lundi 24 avril 2023

L'idéologie "Arc-en-ciel" contre la famille, les enfants, la vie.

 




« Nul ne devrait mettre au monde des enfants s'il ne veut pas préserver jusqu'au bout leur nature et leur éducation »

 

PLATON



*         *



*         *


Il n'est dans la nature de personne que d'être "transgenre", ou d'accepter la pédophilie, et aucune pédophilie n'est acceptable. Il n'est pas dans la nature des enfants que de comprendre et d'accepter la sexualité des adultes et ses pratiques. Tout ce qui n'est pas dans la nature propre à un âge de vie concerné, est bien entendu, contre nature, et tout ce qui est contre nature, est par définition, pervers.



*



Le "fondateur" : Kinsey. Un psychopathe de la pire espèce. Mais, qu'aurait-il pu faire sans la délirante théorie de la "sexualité infantile" issue de la psychanalyse ? : 







En proférant de pareilles monstruosités, madame Badinter n'est rien de plus qu'un autre porte-voix des délires de la psychanalyse, notamment lacanienne. Mais elle est aussi une émule de Kinsey : 







*

Face à tous ces dingues, heureusement, certain(e)s ont encore la tête sur leurs épaules : 




*


Ariane Bilheran (à écouter d'urgence) : 




*            *           *


L'idéologie "arc-en-ciel", idéologie d'Etat, une horreur : 




...l'irrationnalité, la perversion, et le totalitarisme voient donc l'un de leurs nouveaux symboles saccager, spolier, un autre grand symbole de la République Française.


Voilà un exemple de comportement du genre de créatures que soutiennent ouvertement les ministres du gouvernement Macron, madame Elisabeth Borne, premier ministre, en tête. Et nous devrions tolérer cela, au nom de la "tolérance", de la "liberté", et du droit "d'être soi" ?... : 




... Ils sont aussi accueillis dans les institutions : 





*





*                   *       


A mes yeux, rester inactif, c'est donner un accord tacite à tout ça (l'idéologie "arc-en-ciel" et ses désastreuses conséquences). C'est donc être coupable.

Dans cette drôle d'existence (...), il y a un temps pour regarder le foot en poussant des rots de fromage devant la télé, pour certains, mais il y a aussi un temps qui doit être consacré à la vigilance et à l'action citoyenne. Ceux qui ne comprennent pas cela, ne sont pas des citoyens, ce sont des irresponsables ou des moutons. Malheureusement, leur inaction et leur irresponsabilité peut aussi contribuer à "faire l'histoire", pendant que les autres tentent de la faire d'une autre manière...

Il n'y a pas de "loi du destin" ou de prétendu loi inéluctable (historique) du destin qui puisse être "écrite" indépendamment des individus. Parce que  : "seul l'individu pense, seul l'individu raisonne, seul l'individu agit" (Ludwig Von Mises) ! 

Nous sommes tous, l'histoire en train de se faire. C'est donc à nous d'agir si nous voulons que certaines circonstances changent ou ne se produisent jamais.

Si les projets abjects de sexualisation des enfants et de légalisation de la pédophilie, ourdis par l'OMS, le WEF, et l'ONU, passent, alors, les pires crapules de ce monde n'auront plus aucun complexe à assumer "au grand jour" leurs "tendances", puis à nous accuser en voulant les combattre, de les "stigmatiser", ou d'user d'une "discrimination" qui serait soi-disant incompatible avec une nouvelle "morale" démocratique.

"Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair obscur, surgissent les monstres". (Antonio Gramsci).

Sous la blanche peau d'agneau de la défense de la liberté d'expression, de la liberté de création ou de la tolérance, la bête immonde tente son entrée dans la bergerie... Ne soyons pas faibles. Soyons moraux. Restons citoyens, restons vigilants, et soyons responsables : le monde ne change pas seul, et les idées n'ont aucun prétendu pouvoir autonome sur les individus, et qui soit indépendant de leurs pensées, de leurs raisonnements, et de leurs actions.



*           *


La famille, la vraie, la seule : 




*


Arc-en-ciel. C'est le drapeau de cette nouvelle idéologie qui regroupe les abjections, les monstruosités suivantes : le "wokisme" ; le "mariage" homo (lien) ; la "théorie du genre" (lien) : la légalisation de la pédophilie (lien).


*


Un exemple de l'horrible cauchemar que représente l'idéologie "arc-en-ciel" et la sexualisation des enfants. Voici un "livre pour enfants" typique de cette idéologie satanique : 













*


Autre exemple de monstruosité : la prétendue "éducation sexuelle" chez les très jeunes enfants, sur la base de la soi-disant "sexualité infantile"
 : 





Sophie AUDUGE : 








Tout adulte responsable, doué de raison et soucieux de la morale la plus élémentaire, a le devoir le plus absolu de condamner cette horreur. Vu les circonstances, il incombe désormais à tous les citoyens éclairés que de manifester, en masse, leur indignation et leur détermination les plus grandes à s'opposer, coûte que coûte, à tout nouveau développement, expansion et intrusion de ce cauchemar dans la vie sociale, et bien sûr chez la jeunesse. 

Tout citoyen éclairé et responsable doit prendre les armes de la raison, de la critique et aller harceler, si le faut, les gouvernants, sur les réseaux sociaux, par courrier, par pétition, etc. afin qu'ils ne puissent éviter de tenir compte du refus catégorique et parfaitement justifié de toute la population à non seulement s'opposer, mais à éradiquer définitivement ce cauchemar.

Tout citoyen qui ne serait motivé dans ce but : protéger la jeunesse de ces horreurs, la sortir pour toujours de cet univers cauchemardesque et satanique qu'est l'idéologie "arc-en-ciel", doit désormais être considéré comme complice, donc comme coupable.

Un enseignant qui n'a ni la lucidité, ni le courage de dénoncer, puis de s'opposer ouvertement, contre sa hiérarchie qui le lui imposerait, à ce genre d'horreur, et qui n'a pas davantage la volonté d'en informer et de convaincre les parents d'élèves et ses collègues qu'ils doivent, eux aussi, la dénoncer et s'y opposer, est complice. Et, s'il est complice, il est aussi coupable.





