"Flashback" :
Et sur l'efficacité de l'ivermectine, la situation est pratiquement identique. Testée massivement en Inde, elle a permis de sauver des millions de personnes... Les pouvoirs curatifs de l'ivermectine ont été découverts par deux chercheurs qui avaient pour l'occasion obtenu le Prix Nobel de médecine.
L'ivermectine ne présente aucun danger, et il faut le répéter, il existe depuis longtemps maintenant, des études observationnelles, des études randomisées et des études randomisées en double aveugle qui corroborent dans les règles de l'art son efficacité et, je le souligne, son inocuité.
Mais pendant toute la durée de la crise sanitaire, les gouvernements des pays développés ont déployé une indiscutable pensée unique "pro-vaccin" intolérante à toute alternative, donc toute controverse, et par conséquent tout usage du rationalisme critique contre elle. Cette pensée unique a donc tout aussi indiscutablement reflété le fait que l'attitude des gouvernements fut pseudo-scientifique et politique, mais certainement pas "sanitaire"... Autant dire qu'elle fut irresponsable.
Enfin, compte tenu du nombre de morts, des effets indésirables de ses vaccins qui ont tous été avalisés et administrés par milliards de doses avant même d'avoir obtenu leurs AMM conditionnelles (!), les gouvernants reconnaissant que les données scientifiques et cliniques n'étaient pas encore suffisamment robustes à leur endroit au moment de la décision, (Pr. Alain Fischer), l'exclusion de tout usage de la bi-thérapie proposée par Didier Raoult et de l'ivermectine est à considérer comme un crime d'état.
Les vaccins "anti-COVID", il faut quand même y revenir.
Même le ministre de la santé français, Olivier Veran a fini par reconnaître leur incapacité totale à atteindre le but qui était fixé : l'immunité collective.
S'étant montrés sceptiques au début de l'épidémie sur l'existence de variants bien démontrée grâce à l'expérience de Didier Raout et le professionnalisme de son équipe, nos gouvernants ont malgré tout bien été obligés ainsi que la terre entière (...) d'admettre les capacités mutagènes hors normes du Sars-Cov2 et la création de variants à partir de sa souche... mais des variants, certes plus contagieux mais de moins en moins virulents, signe que l'épidémie disparaît d'elle-même (à force de créer des variants), comme toutes les épidémies, ainsi que l'avait dit, le Pr. Didier Raoult...
Mais, surtout n'oublions pas l'histoire des anticorps facilitants créés pendant les trois premières semaines faisant suite à une première injection, comme les ont identifiés, notamment, des scientifiques comme Jacques Fantini, Bruno Canard et Jean-Marc Sabatier pour la France...
En effet, le Pr. Didier Raoult en se basant sur des données statistiques internationales et reconnues pour leur fiabilité, a mis en évidence une forte corrélation entre deux phénomènes :
1. Le taux de vaccination très élevé des pays industrialisés qui pouvaient acheter les vaccins en masse ;
Et :
2. Les rebonds systématiques des taux d'infection dans ces pays pour l'immense majorité, quand il ne s'agissait pas de véritables explosions (...), pendant les trois premières semaines succédant à une campagne de vaccination ! (...!)
Ceci suggère fortement des relations de cause à effet entre la vaccination "anti-COVID génique" et la propagation de l'épidémie, mais, en l'absence de tests (à notre connaissance) de mise à l'épreuve de telles relations de cause à effet, ces spectaculaires corrélations, en toute rigueur, ne prouvent rien pour l'instant. En clair : ce serait les vaccins eux-mêmes qui auraient fait durer l'épidémie dans le temps et auraient très largement contribué à élever de manière si spectaculaire et temporaire les taux d'infection dans les pays les plus vaccinés, c'est-à-dire, les pays industrialisés !
Malgré ses interprétations tout à fait recevables et donc la mise en évidence de ce taux de corrélation, il n'y a eu, à ma connaissance, AUCUN gouvernement qui ait jugé utile de lancer des recherches avec des tests consécutifs permettant de mettre en évidence des relations de cause à effet (plutôt que de "simples corrélations") entre 1 et 2.... Pourquoi ?..
Un élément de réponse (parmi d'autres...) : ç'eut été reconnaître l'impasse de l'utilisation de ces vaccins contre l'épidémie et leur dangerosité évidente en favorisant les augmentations du nombre d'infections, après s'être engagé à hauteur de milliards de dollars avec "Big Pharma" (Pfizer, etc., etc.).. Les gouvernements, littéralement "tenus par les couilles", ou peut-être accomplissant une abjecte malversation sur la base de la corruption et de conflits d'intérêts divers (...), devaient absolument "écouler la camelote" et permettre à Big Pharma de "ramasser le pognon".. (un "pognon de dingue", assurément, comme le dirait sans doute Mr. Macron).
Pour finir, et comme l'a bien souligné le Pr. Didier Raoult dans l'une de ses plus récentes vidéos faisant un bilan de la situation sanitaire et de l'usage des vaccins, toutes ces campagnes de vaccination n'auront servi...... à rien. Il fallait procéder autrement, c'est-à-dire, faire de la médecine, s'occuper des malades en phase précoce, et les traiter.
Comme nous l'avait aussi dit, et répété le Pr. Didier Raoult, c'est le temps qui donnera le verdict. Et bien voilà : l'eau a donc coulé sous les ponts depuis ses premiers essais cliniques réalisés dans l'urgence sur l'hydroxychloroquine, et nous avons aujourd'hui de nombreux tests réalisés dans les conditions les plus sévères d'administration de la preuve qui corroborent de manière éclatante l'efficacité de l'hydroxchloroquine. Depuis les débuts jusqu'à la fin, le Pr. Didier Raoult avait donc raison, et il a raison encore aujourd'hui...
La messe et dite.
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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".