l’Estonie voit sa courbe repartir plus vigoureusement à la hausse en 2021 qu’en 2020. A noter que l’Estonie avait été particulièrement épargnée en 2020 tout en ayant maintenu intacte la quasi-totalité des libertés individuelles avant que, contre tout bon sens, elle ne se décide fin 2020 à prendre des mesures aussi liberticides que les autres pays d’Europe … et de voir l’épidémie démarrer chez elle. Etrange non ?
Conclusion : c’est à chacun de tirer des conclusions personnelles de ce petit travail sans prétention.
La mienne, c’est que la vaccination, non seulement n’empêche pas les contaminations, n’évite pas non plus de contracter des formes graves de covid. Le chiffre de 98 % de « non vaccinés » hospitalisés lâché par nos z’experts pour la Belgique ne tient pas une seconde la route face à ces constats.
Mais, plus on avance, plus je crains qu’à défaut de protéger contre les formes graves, la vaccination ne les favorise. Quoi qu’il en soit, l’avenir nous éclairera et l’automne sera « le juge de paix ».
Le Pr. Laurent THINES, neurochirurgien, sur le "Pass sanitaire" :
Un médecin généraliste à la Rochelle :
De quoi en rester pantois : même Martin Blachier se dresse contre le Pass Sanitaire :
-ce un des premiers indices probants du début de la fin de cette gestion anti-démocratique et idéologique de l'épidémie ? Il faut l'espérer.
Pour terminer, les propos de Lydia GUIROUS, journaliste et récalcitrante très éclairée, sur Cnews :
* * *
Mr. Le Président,
Une obstination idéologique ou une intolérante et dogmatique pensée unique "pro-vaccin" aurait dû, dès le début, être remise en cause par... la Science. Nous voulons dire : par une attitude ayant bien assimilé ce qu'est la Science et ce qu'elle peut ou non (...) apporter à une action politique libre, éclairée, responsable et démocratique.
Nier, à ce point, et aussi obstinément l'existence de méthodes alternatives efficaces pour lutter contre le COVID-19, (existence de molécules efficaces comme l'Ivermectine, l'hydroxychloroquine, etc.), occulter l'évolution des recherches en leur faveur grandissante laquelle est toujours possible, démontre désormais que vous êtes dans une posture idéologique, et non plus scientifique, posture qui relève bien d'une pensée unique intolérante, dogmatique et relativiste.
... Et d'ailleurs, jusqu'à présent, Mr. le Président, plus les contestations se sont élevées, et plus vous avez durci le ton en devenant plus liberticide, en multipliant les mesures intimidantes ou de chantage et en devenant menaçant envers la population, alors même, je le répète que les faits démontrent l'échec des vaccins à stopper l'épidémie et que des solutions alternatives efficaces existent...
En outre, refuser tout aussi obstinément d'admettre l'échec cuisant des nouveaux vaccins à endiguer l'épidémie (puisqu'ils ne stoppent ni l'infection, ni la transmission du virus) dans l'espoir d'atteindre une immunité collective, conforte encore la critique selon laquelle votre gouvernement a adopté le seul fondement de la posture idéologique et de la pensée unique intolérante et fermée aux réels progrès de la Science. (Cette attitude est semblable à celle du GIEC en matière de climatologie sur les causes du réchauffement climatique ; le GIEC qui à ma connaissance n'a pour l'instant jamais promu ni rendu public des tentatives de mise à l'épreuve via des tests inédits visant à réfuter son paradigme dominant sur les causes des changements climatiques : les climato-sceptiques et autres climato-réalistes sont occultés, passés sous silence, ou politisés, psychiatrisés, ou même criminalisés.. (l'opinion publique, pour une grande partie va même jusqu'à admettre qu'il est "criminel" ou "irresponsable" de supposer remettre en question le paradigme dominant promu par le GIEC, tout comme il serait "irresponsable et criminel" de se montrer sceptique (...) puis de s'opposer au type de vaccination que vous imposez...)).
Il y a donc, selon nous, une nécessité urgente dans l'intérêt de la collectivité, à ce que le gouvernement français réoriente son action en tenant compte de ce qu'est la vraie Science et en quoi consiste l'attitude scientifique :
La vraie science est toujours controversée et toujours controversable ; c'est-à-dire qu'elle doit toujours être potentiellement réfutable par de nouveaux tests. C'est-à-dire que la vraie science ne peut pas et ne pourra jamais se passer de l'usage de ce Karl Popper appelait un "scepticisme dynamique", donc de l'usage du rationalisme critique.
Nous pensons donc que le Chef de l'Etat et son gouvernement devraient ne pas cesser de garder leur scepticisme et l'usage de leur rationalisme critique contre une politique "tout vaccin", (et vis-à-vis des affirmations catastrophistes et prophétiques du GIEC...), aidés en cela par la prise en compte de toute la controverse scientifique en présence concernant cette épidémie. Ils ne devraient jamais s'interdire de changer de cap, en reconsidérant s'il le faut l'ensemble de la problématique de gestion de l'épidémie.
L'attitude scientifique, consiste donc à rester constamment ouvert à d'inédites possibilités de réfutations et même à rechercher audacieusement et obstinément de nouvelles possibilités de mises à l'épreuve des "paradigmes" scientifiques qui semblent "bien établis" ou "dominants". Elle ne peut, pour sa survie et pour l'approche, jamais achevée de la Vérité objective, accepter la moindre intrusion de la méthode de la pensée unique avec son intolérance, son dogmatisme et son relativisme.