          *       


Les nouvelles initiatives du Forum Economique Mondial, sous la houlette de Klaus Schwab... :   





*          *         *


Résumé (sur la théorie du genre) : 

Aucune "nouvelle" théorie du genre ne peut réfuter la théorie du genre concurrente fondée sur deux sexes biologiques, en prétendant que la seconde est réfutée parce qu'incomplète, ou moins riche en contenu corroboré sur la connaissance objective de la sexualité humaine que la "nouvelle" (la première), sans l'avoir affrontée sur le même terrain : la biologie

Autrement dit : la "nouvelle" théorie du genre ne peut prétendre avoir "enrichi" le contenu de la connaissance sur la sexualité humaine, sans avoir démontré l'incomplétude (réfuté) de sa théorie concurrente, sur son terrain : la biologie, puisque seul ce champ de recherche permet des tests fondés sur des faits biologiques

Pour reprendre l'expression de Karl Popper, la théorie du genre valide, fondée sur deux sexes biologiques, mâle et femelle, ne sera jamais un "cas limite" d'une "nouvelle" théorie, à l'exemple de la théorie de Newton devenue un "cas limite" de celle d'Einstein, plus complète et descriptive. Et c'est bien en reprenant les éléments du champ de recherche de la théorie newtonienne qu'Albert Einstein a réfuté la théorie de Newton, et non à partir de la psychologie, ou de la sociologie ou d'un autre champ de recherche scientifique.

Pour qu'une telle réfutation de la théorie du genre fondée sur deux sexes seulement soit valide, il faudrait donc que la "nouvelle" théorie démontre l'incomplétude de la précédente, selon des tests apportant la preuve (biologique) d'un "troisième sexe" (ou de plusieurs autres !...), mais qui soient eux aussi de nature biologique, ce qui est manifestement, totalement impossible : il n'y a aucun être humain qui puisse naître, normalement, avec autre chose qu'un pénis, si c'est un homme, ou un vagin, si c'est une femme.. (Personne ne verra très probablement jamais un être humain naître avec un organe génital qui pourrait ressembler à tout ce qu'un esprit farfelu pourrait imaginer et qui ne soit en rien semblable à un pénis ou un vagin ; ou peut-être quelque chose d'autre que l'on ne peut observer que dans le règne animal...).

Par conséquent, la "nouvelle" théorie du genre n'a d'autre recours que l'utilisation d'hypothèses "ad hoc". "Selon Popper, une explication est ad hoc si elle est imaginée pour répondre à un problème particulier et n'est pas testable indépendamment de ce dont elle est censée rendre compte : elle ne permet d'effectuer aucune autre prédiction que celle du phénomène qu'elle est censée (contribuer à) expliquer" (Google). En outre, cette "nouvelle" théorie est aussi contrainte d'utiliser des affirmations déterministes irréfutables et qui ne peuvent être fondées sur des faits biologiques, mais relevant exclusivement de la sphère psychologique ou sociale

Ensuite, les partisans de la "nouvelle" théorie du genre, étant dans l'impossibilité de la tester de manière valide sont obligés d'avoir recours, comme outils de propagande, au relativisme, (ils croient pouvoir défendre l'idée que la vérité scientifique n'est pas, ou n'est plus la "seule" vérité admissible, mais qu'il y en aurait une autre qui puisse l'être, même si elle n'a pas été mise à l'épreuve...), et aussi à l'intolérance à toute critique. Ils ne peuvent être que dogmatiques.

Puisque tout espoir d'imposer la "nouvelle" théorie du genre par la voie de la Science est donc vain, il ne reste donc plus que l'idéologie, la propagande, l'intimidation, le terrorisme intellectuel, l'appel aux émotions, la stigmatisation des critiques par des accusations de "haine" contre les transgenres, de "fascisme biologique", etc., etc.


1. Artéfacts.

Nos gouvernants fêtaient, hier, le 23 avril 2023, les 10 ans du "mariage pour tous". Nous aimerions leurs rappeler ceci :

La société humaine se fonde primordialement sur la biologie et ne peut être pérenne sans la morale. La biologie, c'est-à-dire, le couple hétérosexuel. Pour faire une société humaine, il faut un homme et une femme. Deux personnes du même sexe, ou du même genre, ne peuvent pas procréer. 

Il n'y a aucune théorie qui prétende décrire des faits, qui n'ait pu éviter d'être mise à l'épreuve des faits, et qui ait résisté, provisoirement, à une ou plusieurs mises à l'épreuve (tentatives de réfutation indépendantes et contrôlées de manière intersubjective dans un cadre scientifique au préalable institutionnellement reconnu). 

Donc, toute théorie qui n'est pas susceptible d'être mise à l'épreuve des faits, ne peut prétendre rendre compte d'aucun fait, elle est métaphysique. 

Mais, si l'on veut, il est toujours possible de trouver une quantité de confirmations pour n'importe quelle théorie, sachant que les confirmations sont ce qui est directement déductible à partir de ce qui est déjà énoncé a priori par une théorie. Par exemple : "je vois, ici, un cygne blanc", n'est qu'une confirmation de la théorie énoncée préalablement : "tous les cygnes sont blancs". Karl Popper démontre, dans "La logique de la découverte scientifique", que les confirmations toujours déductibles à la lumière de ce qu'énonce a priori une théorie ne peuvent, en aucun cas, en constituer des preuves valides, admissibles, de sa portée descriptive, ou même des "justifications" de son fondement.

Donc, il n'y a pas de définition du "genre" qui puisse éviter d'être fondée sur la biologie, autrement dit, sur des faits empiriques dont les descriptions théoriques sont bien corroborées par la Science. Toute autre tentative de définition du "genre" n'est que pure construction intellectuelle sans fondement. 

Il n'y a donc que deux sexes. 

