*
Bravo au Professeur Raoult.
Aucune esquive, contrairement à ce qu'a
voulu faire croire Pujadas, mais des réponses parfois prudentes, parce qu'elles
auraient été trop complexes à développer pour le grand public.
Nous avons eu les réponses d'un
authentique "poppérien", (l'oeuvre duquel il connaît sur le bout des
doigts, et donne même des cours d'épistémologie), réaliste mais toujours
vigilant sur les recherches et ses propres travaux.
Nous avons eu aussi l'image
incontestable d'un VRAI scientifique, lequel, comme il nous l'a dit lui-même ne
peut absolument pas éviter de passer la majeure partie de son temps à LIRE LES
TRAVAUX PASSES ET EN COURS DES AUTRES SCIENTIFIQUES qui travaillent sur le même
objet de recherche.
Nous sommes donc, par comparaison, (parce que réfléchir, c'est faire des relations, comparer), dans
un univers si diamétralement opposé à celui d'un Sigmund Freud, ou de tout
autre psychanalyste, que faire cette comparaison avec le Professeur Raoult,
pourrait même être insultante pour lui..
Il mérite au contraire, toutes nos
éloges, notre confiance et notre admiration.
*
En
toute logique, il n'y a pas d'arbitrage des sciences sans l'épistémologie,
donc, sans le recours au... SCEPTICISME, mais un "scepticisme
dynamique", comme le préconisait Karl Popper.
Question
récurrente : quel est donc le traitement infligé depuis trop longtemps aux
"climatosceptiques" de part le monde ?
Ceux
qui réfléchissent sauront en tirer les conclusions, dont certaines pourraient
devenir, tout bien pesé, catastrophiques pour l'avenir de la Science.
(Le
professeur Raoult, est bien plus l'objet d'un scepticisme idéologique et/ou
intéressé (...) que d'un véritable scepticisme épistémologique).



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Psychanalystes, dehors ! Et, pour vivre heureux, vivons cachés.
Les années 2020 seront celles de l'avènement d'une nouvelle forme de totalitarisme : le totalitarisme sophistiqué dont l'un des traits les plus marquants est cette lutte, cette haine tout à fait scandaleuse et révoltante contre la liberté d'expression, via un combat acharné contre ce qui est nommé le "conspirationnisme" ou le "complotisme".
Les années 2020 seront sans doute identifiées dans l'Histoire comme une "période charnière" entre la fin d'un "ancien monde" et la naissance d'un "nouveau" dont les prémices se révèlent de plus en plus menaçants pour les libertés individuelles.
Nous estimons qu'il est pertinent, plus que jamais, de citer Antonio Gramsci :
"Le vieux monde se meurt, le nouveau est lent à apparaître. Et c'est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres".
Mais citons Karl Popper : "L'optimisme est toujours de rigueur".
Et nous-mêmes : "Restons citoyens, restons vigilants, mais, renonçons à la violence et à l'intolérance. Travaillons à sauvegarder la citoyenneté, à en améliorer le contenu et les pouvoirs, les libertés autant que les responsabilités".