Pour terminer, il s'agit donc selon nous, d'une gestion bien plus politique et idéologique que réellement scientifique de l'épidémie, Mr. le Président. Parce qu'il nous semble très clair que votre gouvernement ne tient pas compte de la réalité de la Science, l'élude, (ou n'en tient compte que de manière sélective donc partiale), avec ses nécessaires et toujours évolutives controverses donnant lieu à de nouvelles corroborations ou de nouvelles réfutations, donc un renouvellement de la connaissance objective. Nous estimons que toute crise sanitaire doit ou devrait être au contraire exclusivement guidée par le savoir scientifique en évolution et que l'action politique devrait être apte à s'y adapter puis à en informer honnêtement et pédagogiquement la population.
Vous pouvez donc imaginer que ces suspicions qui nous semblent justifiées de ne mener qu'une gestion idéologiquement fondée de l'épidémie suggèrent à leur tour des questions, (et uniquement des questions) :
- Pourquoi préférer une approche idéologique plutôt qu'authentiquement scientifique de la gestion de l'épidémie ?
- Y a-t-il autre chose (...), Mr. le Président ?
Concernant enfin votre attitude, Monsieur le Président, laquelle a donc consisté à durcir le ton après les premières manifestations contre le "Pass sanitaire", nous estimons que vous avez là adopté non seulement une stratégie d'immunisation autoritaire contre la contestation sociale, stratégie qui n'engendrera, je vous l'assure, aucune immunisation contre le virus, mais en outre, paternaliste, puisqu'elle consiste à "laisser crier le bébé" en espérant qu'il se calme de lui-même et finisse par s'endormir fatigué ou bien qu'il prenne peur en écoutant les médias mainstream divulguer plusieurs fois par jour des statistiques qui évitent soigneusement de nous renseigner sur les personnes hospitalisées et déjà vaccinées et les autres, pour ne citer qu'un exemple. En somme, la stratégie de la peur de la culpabilisation infantile et de la division bat toujours autant son plein, Mr. le Président, et vous ne pouvez ignorer pourquoi..
Ces stratégies d'immunisation gouvernementales de l'idéologie "tout vaccin" sont typiquement pseudo-scientifiques, Mr. Le Président, et elle nous révèlent de la manière la plus claire qu'il s'agit donc bien d'une action politique de gestion de l'épidémie qui n'est motivée que par une intolérante idéologie qui n'a de cesse d'utiliser tous les moyens ou presque pour rester sourde donc immunisée contre tout risque de remise en question.
En somme, Mr. le Président, il y a beaucoup de points communs entre le catastrophisme prophétique allié à la stratégie de la peur que vous utilisez et le catastrophisme prophétique du GIEC : tous les deux sont idéologiques et plus scientifiques. Croyez-vous toujours que le peuple soit dupe ? Ces deux idéologies cultivent aussi la même intolérance à la critique, le même terrorisme intellectuel, les mêmes mensonges médiatiques. N'est-ce pas "remarquable" ?... Nous vivons vraiment une drôle d'époque, Mr. le Président. Oui, vraiment, c'est une drôle d'époque..
Respectueusement.
P.S. :
Permettez-moi, Mr. le Président, de formuler ici une dernière hypothèse audacieuse, (en tout cas, que vous ne manquerez pas, j'imagine, de trouvez très audacieuse, mais vous en jugerez) :
* * *
Ah ! J'ai encore failli oublier la "cerise sur le gâteau" ! (Bah oui : il y a toujours une cerise sur un gâteau, non ?) :
Donc, et si je ne m'abuse : ...
Si tout cela est fondé ou finit par être fondé sur des preuves dûment contrôlées de manière intersubjective et scientifique, c'est-à-dire bien au-delà de l'observation de quelques cas cliniques isolés, alors, cela conforterait ce que je suspectais seulement : non seulement les vaccins ne stoppent pas l'épidémie, mais en outre, ils pourraient l'étendre, voire même peut-être l'aggraver (?...?...?...). Comme on l'entend dans cette vidéo, les vaccins "seraient le variant delta" (?....?....?).
Et autre chose de surprenant (mais l'on pouvait s'y attendre quand même) : c'est que le "Pass sanitaire" devrait être accordé uniquement aux non-vaccinés et non infectés par le virus, les seules personnes, à mon avis, qui soient susceptibles après 1 an d'épidémie d'être peut-être (je souligne), immunisées et donc capables de concourir à la création de cette fameuse immunité collective tant espérée (?....?....?...?). Donc : "wait and see"...
* *
Bien écouter en totalité et jusqu'à la fin le contenu expert de cette vidéo de très haute volée scientifique :
...mais au jour d'aujourd'hui, tout le monde sait que ces vaccins n'empêchent ni l'infection, ni même la transmission du virus à d'autres personnes, et que quelques cas de personnes, (ne représentant pas pour l'instant un échantillon significatif), ayant reçues les deux doses sont décédées.
L'on apprend également que certains vaccins étaient déjà connus lors de ces premières études pour être inefficaces contre certains variants.
POURQUOI ?
En outre, l'on apprend dans cette vidéo au contenu expert qu'il y aurait des conflits d'intérêts liés à l'évaluation de certains de ces vaccins.
POURQUOI ?
* *
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".