La sexualité ne peut être un prétendu "spectre" ni évoluer "en fonction d'un spectre" (...) : ces dernières et récentes affirmations de propagandistes de la théorie du genre ne sont que des absurdités pseudo-scientifiques

Ce n'est pas parce que l'individu peut subir des troubles mentaux de façon variable ou permanente pendant son existence, lesquels l'engageraient à croire que sa sexualité aurait changé, qu'elle change effectivement, en nature. Ce n'est donc pas parce qu'un individu "sentirait" qu'il a changé d'orientation sexuelle ou qu'il "se sent comme une femme" (...) que ses impressions ou ses sensations, ou même ses représentations cognitives sont admissibles dans la sphère de ce qui est "normal". Au contraire, cela relève du pathologique. En somme, personne ne peut soi-disant voir sa sexualité évoluer au cours de son existence, ou "changer", ou "muter", sans que cela ne soit dû à des causes pathologiques en rapport avec la biologie cérébrale. 

Si l'on devait admettre une "théorie psychique" de la sexualité, cette théorie ne pourrait être détachée de tout ancrage sur la biologie, sinon elle serait absurde ou métaphysique. Il n'y a donc pas de soi-disants "faits psychiques" qui soit admissibles sans être ancrés sur des faits biologiques, puisque toute activité "mentale" est impossible sans la présence du système nerveux central...Pour les incrédules : emmenez donc un patient dans un bloc chirurgical, ôtez-lui les zones cérébrales dédiées à la parole, et ensuite, demandez-lui de parler...Et pour les irréductibles : faites donc la même chose avec les zones cérébrales dédiées aux rêves (lien), et demandez-lui de vous raconter l'un de ses rêves...

Binswanger à Sigmund Freud : "l'inconscient n'est que métaphysique, et nous le tenons pour réel".

Toute autre manière d'envisager la sexualité en dehors de la référence à la biologie ne peut donc être que métaphysique et arbitraire. Et, il n'est pas possible de soi-disant "changer de sexe". 

Il est parfaitement absurde et délirant que ce qui relève de la maladie mentale ou du criminel puisse tout à coup être normalisé pour se croire validé puis autorisé à s'attribuer indûment le pouvoir de faire croire qu'il est admissible de créer des phrases, des théories, des absurdités et qu'ensuite ce soit la Nature qui devrait être comme "relue", "reconsidérée", réinterprétée en fonctions d'elles, quitte à en dire n'importe quoi et à rebours des données scientifiques les mieux corroborées, même si, de toute évidence, la Nature correctement interprétée par la Science a toujours dit : "non" et dira toujours : "non" à ces absurdités ! 

Ceux qui se croiraient plus malicieux et provocateurs nous rétorqueraient que Popper avait indiscutablement raison en démontrant que la Nature n'a jamais "parlé" d'elle-même à l'être humain ni ne lui parlera jamais, et ils auraient raison, sur ce point général qui concerne évidemment la Science. Et, partant de l'argument de Popper, bien mal utilisé, ils justifieraient donc qu'ils ont le droit d'interpréter la Nature à leur guise, pour les besoins de leur propagande idéologique ! Seulement, tous ces gens-là oublient cette chose pourtant fondamentale : quand nous disons : "la Nature a toujours  dit : "non" !, cela veut dire évidemment, que les lois de la nature scientifiquement corroborées auxquelles cette affirmation fait allusion, ont acquis un tel niveau de corroboration, que la seule manière pour qu'elles soient réfutées est que l'on puisse un jour observer un être humain qui change de biologie sexuelle, naturellement, et sans aucune intervention, bien entendu artificielle !

La théorie du genre, et le "mariage homosexuel" ne sont que des artéfacts : "des créations d'origine humaine, artificielles, intervenant dans l'étude de faits naturels ; produit de l'art ou de l'industrie humaine". Ils ne sont pas "la Nature" (humaine), ils ne sont que des constructions intellectuelles motivées par une idéologie qui croit pouvoir rendre conforme, dans les faits, la Nature, à ce que cette idéologie énonce en totale contradiction avec elle. Il s'agit, ni plus, ni moins, que d'une sorte de "réécriture" ou de réinterprétation arbitraire et même autoritaire des faits de la Nature les mieux corroborés, c'est-à-dire, au mépris de toutes les avancées authentiquement scientifiques, voire du seul bon sens. 

Mais ce sont aussi des artéfacts élaborés au mépris de la morale fondatrice de toute société humaine et garante de sa pérennité. En effet, s'il on admet que selon la philosophie libérale du droit naturel, une loi (juridique) est bonne si elle est conforme à la Nature, (par exemple, à ce que fournissent les sciences de la nature en terme de connaissances et de descriptions objectives des faits), et est donc jugée apte à participer à la pérennité de la société, alors, ces artéfacts sont à rejeter sans condition.

Autre exemple : toutes les théories fondatrices de la psychanalyse, "l'inconscient", le "refoulé", la "sexualité infantile"(lien), etc. ne sont aussi que des artéfacts, mais de nature métaphysique en ce qu'ils sont tous dépourvus de toute qualité scientifique : aucun d'eux n'est scientifiquement réfutable (lien).

La théorie du genre va sans doute aussi loin que la psychanalyse dans l'absurdité : c'est une sorte de "summum" de l'absurdité. En effet, pour que certains affirment désormais devant des enfants qu'il existerait "73 sexes" (...), et se trouvant bien sûr dans l'impossibilité d'en fournir la moindre preuve scientifique valide, ils sont contraints, comme les psychanalystes, de "lire" ou de "réécrire" la Nature en fonction de leur artéfact délirant et a priori, mais, même en procédant de cette façon, les "confirmations" qu'ils désignent pour faire croire que leur théorie est "prouvée", sont elles aussi des observations que seuls les esprits malades peuvent réaliser (lien).

Les propagandistes de la "théorie du genre" peuvent donc, eux aussi, (comme les psychanalystes), être qualifiés "d'hégéliens" (Hegel), parce qu'ils appliquent la même méthode erronée de Hegel, lequel écrivait : "tout ce qui est rationnel est réel, et tout ce qui est réel est rationnel". Répétons encore que ce n'est pas parce que l'on peut toujours échafauder une construction purement intellectuelle, (ce qui relève du "rationnel"), qu'un tel échafaudage doit être admis, d'emblée, comme indubitablement conforme à certains faits, ou qu'il a l'étrange pouvoir de rendre les faits, (ce qui relève du "réel"), indubitablement conformes avec ce qui est énoncé a priori de toute mise à l'épreuve par des tests.

Nous ne nions pas que la conception usuelle du genre, fondée sur la biologie, (laquelle n'admet que deux sexes), puisse donc être réfutée, à première vue (...), par la "théorie du genre", par laquelle certains de ses promoteurs affirment qu'il en existe bien plus que deux... 

Il y a donc bien deux "théories du genre" en concurrence : celle fondée sur deux sexes biologiques, et l'autre qui affirme que le genre n'est pas "que de la biologie", théorie qui ne peut éviter d'envisager que la sexualité elle aussi ne serait pas "que de la biologie", c'est-à-dire qu'elle pourrait être détachée de tout déterminisme biologique. 

Mais, comme nous l'avons déjà évoqué plus haut, c'est là que se situe le problème : les partisans de la nouvelle "théorie du genre" doivent démontrer par des preuves scientifiques que notre première théorie fondée biologiquement sur uniquement deux sexes, peut donc être réfutée sur la base de preuves de nouveaux déterminismes biologiques qui soient directement liés à la sexualité, autrement dit, à la procréation.

Face à un tel défi insurmontable, les promoteurs de la nouvelle "théorie du genre" n'ont donc pas d'autre choix que l'utilisation d'hypothèses ad hoc, mais traitées comme des faits avérés : ils utilisent des arguments non biologiques de manière dogmatique et même farfelue, pour immuniser leur théorie de la réfutation

En somme, ils croient que leur théorie peut elle-même réfuter la théorie du genre biologiquement fondée sur deux sexes, même si aucun test empirique n'est possible, (donc, même si aucune réfutation empirique n'est possible), sans même être en mesure de prouver de manière scientifique que leur propre théorie a pu résister à des mises à l'épreuve valides. Autrement dit, ils ne semblent pas se rendre compte ou accepter que leur nouvelle conception du "genre" ne peut pas mise être en concurrence avec la première, biologiquement fondée depuis toujours...

Nous souhaiterions donc opposer aux partisans de la nouvelle "théorie du genre", en quoi consiste vraiment la "réfutabilité scientifique" (lien), ce qui leurs montrerait qu'il ne suffit pas qu'une théorie soit logiquement réfutable, pour qu'elle soit aussi empiriquement, puis méthdologiquement réfutable, et par conséquent admissible d'un point de vue scientifique : la seule réfutabilité logique d'une théorie, ne peut pas garantir un caractère objectif et démontré comme correspondant aux faits, et qui puisse être admis par une communauté scientifique. La réfutabilité scientifique exige ces trois niveaux, tous chronologiquement nécessaires mais jamais suffisants : 1. réfutabilité logique ; 2. réfutabilité empirique ; 3. réfutabilité méthodologique.


*


2. Sexualité.

La sexualité c'est de la biologie, et rien d'autre que de la biologie, mais une pseudo-science comme la psychanalyse en a fait un véritable "concept fourre-tout" c'est bien le cas de le dire... C'est ce qui se rapporte uniquement aux mécanismes de la reproduction. Le désir permet la sexualité, mais ne participe pas directement au mécanisme biologique de la reproduction (pénétration du spermatozoïde dans l'ovocyte), il n'est donc pas de la sexualité, bien qu'il ne fonctionne pas non plus sans la biologie. Le plaisir, est aussi un mécanisme biologique, lequel peut être déclenché par la sensualité et associé biologiquement à la sexualité. 

La sensualité, c'est-à-dire, la recherche du plaisir en tant que telle peut participer, accompagner l'acte de reproduction. La sensualité n'aboutit donc pas systématiquement à de la "sexualité". Par exemple, un homme et une femme peuvent avoir un rapport qui engage leurs organes génitaux, avec pénétration et même éjaculation de l'homme, cependant, cela n'aboutit pas toujours à la sexualité, c'est-à-dire à la procréation, si la femme, par exemple, est stérile (ou l'homme). 

Nous avons dit que la sensualité n'est pas systématiquement de la sexualité. Par exemple, une femme peut malheureusement être violée, donc n'éprouver aucun plaisir, et pourtant, il peut y avoir sexualité, c'est-à-dire qu'elle peut devenir enceinte. Ce que nous nommons "organes sexuels" par le pénis et le vagin, ne sont pas en réalité les "organes sexuels", ce sont des organes génitaux qui permettent l'acte sexuel (pénétration du spermatozoïde dans l'ovocyte)

La sexualité, "l'acte sexuel", est donc la pénétration d'un spermatozoïde dans l'ovocyte (lien) et ce n'est que cela : ce n'est pas parce qu'un homme pénètre une femme avec son pénis et éjacule que cela va donner un acte sexuel réussit. Comme nous l'avons dit, il se peut que la femme ou l'homme, soit stérile. Il peut donc y avoir une relation génitale entre un homme et une femme, c'est-à-dire une relation qui engage leurs organes génitaux respectifs, sans qu'il y ait de relation sexuelle parce que cela n'aboutit pas à la reproduction, c'est-à-dire à la pénétration d'un spermatozoïde dans l'ovocyte.

Par conséquent, il ne peut y avoir, et c'est évident, aucun prétendu "acte sexuel" dans un couple de même sexe. Seul un couple hétérosexuel est potentiellement "sexué", jamais un couple homosexuel. Il n'y a donc pas, à proprement parler "d'homosexualité". Un couple d'homosexuels peut éprouver du plaisir grâce à la sensualité  mais jamais de réelle sexualité : il ne peut pas procréer. Dès lors, au lieu "d'homosexualité", il semblerait pertinent de parler "d'homosensualité", étant donné que ceux que l'on nomme à tort, "homosexuels" ne peuvent être capables, en nature, que de la recherche du plaisir, (définition même de la sensualité), et d'aucune sexualité.

Le mariage est une tradition multi séculaire qui permet au couple hétérosexuel de fonder une famille, donc de procréer pour avoir des enfants. C'est dans ce but qu'il prend toute sa signification, toute sa raison d'être. Le mariage est donc biologiquement fondé depuis toujours. Le prétendu "mariage" homosexuel n'est donc fondé sur rien qui soit conforme à la nature, c'est-à-dire à la biologie. Certes, les sentiments sont importants, comme le sentiment amoureux, et on peut même les considérer comme fondamentaux. Cependant, ils ne suffisent pas à justifier de l'usage du terme de "mariage" au même titre que ce terme est utilisé pour les couples hétérosexuels. 

La sodomie, pratiquée par les couples homosexuels hommes, (mais qui peut aussi être pratiquée par les couples hétérosexuels), n'est pas un "acte sexuel" puisque aucune procréation ne peut en résulter. Ce n'est d'ailleurs même pas une relation que l'on pourrait qualifier de "génitale" : le rectum n'est pas un organe génital, la nature ne l'a pas prévu pour la pénétration, que ce soit chez l'homme ou la femme. Dans le couple dit "homosexuel" ou le couple hétérosexuel, cette pratique est donc, dans les deux cas, un acte contre nature, et par définition, ce qui est contre nature est indiscutablement pervers. Et nous écrirons que c'est même un acte barbare, qui relève d'une forme de barbarie, d'humiliation, et d'atteinte des plus graves à la personne humaine. Chez les couples "homosexuels" ou hétérosexuels, il n'est donc pas normal et même  pervers que de souhaiter sodomiser ou être sodomisé.

En conséquence de ce qui précède au sujet du problème traité, nous  considèrerons librement que le véritable amour n'est également jamais contre nature : il ne souhaite jamais humilier l'autre, lui infliger des souffrances physiques ou mentales, des formes de soumission, de domination, le pousser au crime, etc. Il nous semble donc permis de douter de la valeur de sentiments qualifiés "d'amoureux" dans un couple "d'homosexuels" ou d'hétérosexuels qui pratiquent la sodomie.

Ce n'est pas facile de parler de ces problèmes tant ils sont dénués d'attrait. C'est, de surcroît, un domaine indisposant, gênant, et lorsque l'on tente de le décrire, il faut se faire violence. Parce que nous croyons qu'il n'est pas dans la nature de l'être humain que de parler volontairement et publiquement des problèmes qui touchent à la sphère de la plus stricte intimité. Mais, hélas, un devoir moral et citoyen nous y pousse, parce que des adultes tentent de plus en plus d'endoctriner la jeunesse pour une adhésion à des pratiques dites "sexuelles", voire "sensuelles", qui en réalité, ne le sont pas du tout : ce sont des pratiques perverses, voire barbares.

Ce qui est écoeurant, bestial et barbare devrait donc aujourd'hui être revêtu sans condition, (sous peine d'accusation de fascisme, d'intolérance, ou de motivations liberticides), par les habits contemporains de "l'esthétique", du "tendre", du "sensuel", de "l'épanouissement", ou de "l'amour" !? L'autre problème, c'est qu'en osant exposer ces problèmes, d'aucun nous attribueraient je ne sais quel "exhibitionnisme suggestif" (..?). Et si nous les abordons comme nous l'avons fait, d'autres nous infligeraient encore l'accusation d'une prétendue "honte immature", ou de manière plus ridicule, de développer des arguments "réactionnaires" ou "passéistes" !... Et quoi d'autre ?...

Pour ces nouveaux "modernes" (...), ces partisans de la "théorie du genre", du "mariage homosexuel", et de légalisation de la pédophilie, ce qui est parfaitement naturel depuis que le monde est monde, devrait donc, en quelques constructions intellectuelles délirantes et motivées par des intentions criminelles sinon diaboliques  imposées par le terrorisme intellectuel, la désinformation, la propagande mensongère, la manipulation des consciences, et l'invasion dans les médias consentants, être jeté en quelques années seulement aux oubliettes,  et dénié en totalité, malgré le fait que cela a toujours été constitutif de la nature humaine, non seulement dans sa biologie, sa morale, mais aussi dans ses comportements sociaux les plus normaux et constructifs.

Face à de tels "révolutionnaires" (...) partisans de la technique de la tabula rasa et dans une telle situation sociale contemporaine, les politiques semblent avoir abandonné leur lucidité et leur sens de la responsabilité citoyenne et morale au déterminisme soi-disant indépendant et autonome d'un seul agent possible : la "société". "Il faudrait suivre la société" et non lui résister dans ce qu'elle produirait d'indésirable. Ce qui se passe, avec l'avènement de toute cette mouvance idéologique "arc-en-ciel", devrait donc être admis comme un phénomène quasi inéluctable, une "autorité-objective-au-dessus-de-tous", une sorte de "loi de l'histoire en marche" que chacun devrait suivre à moins d'être taxé de "passéiste", de "réactionnaire", etc., etc.. 

Mais ces politiques irresponsables et historicistes, oublient sans doute  que la "société" envisagée sous un terme collectif et détaché de ce qui la compose, mais qui serait pourtant agissante malgré les individus, y compris les décideurs, cela n'existe tout simplement pas, cela n'a jamais existé ni n'existera jamais. Parce que, faut-il encore le rappeler : "seul l'individu pense, seul l'individu raisonne, seul l'individu agit" (Ludwig Von Mises). Ceci implique, évidemment, que les décideurs politiques, les idéologues de tout poil, les citoyens inactifs et endormis, les propagandistes, sont les seuls, les premiers responsables de ce que devient la société et de ce qu'est l'histoire en train de se faire

Ce sont des irresponsables, des malveillants ou des délirants qui ont construit la "théorie du genre", le "mariage pour tous", la légalisation de la pédophilie, le projet de rendre les plus jeunes conscients de leur soi-disant "potentiel sexuel" ; ce sont eux qui ont instillé toutes ces aberrations dans les esprits d'individus influençables ou incapables d'analyse critique, et, tous ensembles, ce sont eux aussi, la "société". Ces gens-là existent, ils peuvent donc voir leurs idées invalidées et réfutées selon des arguments rationnels et imparables. Par l'action citoyenne collective et éclairée, ils peuvent voir mis en échec tous leurs projets malveillants contre ceux qu'ils n'ont pas encore réussi à endoctriner, et même contre ceux qui sont déjà victimes de leur endoctrinement.


*


3. "mariage" homosexuel : 

Ce qui nous choque, et que nous trouvons inacceptable, c'est surtout l'emploi du terme "mariage". Parce qu'après tout, nous considérons que les homosexuels doivent pouvoir bénéficier des mêmes droits que les autres. Dès lors, ne pourrait-on faire usage d'un autre mot ? 

Il est évident pour nous qu'eux aussi participent à la pérennité de la société et sous divers aspects, selon de multiples activités, professionnelles, artistiques ou sportives, etc. qui lui sont bénéfiques, au même niveau que les hétérosexuels. 

Dans l'histoire, les exemples d'homosexuels qui ont fait preuve d'un courage et d'une intelligence inouïs pour le bien de la société, dans le but de protéger la liberté, la tolérance, et de concourir au progrès culturel, abondent. Il y a toujours eu des homosexuels, et il relève selon nous du délire le plus stupide que de prétendre pouvoir soi-disant éradiquer un jour l'homosexualité, comme c'était le souhait de l'Allemagne nazie... 

En effet, il n'existera jamais aucun type de connaissance sur la nature, sur l'être humain, ou sur les choses matérielles qui puisse se fonder sur une résolution, (définitivement impossible), du problème de l'exactitude donc de l'absolue précision dans toute mesure empirique (Cf. Karl Popper, "La logique de la découverte scientifique", section 37). Ce qui implique que nos connaissances, les plus abouties et corroborées par les tests les plus sévères qui soient, seront toujours faillibles et ne nous donneront donc jamais l'accès à une connaissance certaine et définitive  (lien), laquelle nous permettrait de fonder des projets politiques sur cette base soi disant "ultime", pour nous croire capables de prédire et contrarier à coup sûr l'émergence d'individus homosexuels, et pire encore, d'empêcher à coup sûr et pour toujours que ne revienne l'homosexualité, après avoir cru l'éliminer définitivement.... 

Nous ne contrôlerons donc jamais l'émergence toujours possible de différences aussi minimes soient-elles, ne serait-ce qu'entre deux individus. Et il nous sera donc tout aussi impossible de rendre les individus aussi prévisibles et dociles que de simples "horloges".

Bref, ce que nous démontre l'épistémologie fondée sur la logique, c'est un paradoxe "gigantesque" : la seule chose dont nous pouvons être absolument sûrs et certains pour toujours, c'est justement que nous n'atteindrons jamais aucune certitude sur tout type de connaissance qui prétende s'appliquer à la nature, à l'être humain ou aux choses matérielles. L'indéterminisme ne sera donc jamais abrogé en totalité, c'est impossible.

Les homosexuels ont-ils le droit d'adopter des enfants ? A priori, certaines connaissances cliniques plaident plutôt dans la négative. Mais quel recul avons-nous sur cette question ? Où sont les prétendues catastrophes sociales de grande ampleur qui se profilent à l'horizon à cause de l'adoption d'enfants par des couples homosexuels ? Bref, sur ce problème, nous préférons encore rester dans la réserve, et nous avons conscience d'un besoin d'information plus scientifique et/ou clinique qui soit mieux corroborée, bien que nous soyons fortement tentés de répondre par la négative : la présence d'une mère et d'un père biologiques est indispensable au développement du jeune enfant, de nombreuses études cliniques le démontrent depuis longtemps.

Mais au fond, sans aucun doute que contre l'adoption par des couples "homos", il suffit de se référer, tout simplement au bon sens que voici (lien).

Cependant, c'est une vraie catastrophe sociale qui se dessine clairement à l'horizon si l'on accepte la sexualisation des enfants dès le plus jeune âge dans les écoles, et si l'on ne stoppe pas l'idéologie "LBGT" et les projets abjects de l'OMS et de l'ONU. C'est déjà une catastrophe que d'avoir "dépathologisé" (...) les personnes transgenres, alors que ce sont des personnes malades qui ont besoin d'aide, qui ont besoin de soins médicaux. Reconnaître que ces personnes sont malades,  n'est pas une forme de discrimination, dans le sens de leurs refuser l'accès aux mêmes droits que les autres. 

Toutefois, une distinction de nature médicale doit être faite : l'on ne peut confondre le normal et le pathologique. Et même si les termes "distinction" et "discrimination" peuvent être synonymes, discriminer sur le plan strictement médical n'implique pas nécessairement priver des droits sociaux, restreindre les libertés, enfermer ou condamner, comme dans le cas de la pédophilie. Par conséquent, une discrimination médicale doit être réalisée en faveur des transgenres. En leur faveur, et de façon bienveillante, dans la mesure où il s'agit de les soigner le plus tôt possible, pour mettre fin à leurs souffrances.

Mais, dès lors que des transgenres se disent normaux et qu'ils pensent justifier de convaincre les esprits les plus influençables, ils doivent alors être discriminés d'un point de vue juridique, et condamnés. Ils ne doivent pas tenter d'influencer, d'endoctriner la jeunesse ou les parents à la propagande LBGT. Toute contagion sociale de leur maladie, via la propagande, doit être stoppée, non par la violence, mais par l'information des parents et des enfants et par la déconstruction, c'est-à-dire, l'invalidation et la réfutation des arguments de leur propagande.

Les homosexuels ont, eux aussi, les mêmes droits que toute autre personne, (quoique nous leurs contestons le droit d'adopter des enfants), mais, comme pour les "transgenres", ils ne devraient faire aucun usage d'aucune propagande auprès de la jeunesse ou des parents pour les convaincre "qu'être homosexuel c'est naturel, ou c'est normal". Aucune contagion sociale par l'homosexualité ou la théorie du genre ne devrait toucher la jeunesse, et la responsabilité d'un gouvernement devrait consister à  protéger l'Ecole, notamment, de toute contagion sociale de ce type.

Nous avons parlé plus haut d'un sujet pour le mois scabreux : la sodomie. Pourtant, nous avons beaucoup de mal à croire que tous les  homosexuels qui peuvent tout à fait être des personnes rationnelles et sincèrement motivées par le respect d'autrui et toutes les autres valeurs morales en lesquelles nous croyons, puissent vraiment tous être tentés par cette pratique. A ce propos, il serait tout aussi stupide de prétendre supprimer ou éradiquer totalement la sodomie : cela impliquerait un contrôle si intime des personnes, (et sans doute impossible, bien sûr), que nous verserions un peu plus dans cette autre intolérable perversion sociale qu'est le totalitarisme

Cependant, il nous est insupportable d'envisager qu'elle finisse par être admise dans le champ de ce qui est considéré comme "normal" ou "naturel" dans tout l'univers des pratiques dites "sexuelles", et plus encore, qu'elle touche les enfants. Cette pratique ne peut donc être soi-disant éradiquée, un tel projet est selon nous impossible, mais l'on peut informer, éduquer les gens, et en priorité les parents... En somme, selon nous, être homosexuel n'implique pas de manière sine qua non une  motivation qui serait "innée" ou soi-disant "naturelle" à une telle pratique  : il n'est pas du tout certain que les "homosexuels" aient un besoin irrépressible de la sodomie, et si c'était le cas, alors, être "homosexuel", c'est être malade, ce n'est jamais quelque chose qui pourrait être admissible dans la sphère du normal. Pour y revenir encore : il ne peut être normal de souhaiter des pratiques indiscutablement contre nature, donc perverses.


4. Retour sur la "théorie du genre" : 

A écouter absolument. Un excellent documentaire très complet sur la problématique "transgenre". Aucun sensationnalisme ni catastrophisme. Aucune outrance. Uniquement des arguments sérieux et fondés sur des faits et sur la science. Ce document devrait être visionné par tous les parents et les enseignants :




Contrairement à ce que nous dit l'OMS, la dysphorie de genre est une maladie mentale, et les personnes qui se disent "genrées" doivent être aidées, soignées, prises en charge par des psychiatres, des psychologues, puis les médecins scolaires. L'on ne peut les exclure de l'Ecole, (quoique certains cas particulièrement graves devraient être exclus jusqu'à guérison), mais ce qui doit en être exclu c'est toute propagande consistant à continuer de leur faire croire que la dysphorie du genre "c'est normal". 

 

Bref, les pauvres enfants endoctrinés et "genrés" doivent être accueillis un peu comme l'on accueille les enfants autistes, (bien que leur problème n'ait rien à voir avec le trouble autistique), ou autres handicapés. Il faut concéder qu'il n'est hélas pas nécessaire d'être endoctriné pour se sentir "genré", puisque selon les psychiatres et psychologues, cette maladie peut s'observer très tôt dans l'enfance. Mais l'on ne peut nier aujourd'hui, l'influence de toute une propagande inadmissible qui tend à convaincre les parents puis certains enfants qu'ils seraient fondés à se croire, tout à coup (...), "genrés"... Alors, "être trans" ? : c'est à la fois une maladie et le produit d'une "contagion sociale", conséquence d'une propagande "transgenre".


L'Ecole ne doit pas devenir un lieu de "contagion sociale" où sont inoculées (...) et propagées les absurdités qui naissent en dehors d'elle. Au contraire, l'Ecole doit former les citoyens à identifier et à se prémunir contre ces "contagions sociales".



*


Des malades, des psychopathes. 

Et les décideurs qui les cautionnent sont encore pires. 

Je vous le dis, franchement : si vous trouvez que tout cela est acceptable, et qu'il ne faut pas tous se lever pour éradiquer ces monstruosités de l'espace public et empêcher à tout prix qu'elles n'influencent nos enfants, c'est que vous ne valez pas mieux que ceux qui en font leur propagande. 

A mes yeux, rester inactif, c'est donner un accord tacite à tout ça. C'est donc être coupable :



Si vous trouvez que ce que l'on voit sur cette photo n'est pas abject et ne devrait plus JAMAIS se produire, et si, de surcroît vous prétendiez faire valoir des "arguments" pour le défendre, ne vous risquez pas à venir m'adresser la parole. On peut toujours discuter avec des gens qui sont doués de raison et comprennent pourquoi la morale est l'une des conditions sine qua non pour la pérennité de toute société humaine, mais avec ceux qui ont abandonné leur raison et la morale à des décideurs psychopathes, ce n'est plus du ressort de la discussion, mais de celui des psychiatres ou des tribunaux.


*


4. Pédophilie : 

La pédophilie est indiscutablement une monstruosité (lien). C'est sans aucun doute l'une des pires monstruosités chez l'être humain et celle qui hélas peut aboutir aux crimes les plus horribles qui soient. La pédophilie est indiscutablement une perversion, elle est contre nature. Elle doit être combattue, et même toute personne normale, tout citoyen responsable a le devoir de la dénoncer et à être motivé à l'éradiquer de la société.

Pourtant, une organisation juridique dépendante de l'ONU et regroupant des juristes qualifiés a émis ce texte (lien) où l'on retrouve les principales idéologies promues par la mouvance au drapeau arc-en-ciel.

En voici quelques extraits, dont certains, monstrueux, sont dénués de toute équivoque s'agissant d'une tentative de légalisation de la pédophilie : 


Le texte de l'ONU pour la "normalisation" de la pédophilie, (en autres choses...). Je vous laisse naviguer dans tout le cortège d'absurdités que contient ce texte. Mais en voici une, page 11, alinéa b sur les adolescents...(voir plus bas) :

 

"Concerned that, when criminal law discriminates on grounds prohibited by international human rights law, criminalization often serves to signal which groups are considered deserving of protection and which warrant condemnation in a society, and that, in such circumstances, criminal proscription reinforces structural inequalities, codifies discriminatory attitudes, vests them with power of the law, and sanctions stigmatization, causing extensive societal harm"

 

"Equally concerned that these harms typically manifest through a pattern of discriminatory criminal law enforcement against certain groups identified with the proscribed conduct, such as by targeting them for arrests and surveillance, or through selective and arbitrary prosecution of targeted minorities;


Further concerned that the stigmatizing effects of criminal law drive hostility, exclusion, inequality, discrimination and marginalization of both individuals and groups, sometimes to the point of violence, to the detriment of human rights, democratic values and social inclusion at local, national and global levels"

 

Nous y voilà : 

 

« Acknowledging that the absence of consent may give rise to criminal liability for the conduct concerned;

Emphasizing that, with respect to the application of criminal law in connection with consent, international human rights law requires paying due regard to:

a) the legal capacity of people with disabilities to consent, including through

supported decision-making;

b) adolescents evolving capacity to consent in certain contexts, in fact, even if not in law, when they are below the prescribed minimum age of consent in domestic

law; and

c) non-discrimination and equality with respect to sex, sexual orientation, gender

identity, gender expression, race, disability and other protected fundamental characteristics; »

 

Traduction : 

 

« Reconnaissant que l'absence de consentement peut engager la responsabilité pénale pour le comportement en cause ;

Soulignant qu'en ce qui concerne l'application du droit pénal en rapport avec le consentement, le droit international des droits de l'homme exige de tenir dûment compte :


a) la capacité juridique des personnes handicapées à consentir, y compris par

prise de décision assistée;

b) la capacité évolutive des adolescents à consentir dans certains contextes, en fait, même si ce n'est pas en droit, lorsqu'ils sont en dessous de l'âge minimum de consentement prescrit dans les

loi; et

c) non-discrimination et égalité en matière de sexe, d'orientation sexuelle, de genre

identité, expression de genre, race, handicap et autres caractéristiques fondamentales protégées ; »

 

Voir aussi, page 21, au début, alinéa b (!...).

 

Page 22 (au début) !! : 

 

"Parents, guardians, carers, or other persons who enable or assist children or people in their care, including persons with disabilities, to exercise their sexual and reproductive rights, including by procuring sexual and reproductive health services, goods or information, may not be held criminally liable, unless they have engaged in coercion, force, fraud, or there was a lack of free and informed decision-making on the part of the child or person for whom they were caring."

 

Traduction : 

 

"Les parents, tuteurs, tuteurs ou autres personnes qui permettent ou aident les enfants ou les personnes dont ils ont la charge, y compris les personnes handicapées, à exercer leurs droits sexuels et reproductifs, y compris en se procurant des services, des biens ou des informations de santé sexuelle et reproductive, ne peuvent être tenus pénalement responsables, à moins qu'ils n'aient eu recours à la coercition, à la force, à la fraude ou qu'il n'y ait eu un manque de prise de décision libre et éclairée de la part de l'enfant ou de la personne dont ils s'occupaient."


"(...) de décision libre et éclairée de la part de l'enfant (...)" à exercer ses "droits sexuels" !!!...

 

Toujours page 22, principe n°16 : 

 

"Consensual sexual conduct, irrespective of the type of sexual activity, the sex/ gender, sexual orientation, gender identity or gender expression of the people involved or their marital status, may not be criminalized in any circumstances. Consensual same-sex, as well as consensual different-sex sexual relations, or consensual sexual relations with or between trans, non-binary and other gender- diverse people, or outside marriage – whether pre-marital or extramarital – may, therefore, never be criminalized."

 

Traduction : 

 

"Le comportement sexuel consensuel, quel que soit le type d'activité sexuelle, le sexe/genre, l'orientation sexuelle, l'identité de genre ou l'expression de genre des personnes impliquées ou leur état civil, ne peut en aucun cas être criminalisé. Les relations sexuelles consensuelles entre personnes de même sexe, ainsi que les relations sexuelles hétérosexuelles consensuelles, ou les relations sexuelles consensuelles avec ou entre des personnes trans, non binaires et d'autres personnes de diverses identités de genre, ou hors mariage - qu'ils soient prénuptiales ou extraconjugales - peuvent donc ne jamais être criminalisé."

 

??? "ou leur état civil" ??? Donc également les mineurs !!

 

Et enfin, nous y voilà, les choses sont très claires (pages 22 - 23) : 

 

"Moreover, sexual conduct involving persons below the domestically prescribed minimum age of consent to sex may be consensual in fact, if not in law. In this context, the enforcement of criminal law should reflect the rights and capacity of persons under 18 years of age to make decisions about engaging in consensual sexual conduct and their right to be heard in matters concerning them. Pursuant to their evolving capacities and progressive autonomy, persons under 18 years of age should participate in decisions affecting them, with due regard to their age, maturity and best interests, and with specific attention to non-discrimination guarantees."

 

Traduction : 

 

"En outre, un comportement sexuel impliquant des personnes n'ayant pas atteint l'âge minimum de consentement aux relations sexuelles prescrit au niveau national peut être consensuel en fait, sinon en droit. Dans ce contexte, l'application du droit pénal devrait refléter les droits et la capacité des personnes de moins de 18 ans de prendre des décisions concernant l'engagement dans des relations sexuelles consensuelles et leur droit d'être entendues sur les questions les concernant. Conformément à leurs capacités évolutives et à leur autonomie progressive, les personnes de moins de 18 ans devraient participer aux décisions les concernant, en tenant dûment compte de leur âge, de leur maturité et de leur intérêt supérieur, et en accordant une attention particulière aux garanties de non-discrimination."

 

Conclusion : monstrueux.





 

*




*


Soyons des citoyens éclairés et responsables : il faut désormais nous battre pour la sauvegarde de notre société, pour sa pérennité. Il faut nous battre pour sauver la famille, la vraie, la seule, celle qui ne peut être fondée que par le couple hétérosexuel et le mariage hétérosexuel. Il nous faut nous battre pour protéger la biologie qui permet la continuation de la vie  humaine, c'est-à-dire les enfants. Il nous faut donc nous battre pour protéger ce qui permet de motiver une protection de la biologie : la morale. Nous devons restaurer les valeurs morales. Nous devons informer les parents des tentatives de manipulation dont ils sont les objets pour qu'ils informent leurs enfants.


Non, au "mariage pour tous".

Non, à l'idéologie "woke".

Non, à la théorie du genre(lien).

Non, à l'éducation sexuelle pour les jeunes enfants.

Non, aux lectures "orientées" et manipulatrices en faveur de l'idéologie "arc-en-ciel" dans les écoles.

Non, à la révélation aux jeunes enfants de leur soi-disant "potentiel sexuel" : il n'y a pas de "sexualité infantile".

Non, aux représentants et autres partisans de la "théorie du genre", de la pédophilie, dans les écoles ou dans d'autres lieux d'influence, comme les institutions.

Non, aux représentations "artistiques"(lien) de toute pédopornographie. Toute pédopornagraphie est un crime.

Non, à toute prétendue légalisation de la pédophilie(lien) !




*


"L'éducation sexuelle selon l'OMS: danger. Entretien avec Ariane Bilheran" :







*




(Patrice Van den Reysen. Tous droits réservés).



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Psychanalystes, dehors !

Archives du blog